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Dernière modification par Christian (05-11-2006 23:47:20)
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Mary Robinette Kowal : L'Homme superflu (The Spare Man, 2022)
J'adoooore les traductions de titres qui en un sens "surtraduisent" de travers...
Je ne doute pas un seul instant qu'en réalité le contenu du livre aille dans le sens du choix du titre français -- mais n'ayant pas l'intention de le lire je n'aurai hélas pas le loisir de le vérifier -- et ce qui me fait vraiment rire en l'occurrence c'est que le titre anglais pouvait tout aussi bien signifier tout autre chose, voire prendre un sens beaucoup plus tendancieux
, à savoir spare au sens de "qui peut dépanner", comme une roue de secours, des vêtements emportés au cas-où, une chambre d'amis, etc. (cf. https://www.ldoceonline.com/dictionary/ … lothes-etc )
Bref, les éditeurs français ont encore trahi l'auteur en révélant d'emblée le pot aux roses (car en anglais le titre était beaucoup plus "ouvert" en termes d'interprétation), et l'acception "qui peut dépanner" est d'ailleurs tellement classique qu'elle donne lieu à une sous-page dédiée (voir ci-dessus) avec un lien qui se trouve tout en haut de la page spare du dictionnaire => https://www.ldoceonline.com/dictionary/spare )
Heureusement ils en sont resté à "superflu", ce qui est déjà pour moi extrêmement maladroit, mais on a risqué l'horreur avec un "superfétatoire" qui aurait été à la littérature ce que David Guetta est à la musique symphonique
OK, OK, je sors (dans un silence mozartien)
Point n'ai/n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer.
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et à la fin du mois : Chris Vuklisevic : Du thé pour les fantômes (2023) (collector) (original non ?)
Naaaaaan, tu n'as rien compris Christian : c'est une uchronie !
D'ailleurs on s'approche d'une "performance" au sens artistique (sic) contemporain. C'est presque comme du direct, et ils vont jusqu'à faire participer le lecteur dans sa vraie vie ; le top, quoi !
Toujours pas clair ? Rôôôôôh... bon, je m'explique : c'est en buvant du thé empoisonné à la fin du mois que les fantômes ont trépassé en début de mois (c'était pourtant évident !)
OK OK, je sors
Point n'ai/n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer.
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Christian a écrit :et à la fin du mois : Chris Vuklisevic : Du thé pour les fantômes (2023) (collector) (original non ?)
Naaaaaan, tu n'as rien compris Christian : c'est une uchronie !
D'ailleurs on s'approche d'une "performance" au sens artistique (sic) contemporain. C'est presque comme du direct, et ils vont jusqu'à faire participer le lecteur dans sa vraie vie ; le top, quoi !
Toujours pas clair ? Rôôôôôh... bon, je m'explique : c'est en buvant du thé empoisonné à la fin du mois que les fantômes ont trépassé en début de mois (c'était pourtant évident !)
OK OK, je sors
Ah mais je n'avais pas vu ça ! Toi, ce n'est pas du thé que tu avais bu ce jour là
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Ah mais je n'avais pas vu ça ! Toi, ce n'est pas du thé que tu avais bu ce jour là
En effet, le thé c'est très surfait et je préfère la fée... verte
Point n'ai/n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer.
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Septembre
Sébastien Juillard : Sous le règne des Filles du Feu (2025)
10/2025 - René Barjavel .. Ravage
336 pages - ISBN 9782207182994 - 22€
préface d'Abel Quentin
Dans nos genres ?
Mircea Cartarescu .. L'Aile Gauche
À Bucarest, dans les années 1960, le narrateur, nommé Mircea, crée de toutes pièces un pays imaginaire. Un monde de merveilles et de cauchemars, truffé de passages cachés, de tapisseries envoûtantes et de papillons prodigieux. Il nous entraîne dans un voyage mystique à travers son enfance, ses souvenirs d'hospitalisation à l'adolescence, la préhistoire de sa famille, un cirque itinérant, la police secrète, des armées de zombies, des pilotes de chasse américains, la scène jazz underground de La Nouvelle-Orléans et la mise en place du régime communiste. Cet univers kaléidoscopique, à la fois étrangement familier et radicalement nouveau, est une expérience dont le lecteur sort secoué et transformé. L'Aile gauche est le premier volume de la trilogie «Orbitor».
Je suis pas convaincu. A part "des armées de zombies" qui peut aussi bien être une métaphore, qu'un rêve, un élement anecdotique du récit...
Et pour les aficionados de Bradbury un thriller sorti en septembre : La Solitude est un Cercueil de Verre
Quand le maître de la science-fiction rend hommage aux grands classiques du roman noir. Par une nuit d'orage, un jeune auteur en mal de succès entend murmurer à son oreille : «La solitude est un cercueil de verre». Quand il se retourne, personne. Le même soir, le cadavre d'un vieillard est retrouvé suspendu dans une cage aux lions. Persuadé d'avoir entendu l'assassin, l'écrivain s'improvise détective. Son enquête nous entraîne au coeur de Venice, station balnéaire de Los Angeles, alors aux mains des démolisseurs. À la veille des années cinquante, la cité du cinéma n'est plus que l'ombre d'elle-même. Ses habitants, aussi excentriques que leur ville, laissent planer une inquiétante étrangeté où il est difficile de démêler le fantasme de la réalité.
Boomer trentenaire misanthrope et aSsocial.
Gene Wolfe .. La Griffe du Demi-Dieu (Le Livre du Nouveau Soleil 2, Mnémos)
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