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Alors voila comment notre bonne presse catholique,
et destinée aux jeunes,
donne une approche de la S-F!
Des parents alcooliques,
un martien voleur de courant,
l'apologie de tous les défauts :
la gourmandise,
le mensonge,
la violence ...
Heureusement, il n'y a pas de meurtres,
et personne ne couche avec la femme du voisin.
N° 255 Un Martien dans le frigo (1997), une histoire écrite par Stéphane Marchand et illustrée par Pronto, collection "J'aime lire", éditions Bayard Presse Jeune, 15,5 x 18,8 , 76 pages, prix 30,00 francs
C'est dimanche, Lucien Berlut est seul à la maison. François et Valentine, ses parents, prennent l'apéritif chez monsieur Choux, le voisin journaliste. Quelqu'un sonne, c'est Marmouk, le martien qui est en panne de batterie avec sa soucoupe et qui l'a mise en charge dans le garage. Il faut trois jours de charge, pendant ce temps le martien va se cacher dans le frigo, au milieu de la salade, et il va manger tous les gateaux au chocolat préparés par Valentine.
Après de nombreux mensonges destinés à expliquer la disparition des gateaux, le bris du mobilier, en effet pour rester mince, le martien pratique le Karaté,
le jour de la séparation arrive, le martien pleure comme des bas de laine et se mouche dans les rideaux.
Lucien explique à ses parents que tout ce qui vient de se passer est un poisson d'avril !
Et en secret il attend Marmouk qui doit revenir pour les grandes vacances.
Ce numéro comporte également un épisode de la série Tom-Tom et Nana intitulé "Monstre d'Avril",
ou l'on peut juger de l'utilisation du matériel publicitaire du film "Les Vorax".
Docteur Mabuse, jure que tu n'as pas été heureux d'examiner le tas de "Printemps" sur toutes leurs coutures même si un nombre ridiculement petit d'histoires frôle la conjecture! Et qui ne passerait pas une bonne journée à parcourir des Tout Savoir en ricanant toutes les deux pages?
Oui, tu as raison, c'est peut-être simplement que je déborde un peu en ce moment,
sans trouver le temps de classer, je ne parle pas de l'espace.
De plus, la fréquentation de ce bon forum me donne des idées,
des achats que je n'aurais pas fait,
étant plus lecteur que collectionneur.
Or je crois que j'achète environ 10 à 20 livres par semaine,
j'en lis 3 dans le même temps.
En lire plus n'est pas raisonnable, ce n'est plus vraiment du plaisir,
cela devient de l'abattage.
Je n'achète pas encore le "Lisette", mais j'achète des "Lectures pour Tous",
la plupart du temps, je n'ai pas tous les numéros pour lire ce que je veux.
Ou "Le Journal des Voyages", ils sont très beaux, mais difficiles à gérer.
Et puis il y a les jours où, même à Paris, je fais des kilomètres en banlieue (Pouah)
au milieu de pauvres gens qui ne savent pas lire.
Enfin tu vois, c'est un peu "existenciel"
Certes, ce n'est pas inoubliable mais c'est le premier Michel Jeury qui allait devenir, à partir de 1973, avec Le Temps Incertain, une des écrivains français de science-fiction les plus importants.
J'ai donné mon opinion sur un livre bien précis, ceci dit,
j'ai beaucoup aimé "Le temps incertain", " Les Singes du temps", "Soleil chaud poisson des profondeurs",
et tout ceux publiés au Fleuve par la suite: "Les Îles de la Lune", "La Sainte Espagne programmée", etc ...
et je tiens aussi Michel Jeury pour un grand acteur de la SF française.
...
Les brocantes, c'est un peu comme les bistrots du petit matin, quelquefois, fait froid et on préfèrerait être aux plumes, d'autres fois, c'est sympa de voir le petit jour se lever sur un petit temps frais et clair avant la grosse chaleur de la journée.
