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Bonjour eddyagneau et bienvenue parmi nous.
Si un exemplaire t'a échappé, il en reste encore 24 disponibles.
Je te souhaite d'en découvrir tranquillement un au détour d'un vide-grenier !
Never let me go
Réalisé par Mark Romanek, avec Carey Mulligan, Andrew Garfield, Keira Knightley.
Film anglo-américain, produit en 2010, sortie en France 2 mars 2011.
J'en sors et moi, j'ai bien aimé ce film
ceci dit,
et d'une façon beaucoup plus générale, pour moi, il y a quelques temps, une histoire de SF se résumait à
(je schématise )
un garçon aime une fille, ou réciproquement,
dans une société surprenante ou délirante.
Or, un jour, j'ai compris que la romance n'était qu'un prétexte,
le but de l'auteur étant souvent la description de la société.
Depuis, je pardonne (je suis bon public) si la romance me parait faible, ou débile, ou pire.
Dans ce film particulier, la romance tient toute entière dans le dernier monologue,
qui, lui m'a amené à une réflexion nouvelle pour moi.
Le problème du titre est bien posé.
La réunion par un éditeur peu scrupuleux, ou un anthologiste plus ou moins compétent,
de différents tomes dans un seul cycle, avec un titre du cycle de la plus grande fantaisie,
représente quand même une escroquerie que l'on doit dénoncer sans relâche.
Je crois que le summum du ridicule est atteint quand une définition est trouvée par négation,
je m'explique :
J.P. Garen a écrit un cycle au Fleuve Noir Anticipation, il l'a intitulé, peut-être avec l'éditeur, qu'importe, "Service de Surveillance des Planètes Primitives".
Ensuite, il est mort.
Et un charlot quelconque a cru bon, ceci sans lire les livres,
de regrouper les précédents livres de J.P. Garen dans un cycle intitulé : SSPP (Service de Surveillance des Planètes Primitives) - sans Mark Stone.
Non seulement, c'est une trahison de l'auteur, qui seul, pourrait intituler et regrouper ses oeuvres,
mais, qui plus est, c'est tromper notre belle jeunesse avide de connaissances.
A quand,
Les Misérables, sans Jean Valjean,
Tintin, sans Milou
Les trois mousquetaires, sans d'Artagnan,
La Bible, sans Dieu !
Quatrième de couverture
[...] Une ville en ruine, des colons qui se droguent pour oublier un implacable hiver long de plusieurs décennies, [...]
Depuis longtemps, je suis convaincu que, dans la plupart des cas, c'est l'auteur qui rédige le quatrième de couverture,
il est donc homogène dans ses dires.
De plus, les colons sont installés depuis plusieurs générations, cinq de mémoire, et ils n'ont connu que l'hiver.
[...]
l'hiver dure 150 ans, en raison de l'orbite très excentrée de la planète.[...]
je ne fais que citer le texte.
Qui plus est, une référence constante est faite au solstice et à son jour précis, partie intégrante du grand dessein.
Peut-être s'agit-il de l'année impériale, fixée arbitrairement pour toutes les planètes de l'empire !
Peu probable .
J'ai dit peu probable, mais après tout pourquoi pas !
Il est possible d'illustrer un livre par une description physique, un paysage, une situation, un personnage, une action;
il est aussi possible de l'illustrer par une représentation symbolique, une allégorie.
L'un et l'autre peuvent être représentatifs.
Heureusement, il est possible de ne pas user d'illustration du tout,
c'est le cas d'Ailleurs et Demain et je crois que c'est parfois ce qui est le mieux pour conserver au lecteur toute sa fraîcheur, sa naïveté et ainsi le transporter réellement dans un monde inconnu.
C'est au moins la deuxième fois que l'illustration présente par la suite dans des éditions plus populaires nuisent profondément à l'appréhension du livre.
Merci M. Klein.
[12] Ursula le Guin ................ La Main gauche de la nuit (The Left Hand of Darkness, 1969), trad. Jean Bailhache, Robert Laffont, collection Ailleurs et Demain, 331 pages,
Le froid comme décor : http://www.bdfi.net/imagine/themes/froid
Le livre que nous possédons tous :
28-Sakyo Komatsu .............. La submersion du Japon (Nihon chinbotsu, 1973) trad. : Shibata Masumi & Maryse Shibata - isbn : 2-226-00467-X
quatrième de couverture :
Un bateau de pêche jette l'ancre, un soir, à l'abri d'une petite île du sud du Japon. Au matin, les pêcheurs se retrouvent au milieu de l'étendue marine. L'île n'est plus là. Elle a disparu dans la nuit. Sans laisser de trace.
