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En Bd, on peut rajouter Ce que le vent apporte de Jaine Martin paru chez Dupuis, ça se passe durant un bon univers sibérien.
Ce que le vent apporte, n°1
LE RÉSUMÉ
Moscou, 1916. Pour fuir la police tsariste, le jeune Alexandre accepte un poste de médecin au fin fond de l'Oural. Là-bas, l'homme qu'il remplace a été sauvagement assassiné. Par des loups ? Ou pire ? Pourtant, ce n'est pas la première fois que la neige se trouve ensanglantée. A chaque nouvelle tempête, la mort frappe les égarés. Loin de la révolution rouge, la mission d'Alexandre tourne au roman noir. Entre quête initiatique et enquête policière, entre modernité du siècle naissant et obscurantisme moyenâgeux, le moscovite devra trouver sa place parmi les paysans suspicieux et superstitieux. Au péril de sa vie ou de sa raison. "Il n'y avait rien à faire pour éloigner de moi l'image d'un docteur inexpérimenté et terrorisé."
Pour son premier album en langue française, l'espagnol Jaime Martin fait une entrée remarquable dans la collection Aire Libre avec un récit charpenté où le mystère distillé le dispute à l'envoûtement de l'atmosphère graphique.
Est-ce conjectural ?
"Quintet" (1979), de Robert Altman, un film remarquable curieusement sous estimé (et "glaçant", dans tous les sens du terme...)
Oncle Joe
Déjà présent
ajoutés les romans suivants :
Le Froid comme dérèglement climatique
* Le Crépuscule de Briareus, Richard Cowper
Le Froid comme saison
* Terre de glace, rêve de feu , John Morressy
Le Froid comme décor
* La Citadelle des glaces, Paul Alpérine
Le Combat d'Hiver, Mourlevat
La caverne , Evgueni Ivanovitch ZAMIATINE
L'Elixir de Frigidus, Rémy
Le Trône de Fer , G.R.R. Martin
L'Assassin du roi , Robin Hobb
La trilogie de Skaith , Leigh Bracket
L'Épée des ombres , J. V. JONES
Le Sacre de glace , Kay Kenyon
Le Froid post-apocalyptique
* Le grand froid, Frank Belknap Long
* Le Crépuscule de Briareus, Richard Cowper
* La Guerre du froid, Robert Silverberg
La Cryogénisation
* La Nuit des Temps, Barjavel
Films ajoutés :
Inception de Christopher Nolan (2010)
Un roi sans divertissement de François Leterrier (1963)
A la croisée des mondes : la boussole d'or (The Golden Compass) de Chris Weitz (2007)
[...]
et des dizaines d'autres avec le mot "glace" dans le titre
l'expérience montre que cela ne suffit pas !
Ok, j'ai surligné dans le message original,
cela devrait suffire.
En tout cas, cela me suffit à moi.
Il faudrait faire une petite
Tiens, en pensant au bal des vampires, ça me fait penser à Le redoutable homme des neiges de la Hammer ... Je sais je sors.
http://www.imdb.com/title/tt0050095/
Je crois avoir vu cela,
mais il y a tellement longtemps !
Sinon en roman :
J. & D. Le May .. Demain le froid
Celui-ci, je l'ai lu,
non seulement c'est faible,
mais le froid n'est qu'une menace :
http://forum.zenandco.fr/default.aspx?g … 1#post5421
Pour les autres, je me renseigne.
Doc', j'ai augmenté ton titre, Michel Grimaud est beaucoup plus connu des lecteurs et ajouté le lien vers la page officielle (à compléter) du couple-auteur dans la base.
Si tu n'aimes pas, tu ratures tout et tu révolvérises, comme d'habitude
J'étais un peu gêné parce que :
Il s'agit de "la moitié" de Michel Grimaud, l'autre moitié étant Jean-Louis Fraysse
c'est délicat de faire la nécro de quelqu'un qui n'est pas mort.
