Vous n'êtes pas identifié(e).
Bah, ce n'est jamais que le reflet d'une époque, ...
Je sais et j'en suis conscient que lis un livre ancien. Mais, Est-ce l'auteur ou le traduction qu'il faut blâmer ? ça dépasse les limites du mauvais goût.
Moi, penser toi mal faire aller là, massa Martin
C'est abusé.
Gene Wolfe : Le livre du long soleil.
Frank Herbert : Destination vide, L'incident Jésus, L'effet Lazare, ... (avec RANSOM Bill)
Bon ! Ben voilà. En parler ici m'a amené à essayer d'en lire. Ça vieilli. Mal vieilli. Je vais déstocker. J'ai des choses plus intéressantes à ranger dans ma bibliothèque.
J'ai essayé de lire Martin crusoé. Mis à part quelques faiblesses tolérables dans un roman pour la jeunesse, le coup du domestique noir qui parle petit nègre.... Brrrr ! Quelle horreur !
Il est également l'auteur de :
Les réserves de bêtes sauvages (traduction de H.M. Cerles) avec 16 photographies hors texte noir et blanc
Bibliothèque Géographie - Payot - 1938
Aventurier d'aujourd'hui T.C. BRIDGES & H.H. TILTMAN
Collection Explorations - Voyages - Aventures - Éditions de la paix - 1949
Il ne semble pas que ce soient des œuvres de fiction
Quelqu'un sait où est située la Cité mystérieuse?
Au Brésil, semble-t-il.
Les héros rejoignent Rio, avant de se diriger vers Goiàs. Leur destination étant le territoire des Bakaïri dans la vallée de la Xingu (Mato Grosso).
J'espère ne pas faire d'erreur. Je n'ai fais que survoler le livre.
Quelques scans de couvertures ?
Aucune date de publication sauf pour le raid de martin crusoé (1929 inscrit sous le nom de l'éditeur sur la page de titre)
Une petite précision : Il semble que le titre complet du voyage dans l'inconnu soit Le voyage dans l'inconnu au cœur des rocheuses canadiennes
A référencer peut-être ?
D'après ma moitié, ce sont 5 euros bien investis. Tous ces éditeurs sont trouvables sur internet, bien sûr, mais on les trouve en une fois dans ce petit guide.
Le Cycle de La Culture de Iain M. Banks a peut-être sa place ici. Même si la majeur partie des histoires se déroulent plutôt sur des planètes, des vaisseaux immenses faisant sans cesse le tour de la galaxie y sont décrits.
Peut-être aussi Les cavernes d'acier d'Issac Asimov peuvent-elles entrer dans le thème.
Pour Les trous noirs de l'espace, il s'agit de vulgarisation scientifique.
@Gil.
Padkoi.
Voilà ce qu'on peut lire sur Camille Debans dans les figures Contemporaines tome 8.
CAMILLE DEBANS
La plus extraordinaire imagination unie à un sens du pittoresque très développé assurent aux œuvres de M. CAMILLE DEBANS le passionnant intérêt que procurent à l'esprit les ouvrages mouvementés et vivants. M. CAMILLE DE BANS est incontestablement l'un de nos romanciers populaires les plus sympathiques à cette grande masse anonyme du public aussi impressionnable qu'elle est passionnée. Ses œuvres sont très appréciées par les qualités de romancier aussi attachantes qu'elles sont spirituelles et hardies. CAMILLE DEBANS excelle aux développements les plus merveilleux d'aventures étonnantes, à ces récits passionnants de voyages et de découvertes, à ces péripéties romanesques où il semble que l'intrigue ajoute aux descriptions.
