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Francis Lacassin, Mémoires, sur les chemins qui marchent, Editions du Rocher, 2006, 360 pages, 16,0 x 24,0 , prix 21,00 €, isbn 2 268 05989 8
Un lien bien interessant signalé par bibliotrutt :
Francis Lacassin a sous-titré ses Mémoires les Chemins qui marchent. Il aurait pu aussi les sous-titrer les Chemins de la Liberté ou les Chemins du Rêve. Des chemins que j'ai souvent suivis avec lui comme guide. Voir http://www.bibliotrutt.lu/artman2/publi … cassin.php .
Il me semble qu'un site comme BDFI (il y en a d'autres!) est un hommage à Francis Lacassin.
Oncle Joe
Oui, Oncle Joe, tu as raison.
Très beau, et merci pour toute cette présentation d'une revue que je ne connaissais pas.
Entendu dans le poste :
Dans le Nord, les policiers se trompent de porte...
Pour une bavure, c'est une bavure... Des policiers, qui allaient interpeler jeudi des braqueurs présumés à leur domicile à Croix (Nord), se sont trompés de porte et ont légèrement blessé par balle à un pied une voisine et abattu son chien. Les policiers avaient reçu un renseignement qui leur a permis d'identifier l'adresse d'un des braqueurs. A l'arrière de l'habitation indiquée, ils ont forcé par erreur la porte d'une voisine. ..
Je l'avait déja lu dans :
Journal de nuit par Jack WOMACK
et j'avais trouvé cela très drôle de supposer que les flics du futur soient aussi inconséquents
Le topic sur Francis Lacassin
Voir aussi la très belle collection : Les Maîtres de l'étrange et de la peur qu'il avait dirigé.
La dépêche afp, trouvée sur Paris Match :
L'éditeur et historien Francis Lacassin, spécialiste des littératures populaires et de la bande dessinée, est décédé dans la nuit de lundi à mardi à Paris à l'âge de 76 ans, des suites d'une intervention chirurgicale, a-t-on appris jeudi dans son entourage.
Figure de l'édition française depuis près de 50 ans, Francis Lacassin a été conseiller littéraire de la collection "Bouquins" chez Robert Laffont (1982-2000) et de "10-18" chez Christian Bourgois (1971-1990), où il a notamment publié l'intégrale de l'oeuvre de l'écrivain américain Jack London.
Il a occupé à partir de 1971 la première chaire d'histoire de la BD créée à l'université Paris I-Panthéon Sorbonne.Afp
Je viens d'entendre sur TSF, la radio du jazz,
la nouvelle du décès de Francis Lacassin
confirmé par TV5.
Je n'avais pas vu que tu avais modifié ton message de la première page, désolé.
Ceci dit, oui si tu utilises la deuxième ligne, doc BBcode, miniature,
tu obtiens bien une petite vignette visible dans le message,
et le fait de cliquer dessus permet d'obtenir une image agrandie (au format réel) stockée par servimg.
1080 - Notre Homme Flint, (1966, Our Man Flint) par Jack Pearl, traduction par Marcel Frère, photo de couverture du film homonyme de Daniel Mann
Gallimard, Coll. "Série Noire" n° 1080, 1966.
quatrième de couverture :
Les banquises fondent, les volcans explosent, les eaux montent sur toute la planète... " Galaxie " lance un ultimatum à l'humanité.
Un seul homme peut encore sauver le monde : Flint, le super as à qui rien ne résiste, ni les femmes ni les murs de béton ; Flint, l'homme capable d'arrêter son cœur ou de ressusciter un mort. Mais arrivera-t-il à temps à la chambre secrète de l'ile mystérieuse d'où les trois savants fous et leur cohorte de robots humains menacent d'asservir le monde ?
Tremblez, riez, et faites confiance à notre homme.
Claude Mesplède :
ce roman est aussi un des plus mauvais publié par la Série Noire ...
Je n'ai donc jamais osé le lire,
j'avais tellement aimé le film et sa suite, mais peut-être seulement du fait de la présence de James Coburn qui nous avait apporté un immense éclat de rire dans ce pastiche des James Bond et de ses imitations nombreuses à l'époque,
Matt Helm, qui faisait un peu pitié, Modesty Blaise dont quand même le physique était intéressant, ...
The Dark Knight, Le Chevalier Noir film américain 2008, genre :adaption DC
réalisé par Christopher Nolan, avec Christian Bale, Heath Ledger, Aaron Eckhart, etc ...