Les autorités Japonaises envoient un navire sur place. Un sous-marin de plongée profonde procédera à un examen du fond océanique aux abords de l'île engloutie. L'ingénieur Onodera est chargé de conduire les recherches. Il emmène avec lui un savant nommé Takodoro, considéré comme plutôt excentrique par les milieux scientifiques. Selon lui, l'archipel japonais, qui n'est qu'un morceau arraché a l'Asie, risque que les forces tectonique sans cesse à l'œuvre dans la croûte terrestre l'enfoncent sous le plateau continental asiatique... Et ce que les deux hommes vont découvrir dans la fosse du Japon confirmera la véracité de la terrifiante théorie de Takodoro. Le Japon est en perdition !Sakyo Komatsu est né à Osaka en 1931. Après ses études à l'université de Kyoto, il débute comme journaliste scientifique, spécialisé dans les questions atomiques. Puis les circons-tances l'amènent à prendre la direction d'un service dans l'affaire de son père. Ce n'est qu'ensuite qu'il entreprend une carrière littéraire et publie divers romans. Il est mainte-nant surtout connu comme auteur de La Submersion du Japon, devenu un super best-seller et dont un film fut très vite tiré avec un grand succès.
La Submersion du Japon est le premier roman de science-fiction japonais publie en France.
se révèle d'une triste actualité
Il a été réédité chez Picquier en 2000. : http://www.shinezine.fr/La-Submersion-du-Japon
Il a donné lieu à deux films, l'un en 1974
le second en 2006 inédit en France.
Il a été adapté en manga.
Bienvenue Joseph V. T. Askaris,
mais non, ton message n'est pas trop long
en regard du temps que tu as du passer dans l'univers de Dune.
Je n'ai pas très bien compris si toi-même était un ancien ou un moderne.
L'édition de 1981 comprend quatre parties, sans intitulés.
La première partie correspondant au FNA n° 1510 (Le monde d'après) : 285 120 signes contre 230 200 en FNA
la deuxième et la troisième partie, au FNA n° 1531 (Les errants) : 528 120 signes contre 342 720 en FNA
....
et la quatrième au,
FNA n° 1548 (Les Guerriers) : 333 730 signes contre 231 480 en FNA
D'ailleurs, le FNA précise, comme il est d'usage :
"version revue et corrigée de l'édition originale parue dans notre collection: GRAND SUCCES"
inutile de préciser que les deux premières et les deux dernières pages n'ont pas été corrigées.
[Gil] Pages auteur et série mises à jour, merci !
Je sais que c'est un compliment. Merci.
L'Homme qui tua l'hiver, Christian Léourier (1986), Illustration de Rowena Morrill, , J'AI LU, coll. Science-Fiction, n° 1946, ISBN : 2-277-21946-0
Quatrième de couverture
La lointaine planète Nédim et son fabuleux site archéologique de Gogleth... Depuis l'enfance, Akrèn rêve de les découvrir. Elle touche au but. Du moins le croit-elle.
Son vaisseau s'est en fait posé à Loed, la capitale. Si l'on peut dire ! Une ville en ruine, des colons qui se droguent pour oublier un implacable hiver long de plusieurs décennies, des indigènes hostiles. Et Gogleth ? L'ancienne cité est à 3000 krn et désormais enfouie sous les glaces.
Akrèn ne renonce pas et, étrangement, c'est un indigène, Ennian, qui lui propose d'être son guide. Bientôt leur caravane s'enfonce dans la tourmente de la steppe...
Atteindront-ils jamais Gogleth et ses trésors ? Et quel est le vrai dessein du mystérieux Ennian ?
un brin de chronique ICI
Je vais le classer dans "Le Froid comme saison"
malgré un gros problème de compréhension.
D'après l'auteur l'hiver dure 150 ans, en raison de l'orbite très excentrée de la planète.
Or la définition de l'année donnée par wikipedia :
l'année est l'intervalle de temps correspondant à deux occurrences successives d'un évènement lié à la révolution d'un astre autour d'un autre astre
en d'autre termes, une saison, même si elle dure très longtemps, ne peut pas durer plus d'une année.