Oui, je suis bien d'accord avec toi
C'est pourquoi je fais encore les brocantes, malgré tout,
mais, c'est vrai que je me rends compte que je n'achète que des daubes,
ou vraiment des trucs que je n'aurais pas acheté dans un autre cadre.
Un coup de blues, comme tu dis ...
Dans tous les cas, je préfère arpenter une braderie aux aurores qu'une grande surface à 17 heures le samedi
Et en plus, c'est meilleur pour les maladies cardio-vasculaires
Dr Mabuse a écrit :plutôt que d'espérer le trouver dans une brocante déjà pillée à l'heure où j'arrive.
C'est ce que doivent se dire certains qui me croisent vers 8h30... quand je rentre chez moi
Exactement,
plutôt que de me les cailler à 4:00 du mat,
autant te laisser acheter le "Edgar Wallace" à 1 euro
et ensuite te le laisser me le vendre à 10 (je baisse un peu )
j'aurais ainsi évité de ramener chez moi les 9 daubes que je n'aurais acheté que par impulsion ...
Les collections privées sont des émanations de leurs propriétaires et je doute que tous logent à la même enseigne, question de moyens, de lieux, de temps ou de circonstances.
Heureusement, "l'ennui naquit un jour de l'uniformité".
Je nous imagine, allant chez le fourrier toucher notre collection standard, contre notre "bon".
... mais comme le disait fort justement Cirroco tout est une question de moyens et là aussi nous ne sommes pas tous égaux et je persiste et signe,actuellement le marché appartient aux plus fortunés et je souhaite bonne chance aux nouvelles générations
"ce qu'il a, il ne le veut pas,
et ce qu'il veut, il ne l'a pas" (traduction libre d'une chanson populaire)
Ce n'est pas la "fortune", mais ce que nous décidons de faire de nos ressources.
Certains boivent, d'autre achètent des livres ...
D'autant que les compteurs sont remis à zéro à chaque décès,
lors de la dispersion de la collection à bas prix ...
...acheter un seul livre à 50 euro plutôt que 50 daubes à 1 euro ...
Actuellement, je dépense environ 10 euro sur une brocante, et j'achète ce que je trouve
donc sans vraiment choisir ...
Avec, mettons 20 euro, je pourrais acheter un seul livre,
mais par exemple, le "Edgar Wallace" qui me manque,
plutôt que d'espérer le trouver dans une brocante déjà pillée à l'heure où j'arrive.
Et les collectionneuses, ont-elles une âme, au moins?
Ah, non, heureusement !
N'oublions pas que les âmes sont en nombre limité.
Mais ce n'est pas le sujet du débat
Dave O'Brien a peut-être raison :
acheter un seul livre à 50 euros plutôt que 50 daubes à 1 euro !
Et rester le matin dans son lit, au chaud ...
je crois bien que cela mériterait un topic entièrement dédié.
Sans vouloir se séparer d'une seule pièce chèrement ou douloureusement acquise,
nous nous retrouvons quand même à la tête de cartons pleins de daube,
ou simplement de doubles en état moyen,
pour lesquels il serait bon d'avoir un moyen simple
de s'en débarrasser .
Reliure éditeur et soldé (tranche peinte en rouge)
Spoutnik sans numéro,
contient Spoutnik n° 1 à n° 6
ce sont des rééditions en grand formats des premiers numéros de Météor,
dont tout le monde sait que les vingt (?) premiers étaient d'un format plus petit.
Les premières aventures de Texas, Spade et du professeur Spencer
qui vont atteindre la Lune avant de connaitre des aventures très semblables à Star Treck,
en plus artisanal.
signature : R.R. Giordan.
(c) Artima 1957 puis 1958.
Spoutnik sans numéro,
contient Spoutnik n° 13 à n° 18
les aventures de Pilote Tempête.
Pas de signature apparente.
(c) Artima 1958 puis 1959.