Alors que Batman a trouvé un allié dans la personne du jeune procureur Harvey Dent pour lutter contre la criminalité et la corruption dans Gotham,
surgit le "Joker" qui commence par assécher les finances des gangs pour leur proposer un marché.
Il faut démasquer Batman et alors seulement le vice triomphera dans la ville.
S'enchainent alors toutes les péripéties que nous connaissons tous et que je ne vous ferait pas l'insulte de vous raconter.
C'est bien la qualité des méchants qui donne les bons romans, les bonnes BD, les bons films.
Ici, le Joker est effectivement époustouflant; sa folie et sa méchanceté, son cynisme, son sadisme, ses ruses diaboliques nous laissent pantois.
Son interprétation par le regretté Heath Ledger, que je n'avais encore jamais vu, est d'une puissance insoutenable.
Même si le rôle s'y prête à merveille, nous avons tous dans la tête des interprétations certes différentes, mais qui nous paraissent aujourd'hui tellement "light".
Aaron Eckhart en Harvey Dent est aussi assez convainquant, son personnage est d'abord plus gentil, enfin façon de parler.
Christian Bale que j'avais trouvé très bon dans l'opus précédent disparait un peu derrière son extraordinaire ennemi.
Michael Caine et Morgan Freeman sont des professionnels qui peuvent faire n'importequoi avec talent, c'est le cas ici.
Maggie Gyllenhaal en Rachel Dawes ne m'a pas du tout convaincu, aucune importance.
Les décors, ah, les décors, toute cette noirceur, comme si c'était l'âme de Gotham, cette nuit propice aux élans de la chauve-souris mythique,
les grattes-ciels géants avec ces décorations à la fois sobres et tellement sophistiquées et inutiles, les rues désertes seulement peuplées de l'indispensable .
Deux heures et vingt sept minutes de bonheur
J'étais pas vraiment tenté, alors je ne l'ai pas vu.
Mais puisque pour toi maintenant le mal est fait,
profites en pour nous écrire une petite fiche
Voila, une fois que ton image a été envoyée à servimg :
tu sélectionnes la deuxième ligne,
celle sous BBcode, Miniature,
pour être certain de l'avoir en entier, tu positionnes ta souris dessus, tu cliques à droite, tu choisis "tout sélectionner" et tu cliques à gauche
tu repositionnes ta souris dessus, tu cliques à droite, tu choisis "copier" et tu cliques à gauche
à ce moment tu as le lien complet dans ton bloc-note
quand tu écris ton message tu n'as plus qu'a faire dans la fonction "affichage" de ton éditeur, onglet "coller"
et le contenu de ton bloc-note se colle dans ta réponse.
J'espère que tu es droitier
Le forum n'a pas vocation de tout référencer, mais de permettre à la "Base" de tout référencer
Tu vois en haut, "Base BDFI", avec ses onglets "parutions" , "Auteurs" , etc ...
là, doit figurer toute la connaissance humaine d'une façon totalement exhaustive,
comme parfois, il manque quand même quelques petites choses, celles que tu connais, tu peux les exposer en long, en large et en travers,
et les administrateurs, modérateurs (trices), et autres grands prêtres mettent en page et gravent dans le marbre tes précieux renseignements.
Et puis, toujours en haut "Le site", dans "Plan du site", dans "Aides", ce qui est recherché,
alors là tu te dis que tu va avoir de quoi faire des scans, des messages, et toutes les formes de communication que tu désires
Et puis, tu vois "Accueil" aussi tout en haut, dans cette page, un lien "remerciements" en rouge,
alors ton nom sera pour toujours ajouté à la liste, et tu pourras le montrer à toute ta famille, à tes amis, même à de lointaines relations,
et il n'y aura servante ni princesse qui alors ne se pâment..
J'utilise servimg.com ,
qui te demande de t'inscrire mais qui présente l'avantage de gérer tes images que tu peux consulter sans problèmes (contrairement à Pix)
Si tu as des problèmes, décris les moi et j'essaierai de te donner les indications nécessaires.
Un remake de "Le jour où la Terre s'arrêta" (The Day the Earth Stood Still) Robert Wise en 1952,
remake réalisé par Scott Derrickson, avec Keanu Reeves, Jennifer Connelly, Kathy Bates
et prévu pour le 12 décembre 2008
....
Pensez à voir ces films jusqu'au bout du bout du générique.
Le vrai amateur reste jusqu'à ce que la lumière se rallume dans la salle,
et même à ce moment là, il hésite quand même à partir ...