Peut-être s'agit-il de l'année impériale, fixée arbitrairement pour toutes les planètes de l'empire !
Peu probable .
Ceci dit, c'est de la science-fiction, malgré l'illustration, qui représente d'une façon un peu allégorique, certes, un épisode réel du livre.
Série 30 Jours de nuit
* 30 Jours de nuit (30 Days of Night) (2002, co-auteur IDW Publishing ; 2004 pour la version française : Delcourt, collection Contrebande)
* Jours sombres (Dark Days) (2003; co-auteur IDW Publishing ; 2007 pour la version française : Delcourt, collection Contrebande)
* 30 Days of Night: Return to Barrow (2004; co-auteur IDW Publishing ; 2008 pour la version française : Delcourt, collection Contrebande)
C'est vrai, c'est moyen comme film,
d'autant que j'apprécie peu le genre,
mais, il était bon d'avoir quelque chose de fantastique dans la page thème.
Que crois-tu que l'on doive mettre comme BD, à peu près représentative ?
Tout le cycle ?
30 Jours De Nuit (2006) de David Slade. En Alaska, pendant l'hiver et la nuit d'un mois, un gang de vampires attaquent une petite ville.
C'est conjectural, sûr, mais SF ou Fantastique... Les vampires ont une place un peu à part, sont-ils un accident génétique, une malédiction démoniaque, des êtres venus d'une autre planète, c'est aussi trouble que la genèse humaine
![]()
En tout cas, il caille et il fait nuit dans ce film!
Je viens de le voir,
Ok, Le Froid comme décor, peut-etre comme saison,
cela n'a pas beaucoup d'importance, les classifications n'existent pas pour les films.
Quelqu'un a-t-il vu ce film ?
Non,
j'attendrais le 06 avril 2011,
comme tout le monde.
Le pourquoi ne polémiquons pas? probablement parce que ça nous embête. En tout cas, moi, ça me casse les pieds, ça te va comme réponse?
Bon.
Quel sujet ?
Pourquoi ne polémiquons point ?
ou
pourquoi l'anticipation ancienne ... ?
C'est une de mes vieilles antiennes.
Nous nous intéressons beaucoup au contenant, peut-être pas assez au contenu,
c'est très certainement pourquoi les thèmes du wiki ont tellement de difficultés à démarrer.
Comme Fantômas n'en cause plus ici et qu'il y a peu de réactions sur son blog, détournées vers un autre forum que vous trouverez facilement, je me fais free-lance pour vous informer de l'affichage des réponses de nombreuses autres victimes de l'effet Anticipation Ancienne. Je crois que cela devrait intéresser certains amateurs indigènes. Je me trompe?
Je viens de lire les neuf pages de cet autre forum, un peu polémiques, mais assez intéressantes.
Et puis, moi-moi-personnellement, je serai curieuse de ce qu'auraient répondu ici les fans durs de conjecture à l'ancienne, les coureurs de piste des anciennes éditions mais aussi les impressions de ceux qui n'y portent qu'un intérêt très relatif.
Et, question subsidiaire,
pourquoi BDFI comporte peu de débats de ce genre ?
Bienvenue parmi nous à gloubik,
grand connaisseur de Albert Bleunard.
[...]C. (Crittenden) MARRIOTT (1867-1932) : « L'ÎLE DES VAISSEAUX PERDUS » (The Isle of the Dead Ships), écrit en 1909 et sorti en France en 1923 chez Lafitte dans la collection « Idéal-Bibliothèque », illustré par BAILLY et FOUQUERAY et réédité dans la Collection du Lecteur par les éditions Cosmopolites en 1930.[...]
.
Cinématographiquement parlant ce roman a été adapté en 1923 par Maurice TOURNEUR sous le titre de : « L'ILE DES NAVIRES PERDUS », (The Isle of the lost ships), avec Anna Q. Nilsson, Milton Sills, Frank Campeau et Walter Long. Film légèrement invisible.
.
A Porto-Rico le steamer « Reine » embarque à son bord Francis Havard, condamné à mort que toutes les preuves accablent et qui doit être exécuter à New-York, lieu de destination du navire. En chemin un violent ouragan oblige le navire à faire naufrage et les passagers ayant quitté le navire à bord des embarcations de sauvetage se noient. Seuls sont restés à bord Havard, le policier chargé de le surveiller : Jacquet et une jeune fille de la Haute-Bourgeoisie que les deux hommes ont sauvé à temps de la noyade : Dorothée Fairal.[...] Havard a un plan pour les sortir du mauvais pas d'où ils se trouvent.