Auteur : Machen, Arthur
Titre : La Pyramide De Feu
Traduit de l'allemand par Marcel Schneider
Prix 19,95 EUR
ISBN 2-7557-0226-5
Paru le 08/02/2007
Editeur : Ed. du Panama, Paris
Collection La bibliothèque de Babel
Description 176 p. ; 23 x 13 cm
Précédant la littérature réaliste, la littérature fantastique est d'une composition ardue, le lecteur ne devant pas oublier que si les histoires narrées sont des fables, elles n'en possèdent pas moins une véracité symbolique et essentielle. Résignons-nous à admettre que la littérature est un jeu, qui procède par combinaisons de mots, pièces conventionnelles, mais sans oublier que pour ses maîtres - et Machen est l'un d'eux - cette sorte d'algèbre ou de partie d'échecs doit rentrer en correspondance avec une émotion. Arthur Machen peut, en certaines occasions, nous proposer d'incroyables fables, mais nous sentons que c'est une émotion véritable qui les a inspirées. Presque jamais il n'écrit pour forcer l'étonnement, il écrit parce qu'il se sait l'hôte d'un monde étrange
Jorge Luis Borges.
Vance, Jack,
Tout Lyonesse ...
Le Jardin de Suldrum, Presses Pocket n° 5189.
La Perle Verte . Presses Pocket n° 5221,
Madouc , Presses Pocket n° 5394,
illustration de Siudmak
Comme d'habitude, les deux premiers sont les éditions originales antérieures au coffret.
Ce qui apporte un brin de fantaisie dans la présentation ...
...
Pour 40ans de passion, ça fait pas un si gros bas de laine à la fin, ...
En recentrant le débat.
Quelqu'un connaît-il Dionnet?
Le pourquoi de sa vente nous intéresse tous, n'est-il pas ?
Resident Evil: Extinction, film américain (2007),
réalisé par Russell Mulcahy, avec Milla Jovovich, Mike Epps, Ali Larter, Oded Fehr, Iain Glen, Spencer Locke ...
Alice Prospero, échappée des expériences menées par les laboratoires Umbrella,
est douée de télékinésie, et d'autres qualités utiles.
Elle rejoint la caravane de camions des rescapés de la fin du monde due au virus T.
Ils doivent trouver de l'essence et se rendent à Las Végas complètement ensablé,
où ils sont attaqués par des zombies déposés par le professeur Isaacs.
Toutefois les survivants suivent le professeur dans son repaire ...
Je n'ai pas vu les deux premiers épisodes, mais cela n'est pas génant.
Ce n'est pas un film de zombies qui courent partout.
C'est plutôt dans la veine de "I am Legend" de Matheson.
Seul le sang d'Alice peut permettre de fabriquer le vaccin.
Les références sont nombreuses avec,
entre autres les corbeaux qui ont mangés la chair infectée,
et les costumes à la Mad Max.
J'ai trouvé le film que j'étais venu voir.
Anouk a créé un site sur Heinlein : http://heinlein.free.fr/
Remontée de topic bassement intéressée.
Z'avez des scans de pièces de SF genre courtes?
J'en parle souvent car j'estime que c'est de la S.F.
"Les Bâtisseurs d' Empire" de Boris Vian.
...
Donc, j'en concluais que soit ces auteurs n'existaient pas en Ailleurs et Demain qui donc ne méritait pas "tous les plus grands ou presque", soit tu ne les citais pas, et c'était rudement subjectif, CQFD
Avec deux niveaux de sélection:
celui de Klein,
celui de Mister Lag,
nous nous éloignons de toute objectivité.
...,J.P Dionnet vend sa collection consacrée au cinéma....
Je ne vais pas dire quel âge as-t-il, c'est indiscret,
mais dans quelle tranche de sa vie se situe-t-il?
La vente est aussi une sorte de préservation, au moins les objets vont-ils chez des collectionneurs, et pas chez des béotiens ou à la benne ...
Faut-il supprimer la liste citée
ou choisir un auteur de chaque catégorie.
Ou bien dire :
tous les plus grands (ou presque) de la SF classique – Dick, Brunner, Herbert, Silverberg, Spinrad, Clarke, Farmer… – et moderne – Simmons, Bear, Egan, Hamilton…
il y a aussi quelques femmes
et quelques francophones.