Voila deux fois que je clique sur l'image et que ton hébergeur pourri m'affiche une image toute déformée en me disant que si je veux la vraie image, je n'ai qu'a cliquer dessus.
Je clique, et il profite de mon cilc pour ouvrir un spam vantant un casino aussi pourri.
alors j'ai récupéré le texte, d'ailleurs fort drôle pour éviter semblable mésaventure aux autres lecteurs,
ils peuvent donc le lire ici :
Il y eut enfin, comme dans les cas de cancer ou de fibrome, des transformations moléculaires de la matière, des transmutations de métaux qui eussent enchanté les alchimistes d'autrefois.
Certaines parties d'acier se transformaient petit à petit en bronze, des morceaux d'étain germaient dans du fer et des parcelles d'or furent observées dans des couvercles de boîtes à sardines.
Ce fut bientôt, dans l'usine, un véritable affolement, précurseur de la révolte définitive. Certaines machines devinrent comme ataxiques, d'autres furent affligées du mal de Pott. On dût, pendant de longues semaines, noyer l'usine dans des vapeurs d'iodoforme etl'on entoura les pièces principales des tours automatiques de tampons imbibés de chloroforme.
On sentait cependant qu'un travail sourd et angoissant se préparait dans toute l'usine, comme une grève générale, comme une révolte de la matière enfin libérée.
Le 4 intercalaire, la tension du courant ayant été par mégarde augmentée, brusquement toutes les machines volèrent en éclats comme du verre, tordirent leurs bras, s'effondrèrent et, durant toute la journée, on assista de nouveau avec terreur à de dangereux déplacements de la matière qui, par boules, roulait lentement mais avec souplesse, du côté des portes.
Un moment, on crut que le dépôt des membres humains, voisin de l'usine, allait être détruit par les blocs de matière en mouvement. Ce dépôt contenait d'incalculables richesses : des têtes, des bras, des intestins, des coeurs humains, tenus en réserve à la suite d'opérations et que l'on utilisait journellement pour des greffes animales en cas de remplacement d'un organe malade.
En pénétrant dans les salles de garde, les blocs de matière, chargés d'électricité, galvanisèrent en effet tous ces membres en réserve, qui se mirent à parler, à marcher et à s'échapper dans toutes les directions. Il fallut deux ou trois jours pour s'en rendre maître et pour ramener au dépôt tous ces organes épars dont les promenades folles et fantaisistes semèrent la terreur dans toute la ville, particulièrement auprès des femmes.
Quant à la matière, il fallut la dompter au moyen de gel artificiel et l'expédier ensuite, avec d'infinies précautions, par chalands, vers l'Océan glacial.
Ce fut là une des plus grosses inquiétudes de cette époque agitée...
G. de PAWLOWSKI.
(Fasquelle, édit.)
On va dire que c'est ici et demander à notre gentille modératrice de changer le titre,
lors de sa prochaine visite.
Mais pour éviter que n'importe quel escroc nous refile n'importe quoi et abuse de notre naïveté,
il faut absolument préciser ce qui dans la revue présentée ressort de nos genres de prédilection
1073 - La dixième victime, (1987, The tenth victim) par Robert Sheckley, traduction par R. Fitzgzrald, photo de couverture du film de Elio Petri
Gallimard, Coll. "Série Noire" n° 1073, 1966.
Gallimard, Coll. "Carré Noir" n° 250, 1977.
quatrième de couverture
Les anciens Romains se pressaient sur les gradins du Colisée pour assister aux combats de gladiateurs. Or voici que l'antique amphithéâtre retentit encore des clameurs poussées par les amateurs de morts violentes. Il s'agit des grands jeux télévisés de la Chasse à l'homme, nouveau sport qui sert d'exutoire aux passions homicides. Le spectacle d'aujourd'hui est d'autant plus passionnant que c'est une blonde chasseresse américaine, déjà titulaire de neuf victoires, qui se dispose à mettre à mort l'impavide Marcello.
Ce livre est la novelisation du film homonyme d'Elio Petri avec Marcello Mastroiani, Ursulla Andress et Elsa Martinelli,
film basé sur la nouvelle "La septième victime" (1953, Seventh victim)
Je l'ai relu comme préambule à "Aréna" et à "Chasseur/Victime" et y ai pris beaucoup de plaisir,
même s'il n'as pas la même force que ses deux suites.
1027 - Le Cerveau du nabab, (1942, Donovan's brain) par Curt Siodmak, traduction par François de Meckenem.