[...] Havard doit affronter Forbes en une lutte sans merci, c'est le seul moyen d'épargner à Dorothée quelques inconvénients majeurs. Bon, c'est évidemment Havard qui gagnera le combat et après quelques aventures imprévues dues à la malignité de Forbes, ils découvriront un galion espagnol avec son trésor à bord et s'évaderont du piège grâce à un sous-marin. Et bien évidemment encore Havard sera blanchi de tous soupçons et il épousera même… Dorothée, [...]. Isma
J'ai lu ce livre il y a déjà longtemps, merci Isma pour me l'avoir remis en mémoire.
On y trouve donc bien le thème du prisonnier libéré, au moins temporairement, car il est le seul à pouvoir sauver le groupe.
Isma, peut- tu m'aider dans ma recherche de l'œuvre originale dans laquelle ce thème est abordé pour la première fois ?
Quelques titres :
Captifs de la cité de glace, Garry Kilworth sic
Garry Kilworth ............. Captifs de la cité des glaces (A theatre of timesmiths, 1984) , illustration Eric Seigaud, trad. : Marie-Christine Guérin-Jodin , éditions Opta, collection Galaxie-bis n° 140 '1986), 224 pages, prix isbn : 2-7201-0267-3
Quatrième de couverture
Ils vivaient dans une ville étrange, coupé du reste du monde par un gigantesque cône de glace.
Absolument infranchissable. Ils menaient une existence qui semblait sans raison d'être et obéissaient à des lois aussi sévères qu'ineptes.
Vint le jour où certains décidèrent de... rompre la glace...Garry Kilworth, dont nous présentons aujourd'hui un roman d'une grande qualité, une œuvre parfaitement maîtrisée, où le suspens et la psychologie font bon ménage, n'avait jamais été publié en France, si l'on excepte une ou deux nouvelles parues en anthologie.
Un auteur britannique à découvrir toutes affaires cessantes !
genre : science-fiction. hommage à A.E. Van Vogt
un brin de chronique ICI
La glace n'est qu'un décor, mais quel décor puisque l'on ne voit qu'elle !
Notons toutefois que si elle est présente sur la très belle illustration de l'édition anglaise,
elle est absente du titre original.
Gary Kilworth, sous le pseudonyme de Garry Douglas a écrit une novellisation de "Highlander"
apparemment inédite en français.
source : http://www.fantasticfiction.co.uk/k/gar … lander.htm
Un site voisin confirme mes propos et le contenu de la reliure.
Je ne possède ni le n° 29 ni ne numéro 3 de satellite-sélection
Wilson Tucker ........... La glace et le fer (Ice and Iron, 1974)
in CLA n° 71 (1979) illustrations de Sulmer, traduction de C. et L. Meisterman,
Un brin de chronique ICI
Wilson Tucker est un écrivain américain de science-fiction né le 23 novembre 1914 et mort le 6 octobre 2006.
Il fait - 60°C , le Froid est un décor,
mais de nombreux autres thèmes sont abordés dans ce livre, comme souvent chez Wilson Tucker.
Je signale que j'ai ce CLA en double (en bon état mais sans rhodoïd)
je suis capable de l'échanger contre un autre CLA,
peut-être le n° (55). Terre brûlée / L'hiver éternel par John CHRISTOPHER .
pour continuer le thème.
On peut toujours rêver.
J'ai donc extrait du carton ad-hoc le rebrochage incriminé et peut confirmer mes propos de l'époque.
Jean d' Agraives
Pseudonyme de Frédéric Causse Agraives.
France (1892 - 1951)
Ce pauvre Jean d'Agraives, s'il dispose d'une page chez BDFI,
voit son oeuvre réduite à la portion congrue :
* L'aviateur de Bonaparte - Livre 1 [L'aviateur de Bonaparte - 1] (1926)
Ed. Pyrémonde, Coll. Uchronie, 2008.
* L'aviateur de Bonaparte - Livre 2 [L'aviateur de Bonaparte - 2] (1926)
Ed. Pyrémonde, Coll. Uchronie, 2008.
* Le rayon Swastika (1929)
Orion, 1990.