Mon confrère viens de me suggérer divers films :
- Inception de Christopher Nolan (2010)
- Le bal des vampires de Roman Polanski (1967)
- Un roi sans divertissement de François Leterrier (1963)
Qu'en pensez-vous ?
Hurleville : dérèglement climatique
Heyoka Wakan : décor et/ou post apo (Pour te faire une idée, tu peux lire ma fiche de lecture sur mon blog ou sur le forum Zenandco)
Les enfants de l'hiver : post apo
C'est fait, merci
"les Enfants de l'hiver" étaient déja dans le texte de présentation
Le Bifrost n° 51
qui pourra rejoindre la demi-place qui lui est réservé.
Sommaire
LES NOUVELLES DU NUMERO :
- Radieuse étoile verte par Lucius Shepard
(Radiant green star - Asimov's Science Fiction Magazine, août 2000) - Traduction : Jean-Daniel Brèque
LES RUBRIQUES ET LA PARTIE MAGAZINE :
Ballades sur l'Arc
- Objectif Runes : les bouquins, critiques & dossiers
- Le coin des revues, par Thomas Day
- A la chandelle de maître Doc'Stolze : Du grotesque involontaire. par Pierre Stolze
Lucius Shepard ou l'imaginaire d'un monde vécu
. Celui qui refusait dêtre culte, un entretien avec Lucius Shepard - par Patrick Imbert
. Guide de lecture
. Bibliographie de Lucius Shepard - par Alain Sprauel
Les Anticipateurs :
chapitre septième, où l'on organise en détail deux voyages - par Frédéric Jaccaud
Scientifiction :
Le destin lointain de l'univers - par Roland Lehoucq
Infodéfonce et vracanews
- Paroles de Nornes : Le tam-tam de la brousse, par Org
Je tiens celui-ci dans mes mains,
ainsi que sous mes yeux,
et devant moi ;
le logo rouge "IV eme ZONE" est imprimé, ce n'est pas un autocollant,
et les dates donnent :
D.L. octobre 2008 et (c) 2008 , isbn identique .
Comme je t'en ai déjà parlé en d'autres lieux, il y a aussi :
"Hurleville" de Michel calonne (Lattés - Titres SF)
"Heyoka wakan" de Jean-Louis Le May (FNA)
"Les enfants de l'hiver" de Michael Coney (Albin Michel)
A +
Il est tout à fait possible de les rajouter, si tu juges qu'ils sont représentatifs.
Peut-on les ventiler dans les rubriques existantes :
Le Froid comme dérèglement climatique
Le Froid comme saison
Le Froid comme décor
Le Froid post-apocalyptique
Je viens de découvrir :
Un téléphone portable dans un film de Chaplin de 1928?...
Je vous fournit le lien, en espérant qu'il fonctionne :
il y avait un beau site sur les " pulps" canadien , mais marche plus...( http://www.lac-bac.gc.ca/pulp ou www.collectionscanada.gc.ca/romansfascicules/027019-2003-f.html -)
Merci beaucoup,
j'ai aussi un certain nombre de liens qui ne marchent plus,
je ne vous en fait pas profiter car cela remplirait des pages et des pages,
mais si vraiment vous le désirez,
je vous les ferais parvenir en MP.
Comme je ne voudrais pas pourrir un beau topic qui ne demande qu'a vivre sa vie,
je propose que tous ceux qui ont des liens qui ne marchent plus se réunissent dans un nouveau sujet,
peut-être même dans un forum spécialement créé pour cet usage.
je peux également les mettre dans un wiki que tout le monde pourra enrichir,
critiquer, vilipender, etc ... etc ...
Merci jeandive.
Attention, tu vas être frappé par la taille maximum d'un message,
tu as intérêt a réserver un ou deux messages vides qui te permettront de caser tout ce que tu veux.
coolmicro avait regroupé de nombreuses informations ici :
http://www.ebooksgratuits.com/html/ivoi … iques.html
Un petit mot pour vous signaler le décès de Marcelle Perriod
Vous allez peut-être dire : "mais c'est qui ?"