Gallimard, Coll. "Série Noire" n° 1027, 1966, réédition 1969, 1992
Gallimard, Coll. "Série Blème" n° 5, 1949.
Gallimard, Coll. "Carré Noir" n° 515, 1984
Livre de Poche n° 2710, 1970.
Le présent livre a été publié en 1949 dans la Série Blème. C'est la qualité exceptionnelle de l'ouvrage qui nous a décidé à le réimprimer
Le docteur Cory a l'occasion de prélever le cerveau de Donavan, nabab décédé dans un accident. Il met ce cerveau dans une cuve et parvient à le ranimer, hélas le cerveau prend le contrôle du docteur.
La "créature" qui prend le dessus sur son créateur n'est pas une nouveauté, mais ici tout se fait en finesse sous la forme du journal tenu par le docteur.
3 films, une série télé.
Extraordinaire, je sais bien que tout le monde l'a lu, les autres précipitez vous.
Je les croise encore un peu, mais juste par superstition
nouvelle version avec de nombreux bonus
http://www.youtube.com/watch?v=cY9Qy456JvI
Oui, c'est un peu dommage, je m'étais un peu arrêté aux premiers, qui eux n'avaient pas de quatrième de couverture
je vais leur dire, à ces petits jeunes, qu'il ne faut pas se contenter de recopier
Un site complet sur les FNA *** ICI *** (Modif Admin : remplacement lien mort zenandco par son remplaçant livrivore... puis 7 ans plus tard par pochefn)
Tous les FNA avec de petits scans, mais il parait qu'ils vont s'agrandir,
des résumés pour presque tous les livres,
la possibilité d'écrire vos propres commentaires à la suite de chaque numéro,et un forum associé qui démarre.
Allez-y voir, que tout ceci ne reste pas lettre morte, après tout ce travail réalisé
Précédente modification par gil (27-10-2013 21:55:54)
WALL·E film américain d'animation (2008), genre : SF
Réalisé par Andrew Stanton
Wall-E est un robot chargé de nettoyer la Terre pendant que les humains sont partis et attendent pour revenir que la Terre soit à nouveau habitable,
ce qui sera détecté par la présence de végétation.
Il est arrivé à une certaine conscience et devenu très habile et très malin, puisqu'il est le seul à avoir survécu après 900 ans de travail.
Il s'est constitué une maison, véritable musé de l'humanité, où, le soir venu, il se repasse de vieilles bandes vidéo, "Hello Dolly" en l'occurrence, sur son magnétoscope.
Un jour, d'une navette, débarque Eve, une sonde chargée d'explorer la Terre à la recherche de la fameuse végétation.
Elle est belle comme le jour et il en tombe immédiatement amoureux, comme dans les bandes vidéo.
Mais, il doit lui faire la cour, et même veiller sur elle lorsque ses batteries tombent en panne.
...
Les personnages sont bien typés et très expressifs; l'on se prend à trembler pour eux lorsqu'ils affrontent des dangers.
L'histoire est drôle du début à la fin, la caricature est parfois un peu appuyée, ce qui est certainement normal pour un film destiné aux enfants.
Un mot sur la musique avec diverses références, dont une entre autre à 2001 Odissée de l'Espace; "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard Strauss,
Le tout est une belle aventure, pleine de poésie, doublée d'une histoire d'amour.
La fin, surtout le générique, est un peu lourde avec ce message bien pensant sans aucune subtilité, comme si cela était aussi simple.
Donc allez voir ce spectacle dont nos enfants pourraient bien faire un film culte.
Bonjour Cibylline.
Les arguments contre ?
Ben, je les attends ;-)
Etant un homme du passé, j'aime bien l'objet en papier.
Ce n'est pas un argument, peut-être,
Mais de plus, j'ai une mémoire visuelle, je me souviens de l'illustration de couverture,
de l'endroit dans la page où se situait le passage que je recherche,
du lieu où je l'ai rangé,
je l'ouvre, j'y trouve, inscrit de ma main, au crayon, la date de lecture,
éventuellement des notes sur les mots difficiles ou peu courant,
des idées personnelles, parfois des numéros de téléphonne, des marque-pages imprévus,
un billet de chemin de fer, le ticket d'entrée d'une exposition,
une carte postale d'amis partis au loin depuis,
enfin une certaine vie.
La grotte du vaisseau oublié, The ship that never was (1982), par Mickey Spillane, illustration Francis Phillipps, traduction de G. Domangeaux, collection LdP Club (octobre 1987), éditions LGF, isbn 2-253-04356-7
quatrième de couverture :
Au large de Peolle Island, une île des Caraïbes, David et Jerry, tous deux âgés de quatorze ans, ont découvert une chaloupe avec à son bord un très vieil homme parlant un langage inconnu.