Le plaisir de chercher un livre pour le numériser me conduit à ouvrir un sujet qui nous permettra de compléter cette bibliographie non officielle.
Edition Boivin et Cie de 193?. Tu pourrais nous en dire plus, Doc ? Tu mentionnes 1931 dans ton post et le Rayon SF parle lui de 1932. Et, tant qu'on y est, pourrais-tu nous communiquer la totale STP ? (dimensions, nombre de pages, âge du capitaine, etc.) big_smile
in-4° (18,5 x 28,0). seule la tranche supérieure est dorée, 448 pages. date 1931 présente sur la page de gauche sur mon scan. pas de carte, ou elle a été séparée de mon exemplaire.
Regarde sur la baie :
http://cgi.ebay.fr/ws/eBayISAPI.dll?Vie … SS:FR:1123
des reliures de quoi,
que je ne connaissais pas !
Je vois que tu complètes la documentation que tu nous fournit sur Paul d'Ivoi,
ce qui est très interessant.
Sache qu'il existe sur lit-pop un topic de discution sur cet auteur :
http://litteraturepopulaire.winnerbb.ne … voi-paul-d
Beaucoup de scans ont disparus avec Pix,
mais il reste des choses interessantes, comme :
Sur la baie, actuellement,
un exemplaire de
"LE MAÎTRE DU DRAPEAU BLEU"
en broché,
"- 31,5 * 22 cm ; - 456 pages ; - Éditeur : Ancienne Librairie Furne – Société d'Édition Contemporaine (Paris) ;" d'après le vendeur.ce qui montre que outre les éditions variées reliées avec ou sans illustration de couverture,
il y eut également des éditions brochées.Nous pouvons supposer que avec les mêmes feuillets,
différentes présentations étaient possibles, plus ou moins onéreuses ou économiques.
Je pensais que tu ne t'intéressait qu'aux éditions originales,
aussi ne suis-je pas beaucoup intervenu,
sinon, je possède quelques Tallandier bleu.
Les Trois reliques d'Orvil Fisher ..... Thierry Di Rollo , Illustration de Eikasia, Editions du Bélial 2007, 179 pages, prix : 13 €, Isbn : 978-2-84344-077-9
Quatrième de couverture
« ...Je suis anhumain parce que j'ai été ce que tu es. »
Lucité. Ville-lumière ?
Il y a longtemps alors, avant que le grand froid s'abatte, avant la démence des hommes qui conduisirent le monde à sa perte. Que reste-t-il trois siècles après ? Des façades éventrées, des pierres fendues par le givre et quelques-uns, des hommes, qui tentent de survivre en préservant le peu d'eau non polluée encore disponible.
Et ce seul putain d'horizon, le Sud, Grand-Milieu, qui se moque bien que la Vieille Europe crève sous les cendres de ses industries...Et Orvil, à Lucité, qui ce jour-là a tout perdu, tout ce qui lui restait de famille pour gagner ça, ce « bras revenu », membre nanotech d'une précision inhumaine et qui sera l'outil de sa vengeance. Pourquoi lui avoir pris le peu qui lui restait ? Pourquoi, et qui ? Tout cela a-t-il seulement un sens ?
Ainsi commence l'odyssée d'Orvil Fisher, une odyssée pour une réponse...
Né en 1959, Thierry Di Rollo a publié six romans et plusieurs dizaines de nouvelles, notamment au Fleuve Noir, dans la revue Bifrost ou chez J'ai Lu. L'intégrité viscérale de ses récits, leur nature bouleversante, la violence qui s'en dégage, l'ont pour beaucoup propulsé au rang d'écrivain culte. Ainsi, qu'ils effraient ou fascinent, les textes de Thierry Di Rollo ne laissent jamais indifférents.
Les Trois reliques d'Orvil Fisher est son quatrième roman paru aux éditions du Bélial.« Chez Di Rollo, il n'y a aucune compromission, aucun espoir, aucun rachat. Brillent une écriture efficace et une atmosphère persistante. »
[Frédérique Roussel, Libération]
Le quatrième de couverture parlait du froid,
c'est un très court roman ou une assez longue nouvelle (251 000 caractères),
soit un petit Fleuve Noir Anticipation.
Je vais le classer dans "Le Froid comme décor"
Que ceux qui l'ont lu et en pense autre chose, se plaignent !