Il s'agit de "la moitié" de Michel Grimaud, l'autre moitié étant Jean-Louis FraysseSous le pseudo de Michel Grimaud ils ont écrits des livres jeunesses et quelques livres pour adultes
Je pense que cela se passe pendant la guerre froide.
Le héros n'a pas de pouvoir spéciaux,
mais il essaie d'exploiter les sites laissés sur Terre par des extraterrestres apparemment très fort en tout.
Je laisse aux curieux le soin de lire tous les épisodes.
Merci de vos nombreux apports qui m'ont permis de créer la page wiki sur ce thème "Le Froid"
http://www.bdfi.net/imagine/themes/froid
C'est une page minimum qui ne demande qu'a s'enrichir,
et éventuellement à être corrigée.
Ces trois livres forment une trilogie nommée "Capital Code" ou 'Science in the Capitol' par les américains.
Lui même désigne sa trilogie comme "the 40-50-60 novel.".
Kim Stanley Robinson ... Les quarante signes de la pluie (Forty Signs of Rain, 2004)
Kim Stanley Robinson ......... 50 degrés au dessous de zéro (Fifty Degrees Below, 2005)
Kim Stanley Robinson ......... 60 Jours et Après (Sixty days and counting, 2007)
Références :
http://www.fantasticfiction.co.uk/r/kim … f-rain.htm
http://www.isfdb.org/cgi-bin/ea.cgi?Kim … y_Robinson
http://www.lablit.com/article/208
Le Mur du Froid par Y. M. Loiseau(1971), illustrations Yvon Le Gall, éditions Hachette, collection Idéal-Bibliothèque (non numéroté) DL 10-71, relié, illustrations intérieures, 13,9 x 20,4 , 187 pages, sans prix
quatrième de couverture :
«INCROYABLE ! s'exclame Xavier en remontant de la grotte qu'il vient d'explorer avec ses camarades. In-croyable ! Après ces deux jours seuls sous la terre, nous voilà maintenant seuls sous le soleil ! »
Un événement incompréhensible a vidé ce coin de France de tous ses habitants. Jusqu'où s'étend cet inexplicable désert ? C'est en cherchant la réponse à cette an-goissante question que Xavier et ses amis se heurtent, de tous côtés, à une étrange muraille de brouillard et de glace.
Un véritable « mur du froid » s'est mys-térieusement dressé autour d'eux, les iso-lant du monde, formant une sorte de vaste prison... où les garçons ne sont peut-être pas aussi seuls qu'ils l'ont cru tout d'abord.
A tout prix, il leur faut sortir de là !
Les Xiphons, dont la planète est devenu infertile, cherchent dans la galaxie, un endroit où s'établir.
Ils font des essais de culture sur la Terre, pour cela, ils ont isolé, par un mur de froid, une parcelle de France qu'ils ont rendu stérile afin de recréer les conditions de leur habitat premier.
Si les essais sont concluants, les Xiphons s'installeront sur Terre et élimineront tous les habitants, c'est la condition de leur survie.
Destiné à la jeunesse, ce livre permet de vanter, entre autres, l'étude des mathématiques;
par trois points, on peut faire passer une et une seule circonférence, ce théorème bien connu permet à Xavier de déterminer le centre du phénomène.
C'est un peu de "La Guerre des Mondes", de H.G. Wells, mais surtout, c'est une version douce du superbe "Génocides" de Thomas Disch.
Pourquoi une certaine littérature jeunesse est-elle tellement connotée "enfant" ou "adolescent, alors que Heinlein a écrit des juvéniles parfaitement lisible par des adultes.
Ne le recherchez que si vous êtes collectionneur.
J'applaudis de grand cœur,
n'ayant rien compris aux paroles de la chanson malgré un nombre incalculable d'écoutes.
Je sais bien qu'il est programmé depuis 1975, rue Galande,
mais toutes les séances sont complètes et il est très difficile de le voir.
Félicitations MobyDick.
Non, mais réellement c'était difficile.
Demande nous plutôt qui est le père de Luke Skywalker.
Il faut bien rigoler de temps en temps, tout est public :
• Pire nouvelle francophone :
• « Ceux d'après » de Michel Jeury (in Galaxies NS n°9).