Visiblement épuisé,
Quant à la chaloupe, elle semble dater de plusieurs siècles...
Autant de mystères qui vont entraîner David et Jerry dans une incroyable aventure !
Présent dans "Les terres Creuses", cote 1909 (de mémoire )
Le jour où la mer disparut, The day the sea rolled back (1979), par Mickey Spillane, illustration de Sophie Segalen, traduction de G. Domengeaux, collection Bibliothèque Verte (mars 1980), éditions Hachette.
quatrième de couverture :
JERRY... Qu'est-ce qui est arrivé? balbutia David d'une voix assourdie de stupeur.
Je n'en sais rien... Je ne comprends pas!...
La mer a disparu... Mais où a pu passer toute cette eau?»
Les deux garçons, ahuris, contemplaient les bas fonds que l'océan avait découverts en se retirant. On n'avait, de mémoire d'homme, jamais vu une pareille marée. Quelle aubaine pour les chasseurs d'épaves!
C'était en effet le moment ou jamais de tenter de retrouver le San Simon, ce galion truffé d'or que le père de Jerry cherchait depuis des années. Mais il restait des obstacles à franchir et bien des pièges à éviter!
Mickey Spillane (né Frank Morrison Spillane le 9 mars 1918 à Brooklyn, New York – décédé le 17 juillet 2006 en Caroline du Sud), écrivain américain de romans policiers. Il est surtout connu pour sa série Mike Hammer.
Il a écrit deux romans pour la jeunesse, tous deux dignes de figurer dans les pages de BFDI. Au moins un de ses romans policiers "frise" le genre.
>> [Gil] Mis à jour, merci !
Un amateur, je veux dire quelqu'un qui n'est pas professionnel,
a créé un site sur les Fleuve Noir Anticipation .
Je crois bien que Pix, pour ne citer que lui,
a eu 3 pannes graves ces douze derniers mois, et presque toutes les images sont revenues.
Maintenant, nous croisons les doigts, et je t'invite à le faire aussi,
en attendant le retour imminent de Gil
car nous supputons un problème administratif, susceptible de trouver une solution;
et non point une avanie technique toujours plus délicate à traiter.
Les dates de Michel Rigaud (1934- )
Le scan de notre ami Dave ayant disparu depuis longtemps,
je reposte ce livre avant de l'inclure dans le wiki :
Perry Rhodan de Jean-Michel Archaimbault, 1998, collection Références n° 10, éditions Encrage, 13,0 x 20, 0 , 184 pages, prix 65 francs
"L'objectif est de présenter la saga dont l'unicité est exceptionnelle et dont l'ampleur dépasse et de loin l'idée réductrice qu'en donne la version française"
Le seul livre en langue française sur le sujet, à ma connaissance.
Ah! ce Georges Lucas, encore un plagiat!
Il a quand même inventé les pains aux raisins sur la tête,
c'est quand même plus moderne que les rouleaux de printemps
les 2 scans n'apparaissent plus ...et cette collection n'est pas reférencée ds la base BDFI ( ou à néo , il y a par contre 2 fois neomnibus et une autre collec )
Les scans basés sur free n'apparaissent plus d'une façon temporaire,
il faut croiser les doigts, bientôt nous les reverrons.
Si quelque chose est absent de la base il faut coder :
:m a j b d f i: (sans espaces dans m_a_j_b_d_f_i)
et Gil fera le nécessaire
833 - Strip-tilt, (1962, The girl, the gold watch and everything) par John D. Macdonald, traduction par F. M. Watkins
Série Noire, n° 833 (1964), Gallimard
Caré Noir n° 534 (1985)
Coll. Folio n° 1980, (1988)
.Kirby Winter, hérite de son oncle, grand financier international une montre, un oignon qu'on porte dans un gousset, et d'une lettre qui lui sera remise dans un an par l'avoué du de cujus.
Il est invité sur un bateau par Charla er Joseph, un couple d'escrocs internationaux qui se sont souvent trouvés en face de l'oncle disparu.
Le couple veut découvrir quel était le secret qui permettait à l'oncle de toujours triompher de leurs combines.
Suite à diverses aventures plus ou moins plaisantes, et avec l'aide de la belle Bonny, Kirby découvre que sa montre est magique, elle permet d'arrêter le temps et de modifier l'ordre des choses ... [...]