Le cycle complet compte 23 tomes, et aucun nouveau n'a été traduit depuis les CLAF
Voulez-vous une petite fiche de lecture ?
Nan! Mais si tu veux essayer Conan ou Dickson...
(ton cas s'aggrave!!)
Au contraire, l'éventail de lecture des forumeurs de BDFI couvre tout les domaines de la conjecture,
pour ma part, il me reste quelques B.R. Bruss à lire,
et ensuite, listez moi tout ce que vous estimez infâme, je le lirais.
Et tu l'envisages comment le froid? Celsius ou Fahrenheit? nierk nierk...
J'avoue que le réchauffement actuel me décourage un peu,
mais j'ai confiance,
il y a toujours au moins une semaine bien froide en février !
Moi je les ai trouvé en CLAF pour un prix qui me convenait,
et je les ai tous lu.
Voulez-vous une petite fiche de lecture ?
Le cycle complet compte 23 tomes, et aucun nouveau n'a été traduit depuis les CLAF !
On peut sans doute ajouter :
[...]
John Morressy .. Terre de glace, rêve de feu (une planète aux saisons extrêmes)
[...]
John Morressy ............. Terre de glace, rêve de feu (Frostworld and dreamfire, 1977) , illustration Philippe Adamov, trad. : Daniel Lemoine, éditions Opta, collection Galaxie-bis n° 84 '1982), 219 pages, prix isbn : 2-7201-0159-1
Quatrième de couverture
HRAGELLON : une planète aux extrêmes impitoyables : la glace et le feu.
OHNLA : cette tribu avait toujours su vivre et se développer entre les paradoxes climatiques de ce monde inquiétant. Mais à présent un mal mystérieux la frappait douloureusement, la menaçant d'extinction...
Pour tout arranger vint la tête-de-pont d'un Empire prédateur, surgie d'une autre galaxie.
HULT, un jeune chef, qui venait tout juste de sortir de son enfance animale pour entrer dans sa phase adulte humanoïde, était peut-être le seul espoir de ses pareils.
Pour HULT vint le temps de la longue quête pour la survie, et commença une aventure périlleuse aux péripéties étranges et (pour le lecteur !) réellement dépaysantes.
un brin de chronique enthousiaste ICI
les illustrations américaines, comme souvent, sont beaucoup plus représentatives du texte.
Merci Christian pour avoir provoqué la lecture de ce livre tout à fait extraordinaire.
wikipedia nous montre que John Morressy (08/12/1930 - 20/03/2006) était un auteur assez prolifique,
de plus Terre de glace, rêve de feu (Frostworld and dreamfire) fait partie d'une série intitulée "Del Whitby series" dont deux autres volumes sont parus en français ,
Le Fils des étoiles (1976), (Starbrat , 1972) et Le Barde des étoiles (1975), (Stardrift aka Nail down the stars , 1973) ,
série d'ailleurs recensée sur BDFI .
Terre de glace, rêve de feu peut aussi être référencé dans les thèmes "fin du monde", moyennant un éclatement de la page actuelle,
un référencement dans "maladies" serait aussi possible sous réserve de créer la page.
Du travail et de la lecture en perspective.
J'avais ajouté "La cryogénisation" uniquement pour classer La Nuit des Temps (1968), (René Barjavel)
or, l'afflux des références que vous m'avez fourni,
ne correspond pas du tout à ma façon d'envisager "Le Froid".
En conséquence, je vais donc créer, sous peu, un nouveau thème sur "La cryogénisation" .
Bonjour à tous et a toutes,
[...]
D'après ce que j'ai lu,le niveau de compétence littéraire me semble assez élevé,et c'est très humblement que je me présenterai sur le forum
[...]
Ne t'inquiète pas pour cela, je n'ai jamais lu un Harry Dickson , ni un Howard, ni beaucoup d'autre choses,
je ne sais pas si je suis le seul, ...
mais cela ne m'empêche pas de parler.
Alors exprime toi tranquillement !
En B.D:
-Flash Gordon. Alex Raymond, SERG 1968 (L'épisode du Royaume de Frigie)
Je n'ai rien trouvé comme référence sur le net.
Peux-tu nous en dire quelques mots ?
A la croisée des mondes
C'est aussi une trilogie en bouquins de Pullman.