Girondin de race et de naissance, CAMILLE DEBANS, après de sérieuses études à la Faculté de droit de Toulouse, où il se trouva être le camarade universitaire de MM. Hébrard, Baragnon, de Lescure, commença par collaborer à différentes feuilles locales, et, finalement, revint à Bordeaux, où il fonda le Bonhomme, petit journal satirique assez remarqué. Puis, ce fut Paris qui l'attira, Paris, centre de toutes les activités intellectuelles, ruche où toutes les abeilles des lettres et des arts se ruent en un vol d'or ! M. DEBANS y fut bientôt. C'était au lendemain de son séjour au fort de Hâ, lieu de détention où notre jeune romancier venait de passer trente-cinq jours de captivité préventive, à la suite d'un duel assez retentissant où il s'était trouvé être le témoin de M. Broustet, depuis chef d'orchestre, lequel - Cyrano moderne - avait eu la malchance de tuer M, Chaine, son adversaire. Quelques curieux chapitres où DEBANS narra l'aventure sous le titre suggestif de : Sous Clef, lui ouvrirent les colonnes de la Revue Internationale, alors dirigée par Carlos Desrodes. De là il passa bientôt au Figaro, en ce temps-là hebdomadaire, où il signa les « échos de Paris », enfin au Temps qui consentit à publier le premier et non le moins curieux de ses romans : Octave Kellner. Enfin secrétaire de la rédaction au Petit Moniteur, M. CAMILLE DEBANS, livré tout entier aux lettres qu'il aime tant, à ce journalisme qui l'attire, voit se dessiner devant lui la plus belle des carrières. Mais vint la guerre. Avec un sang-froid admirable, le jeune romancier se transporta à Tours avec son journal, puis, de là, à Bordeaux où se trouvait l'Assemblée nationale. Enfin de retour à Paris, au 17 mars, M. CAMILLE DEBANS prit la rédaction du Grand Moniteur, auquel il se consacra pendant toute la période de la Commune. C'est dans ce dernier journal qu'il ouvrit, avec un esprit de patriotisme si élevé, cette mémorable souscription des « Femmes de France » dont le succès fut si grand que, sans l'hostilité, peut-être très politique mais incompréhensible, de M. Thiers, le comité des « femmes de France » se vit un moment en mesure d'offrir au pays de trois à quatre cents millions. Mais devant un désaveu formel force fut de restituer à ses souscripteurs. Toutefois, les listes, closes, on se trouva à la tête d'un reliquat de 7 millions non réclamé par les souscripteurs, dont il fut fait don à la caisse des Alsaciens-Lorrains.
Depuis ce temps, voué exclusivement aux lettres, M. CAMILLE DEBANS n'a cessé de publier de nombreux contes et romans dont la plupart trouvèrent, auprès du grand public, un accueil très favorable. Il est peu de récits aussi attachants que ceux de ce romancier aussi fécond qu'il est divers, aussi séduisant qu'imaginatif. Romans historiques ou de voyages, d'aventures ou de sentiment sont tombés de cette plume étonnante avec profusion. Qui ne se souvient des Drames à toute vapeur, de l'effrayante vision de ce Master-Go-Ahead sorte de mécanicien diabolique poussant sa ténébreuse machine à travers une effroyable bataille ; de la Gibosse ; du Baron Jean, de Guy de Saint-Guy, de la Cabanette, un petit chef-d’œuvre ; de ce Boissat chimiste, dont le nom n'est que prétexte à l'exposé d'un cas de conscience passionnant. Qui ne se souvient enfin de ces romans où l'histoire ajoute à la fiction: Camalet, la Peau d'un autre ? œuvres dignes d'un nouveau Paul Féval ou d'un autre Dumas père.
Journaliste assidu, conteur mouvementé, romancier pittoresque, passionnant et profond, M. CAMILLE DEBANS est de ceux dont le nom vivra dans les fastes littéraires.
DEBANS (J.-B.-CAMILLE), romancier, conteur et journaliste, né à Cauderan, près de Bordeaux, le 10 mai 1834, Fait ses études de droit à Toulouse. Débuta dans les lettres en fondant le Bonhomme, à Bordeaux, en 1857 Venu à Paris, M. CAMILLE DEBANS collabora à la Revue internationale, au Figaro, au Temps, au Paris Magazine, au Petit Moniteur, enfin au Grand Moniteur dont il fut après la guerre, secrétaire de rédaction. En dehors des œuvres patriotiques dont il s'occupa après 1871, il se consacra entièrement aux lettres.