• « Trajectoires » de Danel (in Ceux qui nous veulent du bien, La Volte).
• « Les Evénements sont potentiellement inscrits et non modifiables » de Bernard Camus (in Ceux qui nous veulent du bien, La Volte).
• « Le Printemps des murailles » de Fabien Clavel (in Galaxies NS n°7).
• L'ensemble du recueil Il était 7 fois (Argemmios)
• « Connect I Cut » de Sébastien Wojewodka (in Le Jardin schizologique, La Volte).
• « False Reversion » de Thomas Becker (in Le Jardin schizologique, La Volte).• Pire nouvelle étrangère :
• « L'art du dragon » de Sean McMullen (in Solaris n°176).
• « Au cœur de la nuit » d'Anil Menon (in Galaxies NS spécial Mundane).
• « Exemples aléatoires de fantaisie cosmique » de Jetse de Vries (in Galaxies NS3).
• « Un casque plein de cheveux » de Scott Christian Carr (in Galaxies NS n°8).• Prix Bernard Celui-dont-il-ne-faut-pas-prononcer-le-nom du pire roman francophone :
• Katharsis de Gilles Prou et Oksana (Interkeltia).
• Canisse de Olivier Bleys (Folio SF).
• Lancelot ou le chevalier glauque d'Estelle Valls de Gomis (Terre de Brume).
• Les Gentlemen de l'étrange d'Estelle Valls de Gomis (Black Book).• Pire roman étranger :
• Les Magiciens de Lev Grossman (L'Atalante).
• La Fille de papier de Guillaume Musso (XO Editions)
• Le Livre sans nom (Anonyme) (éditions Sonatine).
• Eglise électrique de Jeff Somers (Bragelonne).• Pire traduction :
• Cédric Perdereau pour Rien que l'acier de Richard Morgan (Bragelonne).
• Agnès Bousteau pour Boneshaker de Cherie Priest (Eclipse).
• Jacques Fuentealba pour La Sagesse des morts de Rodolfo Martinez (Mnémos).
• Galaxies NS, pour l'ensemble de l'œuvre sur l'année avec une mention spéciale à Laurent Whale et Fabrice Lemainque.• Prix Jackie Paternoster de la pire couverture :
• Genkis pour Le Coup du cavalier de Walter Jon Williams (L'Atalante).
• Gilles Francescano pour Après-demain les chiens de Paul Carta (éditions Melis).
• Zariel pour Blaguàparts de Don Lorenjy (Griffe d'encre).
• Philippe Druillet pour Utopiales 2010 (ActuSF et l'affiche du festival en question).
On notera qu'un des jurés, par souci de difficulté, voire de justice, s'est abstenu de nominer la micro édition (Argemmios, voy'[el], Eons, Lokomodo, etc.)• Prix de la pire non-fiction :
• Dany Jeury pour « La jeune fille, son père et le temps » in Galaxies NS n°9.
• Jean-Claude Dunyach pour « L'Art du changement d'état », postface in Stratégie du réenchantement (recueil de Jeanne A. Debats, Griffe d'encre).
• Dominique Guibert pour sa préface à Ceux qui nous veulent du bien (La Volte).
• Pierre Jouan, pour l'ensemble de ses prestations (détails ( ?) dans le compte-rendu du prix).
• Fabien Lyraud pour sa préface à l'anthologie Arcanes chez voy[el].
• Hugo Van Gaert pour son article « Au-delà de la guerre et des thrillers » (Galaxies NS n°10).
• Justine Niogret pour « La S-F c'est le mal », article publié sur lecafarcosmique.com.• Prix de l'incompétence éditoriale :
• Gilles Dumay.
• Pierre Gévart et Hugo Van Gaert.
• Métier : éditeur (http://metierediteur.wordpress.com./).• Prix Putassier :
• ActuSF.
• Mnémos.
• Bifrost (n° spécial vampires).
• Les Moutons électriques (florilège vampirique).
• L'Atalante.