Claude Mesplède qualifie le roman de conte de fées malicieux, qui ridiculise les financiers pour qui l'argent est tout.
John McDonald n'est pas un inconnu, "Le vin des rêveurs" et "Le bal du cosmos" sont de lecture tout aussi agréable que "Strip-tilt".
Ne peux-tu pas t'en sortir avec un appareil photo ?
S'adresser à :
Librairie de la Terre à la Lune (et même au-delà), 67, rue Brancion, 75015 Paris
Numéro de téléphone : 08 73 75 32 24
(Vaut mieux demander par téléphone les numéros disponibles et leur prix.)
Et aujourd'hui, sais-tu où l'on peut se procurer les numéros disponibles ?
Merci.
L'Incroyable Hulk film américain 2008, genre : super-héros.
Réalisé par Louis Leterrier, avec Edward Norton, Liv Tyler, Tim Roth, William Hurt, etc ...
Bruce Banner vit dans une favella au Brésil et travaile au jour le jour dans une usine de production de jus de fruits.
il continue de chercher un antidote au Gamma qui a créé Hulk, avec l'aide de "Mr Blue" avec qui il correspond par internet.
Hélas, un jour une goutte de son sang infecte une bouteille destinée à l'export, le jus de fruit déclenche un choc chez un senior du Minesotta.
Le Général Thunderbolt Ross, recoupe immédiatement l'information et débarque au Brésil avec Emil Blonsky , soldat d'élite vieillissant pour le capturer.
L'opération tourne mal, la colère monte et Hulk réussit à s'enfuir.
Mais Bronsky qui a vu le monstre demande des comptes au général et obtient de celui-ci, l'injection d'une dose minimum de Gamma
afin d'améliorer ses performances et pouvoir affronter Hulk victorieusement.
Bruce Banner de retour aux Etats-Unis retrouve Betty Ross et ne peut s'empêcher de prendre contact avec "Mr Blue".
Evidemment, internet étant une vrai passoire, l'armée le retrouve aisément ...
A la fin du film, je ne pouvais m'empêcher de penser que les scènes de combat étaient un peu longues, que Hulk était un peu trop vert,
que certains passages, hommages possibles à King-Kong, frisaient le ridicule et que la jolie Liv Tyler n'aurait pas dû se faire gonfler la lèvre supérieure.
Alors Louis Leterrier est arrivé, il nous a raconté comment une jeunesse plongée dans le cinéma l'avait amené à faire une école à New-York,
comment il avait tout fait dans ce métier, de machiniste à chef-op ou monteur.
Devenu l'ami de Sigourney Weaver, il avait dépanné une caméra de Jean-Pierre Jeunet, puis travaillé avec Jean-Luc Besson à la mise en place de figurants et à la répétition d'artistes sur Jeanne d'Arc.
Chargé de préparer "Le Transporteur" pour Corey Yuen, il devient en fait le co-réalisateur, laissant à Corey Yuen les scènes de chorégraphie, etc, etc ...
Et puis ses premiers contacts avec Marvel qui lui dit, "Hulk" doit sortir le 23 juillet 2008, le compte à rebours,
oui, cette version est bien le final-cut.
Donc "L'Incroyable Hulk" doit être vu comme un complément au "Hulk" de Ang Lee jugé par Louis Leterrier, comme un peu trop "light".
En aucun cas, ce n'est un deuxième opus, le renouvellement total des acteurs le montre bien,.
Généralement, les méchants dans Hulk ne sont pas très méchants, les épisdes montrant surtout Bruce Banner contre Hulk.
Ici, nous avons un vrai méchant en la personne de Bronsky qui veut mener un combat à armes égales avec Hulk, devenir l'arme ultime, le soldat final.....
Deux ans de travail, 150 millions de dollars, une équipe de 500 personnes, 2000 au générique, ...
Alors, vous conseiller ce film?, autour de moi la salle entière a applaudi, Louis Leterrier m'a convaincu, mais je n'oublie pas certaines longueurs.
85- Les carottes sont cuites, (Repeat performance, 1942),par William O'Farrel, traduction par Maurice Tourneur
>>> [Gil] Réédition Carré Noir n°168, 1974
Barney Page, acteur désargenté, se réveille dans un asile de nuit, John Friday vient le récupérer. Depuis le suicide de Sheila, Barney a dégringolé. Le voici assassin, il a étranglé une jeune femme Fern Costello. Friday lui dit : "Tu as besoin qu'on réécrive ton rôle complètement".