ŒUVRES: Octave Kellner, roman dans le Temps (1865); les Drames à toute vapeur (1871); Mademoiselle la Vertu (1872); le Capitaine Marche ou Crève (1876); le Major Alleluia (1877): la Peau du Mort (1878); le Baron Jean (1879); Histoire de dix-huit prétendus (1880); Histoire de tous les diables (1882); la Cabanette (1884); les Pudeurs de Martha (1885); les Duels de Roland (1886); Au coin d'un bois (886); une Terrible Femme, 2 volumes (1887); Scènes de la vie cévenole: la Gibosse (1888); les Malheurs de John Bull (1889); les Plaisirs et les curiosités de Paris, guide (1889); les Coulisses de l'Exposition, guide pratique et anecdotique (1890); Guy de Saint-Guy (1892); Boissat chimiste (1892) l'Aiguilleur (1894); A toute vapeur (Master Go Ahead); Une orgie dans les ténèbres (1894); l'Aventurier malgré lui (1899); la Vieillesse de Don Juan, Camalet, grand roman historique et d'aventuriers de l'époque Louis XVI; la Peau d'un autre, roman historique, en collaboration avec Fortuné du Boisgobey, etc ...
Dans Le pays de la nuit, de William Hope Hodgson, l'humanité survit dans deux immenses structures pyramidales. Je ne me souviens pas que les dimensions ou le nombre d'habitants soit clairement donnés.
Pour revenir sur les mondes gigognes, on peut citer également Sursamen, sur/dans lequel se déroule toute l'histoire de Trames de Iain M. Banks.
Et, à propos projet de tour de 2000 mètres et les limites actuelles de la hauteur des tours. Cet article date de 1934, mais est très instructif. Une tour de 2000m de hauteur faite pour être base aérienne et de défense de Paris...
Promis-juré, la prochaine fois j'y penserai.
A priori, on devrait trouver des infos dans les Figures Contemporaines tirées De L'album Mariani. 01/01/1903
Mais pour ma part, je n'ai pas envie de dépenser une quinzaine d'euros pour ça , mais... dispo sur gallica.
Je prépare ça pour demain.
On peut ajouter :
Les trous noirs de l'espace.
Éditions Crémille et Famot. 1981.
Deux volumes reliés (2*248 pages)
Wikipedia est parfois ton ami... parfois.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Camille_Debans
Mais je vais en trouver d'autres.
Bonjour,
En voilà un qui a le droit, je pense à une petite place ici. Je ne crois qu'il ai écrit beaucoup de textes d'anticipation, fantastique ou fantasy, mais...
Le vainqueur de la mort. Chronique des siècles à venir, publié dans les Nos 414 à 418 (Novembre 1895) de la revue hebdomadaire La Science Illustrée est, sans conteste, une nouvelle d'anticipation.
Il a publié dans cette même revue :
- Histoire d’un tremblement de terre, Nos 261 à 265 (décembre 1892)
- L’ile de feu,Nos 281 à 285 (avril/mai 1893)
- Un duel à vapeur, Nos 385 à 391 (1895)
- Le paralytique,Nos 653 à 656 (juin 1900)
- L’angoisse,Nos 727 à 730 (Novembre 1901)
Et pour celles-là, il faut d'abord que je les lise.
... enfin, je crois !
Bienvenue sur ce forum.
Et bravo pour tes travaux de traduction.
Sans doute. Mais si les ventes de La vie électrique et Le vingtième siècle sur lulu sont l'image de l'intérêt que les lecteurs français portent à Robida, je comprends que les éditeurs (les vrais diront certains) ne cherchent pas à le rééditer.
Puisque j'ai un scanner A3 au boulot, je vais pouvoir scanner quelques couv. de cette revue. Et peut-être mettre en ligne un texte ou deux.