• Les lecteurs de Bifrost qui votent pour les Razzies.
• Paul Carta.• Grand Master Award :
• Serge Lehman et Roland C. Wagner.
• Le Grand Prix de l'Imaginaire.
• Le Cafard Cosmique.
• Olivier Noël.
• Le Petit guide à trimballer de la littérature vampirique (ActuSF)
• Jean-Pierre Andrevon.• Prix des lecteurs de Bifrost :
(les plus souvent cités, dans le désordre ; ou pas)
• Bragelonne/Milady/Castelmore.
• Ayerdhal.
• Bifrost.
• ActuSF.
• Le Cafard Cosmique.
• Bernard Celui-dont-il-ne-faut-pas-prononcer-le-nom.
[...] je préfèrerai largement m'atteler à quelque chose de plus novateur comme ce vieux projet que je caresse depuis longtemps de tenter d'y voir plus clair sur les premières éditions des Paul d'Ivoi [...]
Prêt.
J'ai recopié l'image pour que tout le monde puisse voir :
Ce n'est pas un train blindé,
il y a des tas de tuyauteries qui dépassent de partout,
il suffit que David arrive avec sa fronde et il est totalement immobilisé.
De plus, vous pouvez voir qu'il se déplace sur un espèce de monorail métallique,
le premier voleur de métal qui passe repart avec.
Enfin quelle énergie utilise-t-il ?
J'espère que c'est une pile atomique,
sinon je ne sais pas où il stocke son carburant.
Par contre, le Péril vient de la mer, ou ma mémoire est périmée ou c'est de la seufeu, non? (je finis par douter!)
Moi aussi, je le retire de la liste et le relirai à l'occasion.
Le Péril vient de la mer par John WYNDHAM
Puisque "Le Lotus Bleu" était cité,
la seule apparition de train blindé :
on peut noter que le train représenté n'a aucune authenticité,
il est issu entièrement du cerveau d'un dessinateur belge,
d'ailleurs les écartements japonais et chinois ne sont pas compatibles.
Mais il est vrai que c'est celui qui est resté imprégné dans mon cerveau de jeune lecteur,
et qui pour moi représentait l'archétype de "train blindé".
Pour me faire pardonner, enfin surtout pour montrer un train.
Voici celui de "Ghost of Mars", (2001) le grand film de John Carpenter avec Pam Grier, Ice Cube, Jason Statham, Clea DuVall et surtout la belle Natasha Henstridge.
Je rappelle qu'il ne s'agit pas d'un train blindé, mais surtout d'un train minier,
un peu comme on peut en voir en Mauritanie ou en Suède, (enfin presque),
adapté à l'environnement de la planète Mars du film.
1/ comme on pourrait le voir dans le film, (en fait c'est une manipulation d'un fan, merci)
2/ en vrai
Les français ont blindé deux wagons en bois abritant un canon pour essayer de briser le siège de Paris en 1970.
Merci, il fallait lire 1870, comme c'était marqué sur mon brouillon,
et mon correcteur orthographique n'a même pas sonné, quelle misère !
Les français ont blindé deux wagons en bois abritant un canon pour essayer de briser le siège de Paris en 1970.
L'armée d'Indochine et la Légion Étrangère construisirent cinq trains blindés en Indochine en 1948.
Pour la Guerre de Sécession, je ne sais pas.
Les anglais ont utilisés des trains blindés en inde et en Afrique du Sud.
Les russes, c'est bien normal du fait des distances en ont utilisés un certain nombre, lors de l'affrontement entre les Blancs et les Rouges entre 1917 et 1921.
Ces trains ont été magnifiés dans "Le Train blindé N° 4" de Jean Bommart et surtout dans "Corto Maltese en Sibérie" de Hugo Pratt, comme dans le très beau film d'animation « La Cour secrète des arcanes » de Pascal Morelli..
Les allemands ont utilisés des pièces d'artillerie montées sur rail car elles étaient très lourdes et la voie ferrée absorbait une partie du recul.