Sérieusement.
N'y en a-t-il pas un qui est le contenant et l'autre le contenu ?
J'ai bien vu les livres enchaînés
mais c'est que des bibliothèques de moldus ...
rien sur Poudlard ?
Quelqu'un collectionne les coffrets, ici? J'en ai quelques uns, c'est assez sympa et très pratique pour faire presse-livre
Quand la mode des coffrets a débuté? Il n'y en avait pas tant que cela auparavant en SF-Fantastique.
Les premiers dont j'ai le souvenir:
"La Reine de l'Eté" de Joan Vince,
"Le Pnume" et cie de Jack Vance,
aux alentours de 1985, peut-être.
Mais c'est du para-texte, comme les signets, les flyers, les catalogues, les cartes postales, les affiches, les personnages en cartons de Zelazny, etc ...
Moi aussi je préfère Siudmack pour ses femmes,
et Caza pour ses couleurs.
Mais un esprit souffle sur les couvertures de Csernus.
Une grosse différence de budget:
dans le premier il y a 10 acteurs et 30 zombies,
peu de scènes dans Londres,
beaucoup de campagne déserte
9 semaines de tournage.
Dans le 2ème, il ya 100 personnages et autant de zombies,
beaucoup de scènes aériennes dans Londres,
beaucoup de matériel militaire,
des hélicoptères,
des effets spéciaux,
des vedettes connues,
1 an d'écriture du scénario
etc, ...
Au début, je me suis cru dans un film américain, c'est dire ...
Le premier a du gagner beaucoup d'argent pour une mise réduite,
Le deuxième a capitalisé sur l'image.
Essaie de regarder les bandes-annonces.
28 semaines plus tard film britannique de science-fiction (2007)
De Juan Carlos Fresnadillo, avec Robert Carlyle, Rose Byrne, ...
Le film précédent n'est utile que pour situer le cadre dans lequel va se dérouler ce nouvel épisode.
De nouveaux personnages échappent aux attaques des zombies.
Après six semaines de "quarantaine", l'armée américaine débarque en Angleterre, avec de gros moyens, pour procéder à la Reconstruction. Un ilôt sécurisé est créé au coeur de Londres.
Il est bien évident que le virus réapparait. Les militaires tentent bien d'encadrer les nouveaux zombies, mais finalement débordés doivent déclencher le "Plan Rouge", exterminer tous les civils.
Voilà un film à très gros budget. Après un démarrage un peu trop gore, le message est clair :
l'armée est peut-être indispable dans certains cas, hélas, elle ne peux pas agir avec finesse.
Désirant voir "28 semaines plus tard", je me devais de voir le premier opus :
28 jours plus tard Film britannique de Science fiction (2003).
Réalisé par Danny Boyle, avec Cillian Murphy, Naomie Harris, Christopher Eccleston, ...
Trois parties dans ce film :
Un prologue où des militants "écologiques" s'introduisent dans un laboratoire pour libérer des singes, sujets d'expériences. Les animaux sitôt libérés mordent les membres du commando, les transformant ainsi en zombies.
Vingt huit jours plus tard, Jim, victime d'un banal accident de la circulation, se réveille d'un profond coma, dans un hopital pour constater que Londres a été evacué. Dans cette ville déserte subsistent quelques zombies qui remplissent leur rôle de propagateurs du virus.
Trois survivants, Jim et deux femmes, trouvent refuge auprès d'une petite unité militaire.
Seulement le but de ces militaires est de repeupler l'Angleterre, ...
C'est un film à petit budget, donc l'action et le message, sont épurés et cette simplicité est la force de l'histoire.
L'Age des ténèbres Film canadien. 2007.
Réalisé par Denys Arcand, Avec Marc Labreche, Diane Kruger, Sylvie Léonard, Macha Grenon, Emma de Caunes, Rosalie Julien, ...
A quel moment, sommes-nous dans la science-fiction?