Je vais voir ce que j'ai.
Et dire qu'il vient d'être réédité....aux états-unis! sans commentaire!
Puis-je me permettre d'insérer ici un message pour signaler la disponibilité sur lulu.com de deux des œuvres majeures de Robida ?
Dans les deux cas, le texte est celui de la revue La Science Illustrée et est accompagné des illustrations N&B publiées à cette occasion.
Lulu.com n'est pas un éditeur français à proprement parler,mais...
Je sais ce sont sans doute les deux titres les plus faciles à trouver.
Depuis hier soir, nouvelle version du recueil Le Prévôt.
Nouvelle couverture
Nouveau distributeur (lulu.com)
Nouvel ISBN : 978-2-9532754-3-8
Et, bien sûr, le texte a été révisé.
Bienvenue à toi.
(Mon non plus, je ne suis pas très loquace ;-)
Pour Fredric Brown, c'est facile : http://www.claudethomas.net/brownbib.htm
S'il n'y a pas tout...
Je crois qu'il faut attribuer une place d'honneur à Haskel van Manderpootz dans la longue liste des savants fous. Car pour être installé, il est installé celui-là... et mégalomane. C'est un personnage clé d'au moins trois nouvelles de Stanley G. Weinbaum.
Il invente :
- le subjonctiviseur, machine à voir ce qui se serait produit si...
- l'idéalisateur, machine pour découvrir son idéal (masculin, féminin,...)
- le perceptiseur, appareil conçu pour percevoir le point d'autrui.
Le site des éditions Cauchemars n'existe plus.
Les dernières commandes n'ont pas été expédiées même quand l'argent a été encaissé. Les auteurs n'ont encore pas touché les droits d'auteurs qui leur sont dus et les illustrateurs n'ont jamais reçu ce qui leur avait été promis pour leurs travaux, etc...
Bref cette maison d'édition qui n'a jamais vraiment existé, n'existe plus.
Puis-je me permettre d'insérer ici un message pour signaler la disponibilité sur lulu.com de deux des œuvres majeures de Robida ?
Dans les deux cas, le texte est celui de la revue La Science Illustrée et est accompagné des illustrations N&B publiées à cette occasion.
gloubik a écrit :Et la voici : Le triomphe de la science
Sur la présentation, il y a semble-t-il une erreur. le texte a été publié en 2 parties et non en 4.
Merci.
La correction a été faite. C'était d'autant plus idiot que j'indiquais les bons numéros.
Il semble que les éditions Cauchemars soient en train de mourrir.
Toutes les sorties programmées sont annulées et les commandes ne sont plus honorées.
A noter également :
Beuzeley-la-Bastille (Nouvelle) 2011. Dans le volume Espèces sans frontières, Nouvelles d'Outre-Espace 3, publié par l'association Hoshikaze 2250
Pour ma part : 34,4%.
Bof !
Ça m'amène à faire deux commentaires :
- J'ai des classiques à relire (Non ni Spinrad, ni Moorcock. Ceux-là sont banis de ma bibliothèque)
- Il y a de nombreux coquilles orthographiques mais aussi une question avec deux fois la même réponse. N'y a-t-il pas des erreurs dans les bonnes réponses ?
Merci.
Euh ! J'ai un problème d'affichage de l'image de couverture. Ça vient de ma machine,... ?
Très bonne idée, c'est p'tits articles.
Pas de place dans ma bibliothèque pour les serre-livres, ni pour la lampe. Mais l'échelle va ressortir du grenier pour être installée devant la bibliothèque qui la nécessite le plus.
Et voilà l'objet après un petit nettoyage :
Pour une mise à jour de cette page de BDFI.
Autour de Londres (2011)
Ed. du Petit Caveau, Coll. Sang de Brume, 2010.
Recueil de nouvelles fantastiques
1. La terreur des hautes terres
2. Les trois mousquetaires
3. Le roi George
4. Fatum
5. Le clown
6. Piccolo
7. Premier fauteuil en partant de la droite
8. Le boulet
L'illustration de couverture et les 10 dessins intérieurs sont de l'auteure.