Au cours de la 2ème G.M., ils ont transporté beaucoup de matériel et assuré des missions de "pacification" ou de surveillance dans les zones montagneuses et le long de la Méditerranée.
On peut en voir une reconstitution dans "La Bataille du rail", le film français de René Clément (1946).
Bon, je m'y colle.
Je ne suis pas non plus un spécialiste des trains blindés, mais je connais bien les trains.
Je ne connais pas d'exemple de trains blindés en S.F.
J'exclus le cycle de "La Compagnie des Glaces" qui est un "Univers Monde" et qui mériterait un thème ferroviaire à lui tout seul.
D'autre part, je ne connais quasiment pas Danrit qui a surtout œuvré dans la guerre aérienne et bactériologique.
Est-ce que Contre l'infini de Gregory Benford rentre-t-il dans la classification?
Oui, Le Froid, plus qu'un thème est surtout un décor récurent en SF.
Le sixième hiver (1979, The sixth winter) par Douglas Orgill et John Gribbin, traduit par Michel Courtois-Fourcy, illustration Gilbert Raffin, Editions Le Seuil (1982) , 298 pages, 14,3 x 24,0 , prix 59F , isbn 2-02-006185-6
quatrième de couverture :
Sur une route du Dakota du Sud, un automobiliste bloqué par une tempête de neige voit soudain une espèce de colonne blanche tourbillonnante effacer un village de la carte... Dans des régions habitées d'Union soviétique, on a observé des hordes de loups comprenant plusieurs dizaines d'individus... Signes avant-coureurs, parmi beaucoup d'autres, d'une muta-tion brutale du climat que le Dr William Stovin avait annoncée sans être entendu : après un intermède de 15 000 ans, la terre retourne à sa condition normale et une nouvelle ère glaciaire commence.
New York, Chicago, Montréal, Hambourg, Moscou, rapi-dement inhabitables, finissent par disparaître. Il n'y a plus ni essence ni électricité. La famine s'étend. Les survivants ten-tent de s'organiser et les chercheurs de comprendre et de pré-voir ; l'humanité a-t-elle encore un avenir ?
Écrit en collaboration par un romancier et un scientifique britanniques, le Sixième Hiver, qui s'appuie sur les recherches les plus récentes de la climatologie, n'est tout de même, heureusement, qu'un roman. Pour l'instant...Douglas Orgill. Collaborateur du Daily Express, il est l'auteur d'une douzaine de romans et d'un essai sur Lawrence d'Arabie. Il a effectué, pour recueillir certains des matériaux du Sixième Hiver, des voyages en Sibérie et en Alaska.
John Gribbin. Après des études d'astronomie et d'astro-physique à l'Université du Sussex et à Cambridge, il a collaboré à Nature, l'une des plus prestigieuses revues scientifiques du monde. Il est l'auteur de divers ouvrages scientifiques destinés au grand public, dont plusieurs consacrés à la climatologie.
L'illustration est intéressante,
d'abord la méconnaissance dans l'attelage du traineau, où tous les chiens sont en désordre.
ensuite, les Twins Towers, dans le fond.
Incidemment, on peut signaler qu'aucune scène du roman ne se déroule à New-York.
Une autre curiosité est que l'univers décrit a servi de base à d'autres fictions, citons wolfworld .
Enfin un parallèle (en anglais) est développé entre ce livre et "Le jour d'après" ICI
un brin de chronique ICI
John R. Gribbin (né en 1946) est un scientifique britannique et écrivain., John Gribbin was born in 1946 in Maidstone, Kent.
wikipedia donne (1981) The Sixth Winter(with Douglas Orgill)(novel), alors que
fantasticfiction donne The Sixth Winter (1979) (with John Gribbin), comme Le Seuil
Douglas Orgill (1922 - 1984)
d'après boekbeschrijvingen
Impossible de trouver une image originale,
mais il est nécessaire de souhaiter une bonne année à BDFI
et à l'ensemble des forumeurs.
Que la Force soit avec nous !
Bravo gil,
quelle maîtrise des petits oiseaux,
pour les faire voler en forme de BDFI.
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