Voici un Québec où le conducteur du train de banlieue descend tous les jours de son train pour taper sur le boogie de sa motrice afin de rétablir le contact, où le vendeur d'une maison doit signaler à l'acheteur les suicides, ou les agressions dont elle a été le théatre, ce qui engendre une décote, où il est interdit de fumer en plein air et une brigade avec chien veille au respect de cette loi, etc ...
Jean-Marc Leblanc travaille dans un stade dont les tribunes ont été reconverties en bureaux.
Il reçoit des cas difficiles, un piéton pris dans un accident de moto, qui y a perdu ses deux jambes, et a qui la ville de Montréal demande de rembourser la moitié du lampadaire détruit à cette occasion, une femme dont la police a arrété sans raison son mari, cuisinier arabe, et dont elle est sans nouvelles, etc ...
Il leur explique que c'est la loi, "que c'est comme ça que ça marche".
Alors il réve sa vie, il est une personalité, acteur, écrivain, politicien, il est entouré de femmes splendides et aimantes.
On entend bien Kafka ou Spinrad, ou Ballard, ou Dick ...
Tu les achètes, ou sont-ce des SP ?
Christian
hyper-titanMessages: 100000000
Ouf, merci
Je suis assez inquiet.
J'ai l'impression que le compteur de messages ne comporte que 7 positions.
Est-ce à dire que nous sommes limités à 9 999 999 ?
Le combat des Titans ...
S'il est vrai que l'existence de reéditions est un signe de qualité,
ou peut-être simplement d'intéret,
et en comptant uniquement le nombre d'éditeurs, ou de collections,
55 titres n'ont jamais été reédites,
26 l'ont été 1 fois,
19 ............ 2 fois,
10 ............ 3 fois,
. 8 ............ 4 fois,
. 1 l'a été ... 6 fois, il s'agit de "Fondation".
124 Françoise D'EAUBONNE, Rêve de feu, illustration de Forest, 1964.
Prométhée est-il coupable?
L'inventeur du feu qui a doté l'humanité de sa meilleure défense, l'a-t-il précipitée sur la pente fatale de la guerre atomique, puis de la guerre cosmique?..
En ce Paris d'après la 3ème G.M., Iris révait trop. Elle n'osait en parler, même à son « relaxateur ». Et, tombée dans un sommeil cataleptique, elle s'est réveillée, hors du temps et de l'espace, dans la cité de ses cauchemars...
Fresque haute en couleurs, roman à « suspense », voici le dernier « space opera » de Françoise d'Eaubonne.
Une fin lamentable pour cette collection qui nous a fait tellement rêver.
122-123 N.Ch. HENNEBERG, La Plaie, illustration de Forest, 1964.
An 3000.
Conquise par la « Plaie », une force noire qui l'assaille périodiquement, la Terre semble perdue, face aux Etoiles libres.
Mais ses meilleurs enfants s'unissent pour la délivrer.
Après un exode vertigineux, le choc des vaisseaux fous dans l'espace, la Terre en proie aux Ombres, les planètes hallucinantes de beauté ou d'épouvante...
De grands anges de flamme combattant des démons irresponsables, des possédés...
Et maintes aventures humaines dans l'effrayante mélée des mondes.
Le plus épique, le plus fabuleux « space opera » de Nathalie Ch.-Henneberg.
L'œuvre est trop complexe pour que je tente d'en parler en quelques mots.
Il faut absolument lire cette épopée, ainsi que sa suite "Le Dieu foudroyé".
121 John TAINE, L'Etoile de fer (The Iron Star), texte français de Christine Renard, illustration de Forest, dépôt légal 4ème trim 1963.
La police de Chicago, apercevant une ombre énorme qui se balançait dans les arbres d'un parc public, a abattu un anthropoïde d'une taille impressionnante. Au lieu du fou dangereux qu'elle croyait.
Le docteur Colton intervient pour que le cadavre soit immédiatement détruit. Car il sait que, sous le pelage épais et les formes animales, l'autopsie la plus sommaire révèlerait un squelette humain. Celui d'un femme qui fut belle et qu'un vice ou un mal horrible a tranformée en bête!