(EDIT Cirroco : ajout du sigle "pour complétion de la base"...écrit en petit code plus court
:m a j b d f i: (sans espaces)
Un certain nombre d’œuvres de H.G. Wells ont été publiées ( pour la première fois en langue française ?) dans la revue hebdomadaire La Science Illustrée.
- L’île de l’Æpyornis. N°527 à 529 (janvier 1898)
- Les pirates de la mer. N°620 à à 622 ( fin octobre 1899)
- L’étoile. N°625 et 626 ( fin novembre 1899)
- L’œuf de cristal. N°647 à 650 (avril - mai 1900)
- L’homme qui pouvait accomplir des miracles. N°666 à 669 (septembre 1900)
- Un étrange phénomène. N°673 à 675 (fin octobre 1900)
- La guerre des mondes. (1901)
- Dans l’abîme. N°784 à 787 (décembre 1902)
- Les triomphes d’un taxidermiste. N°805 (2 mai 1903)
- La pomme. N°806 et 807 (mai 1903)
- L’homme volant. N°808 et 809 (mai 1903)
- Les argonautes de l’air. N°819 à 822 (aout 1903)
Ma collection n'étant pas complète, il en manque peut-être.
[Gil] Belle récolte, merci !
gloubik a écrit :Et que penses-tu d'un éditeur qui après avoir reçu une copie du manuscrit par mail, en demande une copie papier pour répondre quelques semaines plus tard «Nous sommes désolés mais vous ne correspondez pas à notre ligne éditoriale» ? Ne crois-tu pas que la copie électronique suffit pour faire ce genre de réponse ?
... ça, c'est son problème, c'est la manière dont il organise la lecture des manuscrits. Je rappelle par ailleurs que les manuscrits électroniques, c'est quelque chose de très récent, et que dans un passé tout proche, ça n'existait pas, et ça n'empêchait pas les écrivains d'être publiés.
Il faut aussi se rendre compte que, avec le manuscrit électronique, les éditeurs qui acceptent les manuscrits électroniques vont recevoir beaucoup plus de textes. Ce qui fait que ça leur prendra beaucoup plus temps pour répondre...
Il faut essayer de se rendre compte de ce que c'est, que le travail de lecture et de sélection de textes. Il faut aussi avoir bien à l'esprit que l'édition, c'est une activité commerciale (la maison d'édition doit vivre, et les textes qu'elle publie sont censés plaire au gens, pas seulement être "publiables").
Si un jour, tu as l'occasion de travailler dans une maison d'édition, n'hésite pas. Cela te fera vivre l'autre point de vue.Oncle Joe
Ou je me suis mal exprimé ou tu ne m'as pas compris. Si, après réception d'un mail d'un auteur, l'éditeur réclame une copie électronique du roman ; après réception de la copie électronique, demande une copie papier. Peut-il décemment répondre que le manuscrit ne correspond pas à sa ligne éditoriale ? S'il le fait qu'il ne se plaigne pas de recevoir trop de manuscrits et de ne trouver aucun nouvel auteur.
Et que penses-tu d'un éditeur qui après avoir reçu une copie du manuscrit par mail, en demande une copie papier pour répondre quelques semaines plus tard «Nous sommes désolés mais vous ne correspondez pas à notre ligne éditoriale» ? Ne crois-tu pas que la copie électronique suffit pour faire ce genre de réponse ?
Il y a quand au moins un éditeur, et pas parmi les plus petits, pour prendre la peine de signaler quelques défauts et qualités de l'oeuvre dans sa lettre de refus. Au moins avec lui on n'a pas l'impression d'être pris pour un C...
Oh, bien sûr la réponse de l'éditeur n'était pas formulée comme ça exactement, mais le sens était là. A la place de bon, c'était peut-être intéressant ou "nous a plus". L'idée sous-jacente était quand même, on ne vous connais pas, donc on ne vous éditera pas.