Commence alors un voyage dans le temps [...]
Barney revient au point de départ, mais en connaissant le scénario. Il fait tout pour modifier son texte. [...]
C'est la seule incursion, de William O'Farrel, (1902-1962) auteur américain, dans le genre.
Alfred L. Werker en a tiré un film "Repeat Performance" en 1947,
avec Louis Hayward, Joan Leslie, Tom Conway, etc ...
Il est à noter que dans le film, c'est Sheila qui tue Page .
Voici donc la grande chronique de l'été,
celle que vous ne pourrez trouver que sur BDFI,
celle qui nous permettra d'enrichir considérablement la base de données,
Je vais essayer de vous faire profiter de tous les ouvrages touchants nos genres de prédilection et édités dans cette collection,
les scans qui égaieront les posts seront un peu monotones, c'était la marque de Marcel Duhamel
pour affirmer le sérieux, l'uniformité et le suivi de la collection.
Je ne les ai pas tous lus, certains m'ayant rebuté, mais ce n'est pas une raison pour ne pas en parler.
Voici, au rythme de un tous les deux jours, gageons que cela nous emmène à la fin de l'été.
De 1992 à 2000, Claude Mesplède remet le couvert en nous présentant maintenant la Série Noire avec une entrée par numéro :
Claude Mesplède. Les Années Série Noire vol.1 (1945-1959) (sous la dir.) (Encrage “ Travaux ” n° 13, 1992, Trophée 813 Prix Maurice Renault 1992)
Claude Mesplède. Les Années Série Noire vol.2 (1959-1966) (sous la dir.) (Encrage “ Travaux ” n° 17, 1993)
Claude Mesplède. Les Années Série Noire vol.3 (1966-1972) (sous la dir.) (Encrage “ Travaux ” n° 22, 1994)
Claude Mesplède. Les Années Série Noire vol.4 (1972-1982) (sous la dir.) (Encrage “ Travaux ” n° 25, 1995)
Claude Mesplède. Les Années Série Noire vol.5 (1982-1995) (Encrage “ Travaux ” n° 36, 2000)
Pour la suite de la collection, Claude Mesplède nous invite à consulter "L'Année de la fiction"...
La Série Noire
Elle a été fondée en septembre 1945 par Marcel Duhamel.
Si au début, la Série Noire s'est limitée au romans noirs américains, elle s'est diversifiée en publiant des westerns, de l'espionnage, de l'humour et même de la science-fiction et du fantastique.
Malgré sa diversification, elle est toujours restée elle-même jusqu'en 2005, date de sa transformation en grand formats banalisés par son directeur actuel Aurélien Masson.
En 1982, Claude Mesplède publie chez Futuropolis un inventaire des aureurs, suivi d'un complément en 1985.
Ces ouvrages sont précieux par les renseignements biographiques et bibliographiques qu'ils fournissent.
Claude Mesplède. Voyage au bout de la noire : inventaire de 732 auteurs et de leurs œuvres publiés en Séries Noire et Blême (Futuropolis, 1982, avec J.-J. Schleret, Trophée 813 Prix Maurice Renault 1983)
Claude Mesplède. Voyage au bout de la noire t.2 (Futuropolis, 1985, avec J.-J. Schleret, additif-mise à jour 1982-1985)
Brave petit grille-pain (1980, The brave little toaster) , traduit de l'américain par Rose-Marie Vassallo, llustrations de Karen Schmidt
éditions Flammarion, collection "Castor Poche" n° 264, juillet 1989.
Trois jours pour retrouver le livre, et Christian, l' a déjà rajouté sans rien dire,
alors je fais quoi avec mes belle images et mon message tout prêt,
et bien je l'envoie, ce qui donnera l'occasion de corriger le titre, la collection, etc ...
et je vais remettre le livre à sa place
Wanted : choisis ton destin (Wanted), film américain de Timur Bekmambetov (2008), genre : bande dessinée, superhéros
avec James McAvoy, Angelina Jolie, Morgan Freeman, Terence Stamp, Thomas Kretschmann, David O'Hara, Comon, etc ...
Depuis mille ans, une société secrète d'assassins, élimine des méchants dont le nom est apparu sur la Liste.
Il y a six semaines, M. X, menbre de cette société a été tué par Cross, dissident qui ne respecte pas les Codes, et ce déjà dans une scène épique.