Cet incroyable mystère qu'il est déterminé à résoudre, entraînera Colton loin dans les profondeurs des jungles du Congo. Et le premier indice qui le mettra sur la voie, sera une petite pointe d'un métal noir, redoutable. Du fer tombé d'une étoile!
Pas lu
120 A. Et B. STRUGATZKI, Les Revenants des étoiles (Vozvrajenié), texte français de Pierre Mazel, illustration de Forest, dépot légal 4ème trim 1963.
Sur les écrans du Central Dispatching cosmique, une forme insolite apparaît. Celle d'une fusée périmée à réacteur nucléaire qui va s'abattre sur un cosmodrome désaffecté.
- Salut à vous tous, mes descendants! dit l'un de ses deux occupants blessés, avant de s'évanouir.
La fusée ZT 3 « Taymir » était partie en 2017. Mais au 434ème jour de son envol, elle avait brusquement disparu en tentant de franchir le « mur de la lumière ». Et la voilà revenue... plus de cent cinquante ans après!
Les deux revenants des étoiles, le pilote Kondriatev et Slavin, son compagnon, ont tout à réapprendre dans ce monde de l'an 2169 où ils se retrouvent sans avoir vieilli, avec ses routes automouvantes, ses D-cosmofusées, ses fermes de baleines ou d'éléphants et tant d'autres merveilles... Comme si des hommes n'ayant connu que la lampe à huile se trouvaient devant un tube d'éclairage au néon!
Pas lu.
119 L.Sprague de Camp, La Couronne de Lumière (Rogue Queen), texte français de Christine Renard, illustration de Forest, dépot légal 4ème trim 1963.
Sur la lointaine planète Niond, Iroedh, loyale « ouvrière » de la cité-fourmilière d'Elham, entre en contact avec les membres d'une expédition venue de la Terre.
Ceux-ci lui ressemblent physiquement mais leurs mœurs lui paraissent d'abord horrifiants, puis fascinants.
Lorsqu'à cause de son amitié anormale pour le « bourdon » Antis, l' « ouvrière » Iroedh doit fuir avec lui de la cité-fourmilière, tous deux se joignent aux Terriens. Et bientôt les circonstances contraignent Iroedh à enfreindre l'un des plus forts tabous de sa race.
D'étonnantes péripéties s'en suivent. Iroedh serait-elle " la reine des truands, le front ceint de lumière " qu'annonce l'Oracle de Ledhwid?
Pas lu.
Et maintenant, la présentation en "écran de télé"
118 Vladimir VOLKOFF, Métro pour l'Enfer, illustration de Forest, 1963.
Un violoncelliste, deuxième classe de l'armée française de surcroît, rencontre dans le métro, une jeune fille qu'il aima jadis et qui mourut.
Ses joues sont blèmes, ses paupières d'argent, ses doigts glacés. Elle lui dérobe ses lèvres bleues mais l'entraîne dans la dernière rame, au-delà de la dernière station.
Mille légendes n'attestent-elles pas l'existence d'un monde souterrain qui, de temps en temps, entre en communication avec le nôtre?
Mais depuis le Moyen-Age, l'entonnoir infernal que Dante, seul parmi les vivants, visita, s'est modernisé. C'est maintenant un enfer technique.
...Jusqu'au jour apocalyptique de la révolte des morts!
Pas lu.
Plutôt que de lire un des livres suivants, et d'être peut-être obligé d'en dire je ne sais quoi,
j'ai préféré lire un Carsac, "Les Robinsons du Cosmos", pour mon plaisir, et j'espère pour le vôtre.
117 Lieutenant KIJE, L'Epée de l'Archange, illustration de Forest, 1963.
Dans un monde déconcertant d'après les grandes guerres atomiques, un déserteur, Fenris, accepte la proposition d'un mystérieux Docteur.
Le financier Loewenstein sait qu'on doit l'assassiner, Fenris est recruté comme homme de main pour parer à cet événement.