Et non. Je ne donnerais pas de nom. ;-)
gloubik a écrit :Sybille a écrit :Si un auteur veut absolument être édité, alors que sa prose ne convainc personne et parce qu'il a des sous à perdre, l'auto-édition est son amie.
C'est facile de ne convaincre personne : il suffit de ne jamais avoir été édité.
Je pense que personne ne convaincra davantage en payant le prix fort un éditeur à compte d'auteur pour sortir un bouquin qui ne se vendra pas et donc ne sera pas lu... S'il existe des bons moyens, celui ci n'en est clairement pas un ! (et l'auto-édition à peine meilleure, mais au moins il n'y a pas d'arnaque).
Je suis tout à fait d'accord avec toi. Je faisait que relever et répondre à cette phrase de Sybille. Non il ne suffit pas d'être bon pour être publié. Il peut t'arrivé de recevoir la réponse "Votre travail est bon. Faites vous éditer par une autre maison d'édition et revenez vous voir quand vous serez un auteur connu et reconnu"
Par ailleurs ton bilan des modes de publication, et leurs avantages et inconvénients, me parait des plus pertinent.
Si un auteur veut absolument être édité, alors que sa prose ne convainc personne et parce qu'il a des sous à perdre, l'auto-édition est son amie.
C'est facile de ne convaincre personne : il suffit de ne jamais avoir été édité.
Tes premières sources viennent peut-être de " POLYBIBLION REVUE BIBLIOGRAPHIQUE UNIVERSELLE "?
C'est bien possible. Merci.
Il faudrait quand même que je perde l'habitude de ne pas noter toutes mes sources d'info.
A force de chercher, j'ai trouvé ça : http://www.bdfi.net/forums/viewtopic.php?id=1005.
J'ai eu l'info. Autrement je ne me serais pas permis d'écrire sur mon site que Fernand Hue avait été membre du 1er régiment de chasseurs d'Afrique. La question est maintenant de retrouver ma source.
Par contre, peut-on considérer que la présence d'une correspondance entre Émile Zola et Fernand Hue soit une preuve ?
C'est aussi sous le nom de Fernand Hue qu'il a été membre de l'Association des Journalistes Parisiens.
Dernière trouvaille.
D'après le Répertoire de la littérature de voyage française au XIXe siècle Il s'agit bien de trois nom d'écrivain pour un même individu.
Une chose est certaine : ce livre n'est pas dans ma bibliothèque. Par contre, il y a un autre ouvrage que la BN attribue à Fernand Hue sur Gallica, Le Testament de M. Maliroux, par Paul Blaise,... Hue, Fernand (1846-1895) 1893 dont la page de titre donne clairement le nom de Paul Blaise comme nom d'auteur. Serait-ce un pseudo ? Je n'ai pas la réponse. Je vais chercher un peu plus loin.
Édit
J'ai trouvé dans ce catalogue d'autres titres signés Paul Blaise :
* Le Congo. Histoire et description, mœurs et coutumes
* La fille de l'émigrant.
* Les deux maraines.
* L'héritage de Jeanne Michelin.
* Aventures de deux Français et d'un chien en Australie
* Le Testament de M. Maliroux.
* Le torpilleur N°127.
Ainsi que plusieurs ouvrages de Fernand Hue qui lui sont attribués, mais aussi une trace de son court roman d'aventure Les mésaventures d'un volontaire malgré lui qui y est attribué à un certain J. Feyrol. Et celui-là, je l'ai dans ma bibliothèque avec le nom de Fernand Hue comme auteur. Puis-je me permettre de supposer que ce sont là trois noms d'écrivain pour une même personne.
Fernand Hue(1846-1895) a d'abord été brigadier au 1er régiment des chasseurs d'Afrique avant de se faire connaitre en tant qu'écrivain. On lui doit plusieurs romans d'aventures, des livres de vulgarisation scientifique, une histoire du 1er régiment des chasseurs d'Afrique et de nombreuses nouvelles pour enfants.