Tu veux toute la trilogie ou seulement le premier tome "Les royaumes du nord " ?
je me réserve ces livres là car je désire les lire :
C.L.A 55: John Christopher L'Hiver Eternel (L'hiver arrive, mais ne repart pas)
Captifs de la cité de glace, Garry Kilworth
La glace et le fer , Wilson Tucker
Terre de glace, rêve de feu , John Morressy
Je sais qu'il y a aussi énormément moyen de creuser sur le thème. En bd ou en manga, il faut faire la différence entre un tome qui à pour thème le froid ou alors il faut que la série ait comme décor/thème/fond le froid ?
Il faut que le thème, ou le décor soit "Le Froid",
si seulement un épisode est concerné, on ne prendra en compte que cet épisode.
Le plus important est l'appartenance au genre, SF, fantastique ou fantasy.
En manga, il y a Shirahime Syo de Clamp paru chez Glénat. Un classique sur la déesse des glaces.
On dit que lorsque la neige tombe, c'est que la Princesse Blanche est en train de pleurer... Dans ce recueil d'histoires courtes se déroulant au Moyen-âge, les célèbres filles du groupe Clamp livrent trois histoires d'amour tragiques où apparaît la princesse des neiges, figure fantastique et populaire de l'imaginaire nippon, ici servie par un dessin remarquable et une narration à fleur de peau. Un manga en un seul volume qui tient une place à part dans la chronologie du studio Clamp. Un bijou cristallin, beau comme un flocon de neige, à découvrir de toute urgence...
C'est de l'imaginaire, est-ce fantastique ?
Tiens au fait, j'y pense, il y a un tome de Bernard Prince: le port des fous qui se passe dans le nord du Canada. (Je repensais à la discussion sur les trains blindés ^^)
Résumé de l'album : Pendant l'hiver au Nord du Canada ; Callaby, l'armateur qui doit préparer le Cormoran 2 demande à Barney et Bernard d'aller récupérer le bateau « Mary-Novembre » avant qu'il ne soit pris dans les glaces. Les marins du cargo ont mystérieusement disparu. Barney, Bernard partent en hydravion avec le sergent Laroux et le docteur Meyer sur les lieux du mystère. Ils vont y découvrir quelques horreurs.
Le port des fous Chronique de l'album : Voilà le dernier album qu'Hermann ait dessiné. Greg a ensuite continué la série, avec d'autres dessinateurs, connaissant des fortunes diverses… Cet épisode se passe au Nord du Canada, où le froid et la neige sont omniprésents. Un bateau le « Mary-Novembre » est immobilisé par la glace. Le Cormoran a été détruit dans l'épisode précédent et Bernard Prince a accepté une mission confiée par l'armateur de son prochain bateau…
Cette histoire est particulièrement éprouvante. Le cargo renferme une cargaison de drogues et nombreux sont ceux qui voudraient obtenir la marchandise. Hermann semble se régaler signant des planches où la crasse, la violence et l'horreur se côtoient. Un des marins a été dévoré par des loups. Il y a aussi une scène terrible : des rats viennent manger de la viande sur le corps d'un homme agonisant. L'élément naturel est présent par la tempête de neige et la glace qui recouvre tout.
Petite anecdote cependant, on apprend que Djinn va au collège pendant l'hiver en attendant la sortie du nouveau bateau le Cormoran 2. Et on a des nouvelles de Boule de poils qui est dans une réserve car il a bien grandi…
au delà de l'horreur, est-ce conjectural ?
Ainsi que Kwaidan de Jung et Jee-Yun paru chez delcourt. Petite précision, ils sont d'origine coréenne mais ils sont mariés et belges. Ils ont été adoptés. C'est avant que l'on vienne me dire que ce n'est pas de la bd mais un manwha.
Kwaïdan - Intégrale
Date de parution : 03/12/2008 | ISBN : 978-2-7560-1561-3 | Prix public : 22.50 €
Scénario : JUNG JEE-YUN
Dessin : JUNG
Couleurs : JUNG JEE-YUN
Série : Kwaïdan
Collection : LONG METRAGE
RÉSUMÉ DE L'ÉPISODEAu XIIe siècle, dans le nord du Japon, le château du clan Okada est le théâtre d'événements étranges. Défigurée par sa soeur jalouse, une princesse se jete dans un lac, où elle demeure captive deux siècles durant. Jusqu'au jour où elle s'en échappe, et part à la recherche d'un enfant en qui elle pourrait renaître...
Cela semble donc bien appartenir au genre.
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