Mais qui est ce "Docteur" qui semble avoir accumulé les connaissances pour le plus grand bien de l'Humanité? Qui offre son épée, son pouvoir et ses conseils à tous? Pour quelle raison, puisqu'il ne demande aucun paiement?
Et les femmes qui aiment Fenris, veulent-elles le protéger ou le perdre? Le pourront-elles?
Où le destin mène-t-il Fenris?
Pas lu.
La Roue du Temps n'aura pas de fin : on annonce le décès de son auteur Robert Jordan hier 16/09/07.
Peut-être L. Sprague de Camp pourrait s'y coller
116 N.Ch. HENNEBERG, Le Sang des Astres, illustration de Forest, 1963.
Selon le professeur russe Agrest, il existerait, rien que dans notre Galaxie, cent cinquante mille planètes au moins, dont les conditions seraient analogues à celles de la Terre. Mais, naturellement, leur développement pourrait être différent.
Qu'arriverait-il si des astronautes terriens de l'an 2 700, tombaient en plein Moyen-Age sur une telle planète?
Si tous les secrets de la Cabbale étaient réels?
Si une comète était, simplement, une Salamandre?
Et si, comme l'Ondine ou la Sirène des contes, cette fille du feu, ce « Sang des Astres » s'éprenait... d'un Cosmonaute errant?
Seule, l'inépuisable richesse, la poésie imaginative de Nathalie Ch.-Henneberg peut oser tisser la toile - le piège d'un aussi merveilleux « opéra » de l'Espace et du Temps.
Pas lu.
115 Ray CUMMINGS, Tarrano le Conquérant (Tarrano the Conqueror), texte français de Christine Renard, illustration de Forest, dépôt légal 3ème trim 1963.
Au 25ème siècle, la vertigineuse volonté de puissance qui l'anime, a fait d'un obscur subalterne vénusien, Tarrano, le conquérant de deux mondes, Vénus et Mars.
Enivré de lui-même, il entreprend, par des moyens ultrascientifiques d' « intoxication » des foules et d'assassinat des gouvernants, de soumettre la Terre à sa domination.
Tarrano réussit à s'emparer de la fameuse machine du Docteur Brende, et enlève Elsa, la fille de l'inventeur assassiné, pour laquelle il s'est pris d'une violente passion.
Mais la promesses de la vie éternelle dont la possession de la machine le rend maître et dispensateur, assure-t-elle sa victoire finale?
...Victoire que devrait couronner l'amour éternel qu'il entend obtenir d'Elsa.
Dans la lutte qui passe bientôt de la Terre sur Vénus, sera-t-il jusqu'au bout Tarrano-le-Conquérant?
Pas lu.
114 A. POLEISCHUK, L'Erreur d'Alexei Alexetev, texte français de Pierre Mazel, illustration de Forest, dépôt légal 2ème trim1963.
Une lettre d'Alexei Alexeiev annonçait que ce qu'il venait de découvrir ferait « exploser » toutes les connaissances en physique.
Et une inexplicable explosion détruit son laboratoire de recherches cosmiques. Impossible de pénétrer dans les ruines. On se heurte à une masse translucide aussi dure que du diamant, à travers laquelle on distingue quelques formes sombres comme prises dans un aquarium soudain congelé.
Par quel phénomène inconnu et imprévisible, cette « congélation » de l'atmosphère du laboratoire a-t-elle pu se produire?
Le mystère ne sera résolu que par l'extraordinaire révélation sur laquelle se termine ce roman de science-fiction dont l'audace a produit une véritable sensation en U.R.S.S.
La forme du récit est déja une performance.
Dans un pays où n'apparaissent que des savants ou des journalistes, une URSS entièrement dépolitisée,
c'est un philosophe qui mène l'enquète, encore s'exprime-t-il au nom d'une Humanité impersonelle.
Quel bonheur que Alexei Alexetev ait commis cette erreur!
Je l'avais lu par hasard, mais je ne l'avais pas regretté.
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