Parmi ses romans d'aventures, on peut citer :
* Les mésaventures d'un volontaire malgré lui. (Lecène et Oudin. Ill. Gil Baer)
* Aventures de cinq chasseurs d'Afrique au Mexique, Les Bouchers Bleus, grand roman historique (Société Française d'Imprimerie et de Librairie, illustrations de Gil Baer)
* Le capitaine frappe d'abord, grand roman historique, illustrations de George Roux, H. Lecène et H. Oudin, 1894
* 500,000 Dollars de récompense, illustrations de Gil Baer, cinquième série, Société Française d'Imprimerie et de Librairie
* Les voleurs de locomotives, illustrations de George Roux, Société Française d'Imprimerie et de Librairie
* Les coureurs de frontières, illustrations de Vintraut et Petit , Société Française d'Imprimerie et de Librairie. Publié en feuilleton dans Le soleil du Dimanche, 1890.
* Les cavaliers de Lakhdar, illustrations de Gil Baer, Société Française d'Imprimerie et de Librairie
* Aventures de deux Français et d'un chien en Australie, (Lecène et Oudin, Paris, 1887)
* Autour du monde en pousse-pousse, voyage d'un ressuscité, visite de l'exposition universelle de 1889, Société Française d'Imprimerie et de Librairie
Pour plus de détail sur ses œuvres voir la page Fernand Hue sur mon site.
Là, je ne suis pas du tout d'accord avec ce principe. Contrairement à l'auto-édition, il y a un comité de lecture indépendant qui ne se privera pas de rejeter les textes de mauvaise qualité (parfois plus d'une centaine de textes reçus pour une dizaine d'élus).
Je ne souhaite pas participer à des appels à textes avec frais de gestion, inscription,... mais il y a un gap important avec de l'auto-édition où tu te fait plaisir à mettre sur papier un texte qui n'a souvent été "jugé" que par des personnes qui ne sont pas objectives (famille, amis, collègues,...).
Bonsoir Sybille,
Oui c'est payant, mais il y a une nuance entre payer 10euros de frais d'inscription et faire de l'édition à compte d'auteur. Si tu es retenu, tu récupère tes 10 euros sous forme d'un exemplaire du recueil. Sans compter les droits d'auteur bien sûr. Si tu n'est pas retenu, tu peux toujours te consoler en te disant que tu as aider d'autres jeunes auteurs à démarrer.
Merci pour l'info. Elle va en tenir compte. Mais est-ce vraiment interresnt pour un jeune auteur ?
Bonjour à toi, Fabrice du 57.
Mon épouse a fait sa petite enquête, et n'a trouvé qu'un seul appel à texte pour des romans. Malheureusement dans le domaine du polar. Il va te falloir faire comme elle : soumettre ton texte à de petits éditeurs spécialisés dans le fantastique. Ils sont plusieurs à accepter les soumissions par e-mail. Ça réduit sérieusement les coût.
Tu peux trouver sur le forum qu'elle a créé une liste de maisons d'éditions avec des infos les concernant.
Merci à tous pour votre accueil.
J'espère que mes apports seront à la hauteur des vôtres. Visiblement mon pseudo plait, et j'en suis ravi. Ce n'est pas vraiment une preuve d'imagination débordante de ma part puisque c'est le nom de domaine de mon site et que c'est une idée de mon épouse. Par ailleurs, elle m'a refiler le virus de l'écriture. Je n'ai rien caser chez les éditeurs. C'est peut-être mauvais j'aimerais assez votre avis. Vous pouvez en lire une ICI
Bonjour,
Les amateurs des œuvres Fredric Brown connaissent-ils cette page ?
http://www.claudethomas.net/brownbib.htm
Elle m'a l'air des plus exhaustives.
Malgré ça, je penses que je vais me décidé à mettre en ligne un inventaire de ma collection.
Et voilà ! J'ai craqué : Inventaire de mes volumes de Fredric Brown sur mon site
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