Wesley Gibson travaille comme comptable sur un immense plateau plein de ses semblables et sous les ordres d'une cheffaillone stressante
Lorsqu'il rencontre Fox, armée jusqu'au dents qu'elle a très belles d'ailleurs et qui le protège de Cross, les deux tueurs mettent un supermarché à sac avant de nous offrir une poursuite automobile qui transforme les rues en champs de ruines.
Il apprend alors que son père qui faisait partie des assassins a été tué, il y a six semaines par Cross, qu'il est lui même doué de superpouvoirs et qu'il doit venger son père.
Après quelques hésitations, il est convaincu et son apprentissage commence à la dure, supervisé par Fox aussi bien du point de vue physique que psychologique..
Les assassins sont actuellement dirigé par Sloan qui lit les noms des gens qu'il faut faire disparaitre.dans le grand métier à tisser du Temps.
Quelques missions plus tard, Wesley est près pour affronter Cross, il part alors seul en Roumanie rencontrer un mystérieux fabricants de munitions....
Enfin, c'est un tout petit plus complexe, mais à peine,
Tiré d'une bande dessinée, et cela se devine assez aisément, inconnue en France le film démarre suffisamment doucement pour que les premières scènes d'action nous coupent le souffle.
Les cascades, aussi bien celles en voitures, que celles sur le toit du métro, et plus tard celles dans le train sont souvent inédites. le rythme est soutenu de bout en bout,
Les décors, les armes sont sophistiquées et fétichistes à souhait. La musique se laisse oublier tant elle rythme les scènes au plus près.
Les acteurs sont suffisamment bons, et dans bien leurs rôles, pour en faire un minimum, nous laissant deviner leurs sentiments, ce qui est assez rare dans ce genre où parfois l'absence de jeu ne cache qu'un grand vide.
Bon point, aucune mièvrerie, malgré la présence très sexy d'Angelina Jolie en tueuse glaciale.
L'histoire est en partie prévisible, mais ce n'est pas pour l'histoire que l'on est venu, c'est pour l'archétype.
La réponse a été apportée ailleurs, je la cite :
Joseph Altairac a écrit :Il est vrai qu'avec le système Gérard Klein de préfaces, ce sont les pauvres (qui achètent les Poche) qui ont droit aux préfaces, et non les riches, qui achètent au prix fort les A&D.
Le paradoxe n'est qu'apparent: en tant que riches, il peuvent AUSSI sans peine acheter les Poche. Ainsi, personne n'est lésé.
Oncle Joe, logicien non-ACe n'est pas vraiment vrai. Les riches qui m'aident à continuer dans un monde difficile ont accès à mes préfaces sur le site de Quarante-deux, gratuitement. Les pauvres aussi du reste. Elles sont généralement mises en ligne deux à trois mois après leur parution sur papier. J'espère que ça continuera. Mais ça ne dépend pas uniquement de moi.
Cela dit, je pense avec Oncle Joe, NON A, que les meilleurs achètent les deux éditions, ne serait-ce que pour leurs couvertures.
Et parce qu'ils auront une place au Paradis de la Culture.
Radiolaire:
Tu me casses la baraque! Il fallait laisser le Docteur s'enferrer un peu plus longtemps...
Oncle Joe
Cela m'étonne.
Voilà de quoi te rattraper :
http://ansible.xlii.org/quarante-deux/a … s.html#adb
Les préfaces des LdP sont donc à lire sur 42 comme le précise "radiolaire"
Merci à radiolaire pour sa précision,
merci à Oncle Joe pour sa sollicitude,
et merci à Gérard Klein de nous donner la possibilité de lire ces préfaces très intéressantes, rappelons-le
Oui, moi aussi, j'ai été surpris par cette affirmation de wikipédia,
je vais replonger un peu dans Leinster,
mais je crois quand même qu'il faudrait faire retirer ce terme,
j'ai un peu peur que le rédacteur ne soit pas, lui, un grand spécialiste de SF et d'uchronies
Dommage que la nouvelle "Sand Doom", n'ait pas été traduite.
Si elle l'avait été, nous l'aurions bien vu dans le numéro 42.
Et bien rassurez vous, la Patrouille du Temps ayant bien fait son travail,
vous pourrez trouver, à partir de maintenant, dans le numéro 42, une nouvelle de Murray Leinster,
intitulée "Sable et Sioux" avec pour héros Bordman, comme les autres nouvelles du cycle.
Le titre original n'est pas encore précisé, mais cela ne saurait tarder [yessssssss]
Le site de l'auteur, à la rubrique "Collections" nous indique :
Colonial Survey, Gnome Press, 1957. Also known as The Planet Explorer, Avon, 1957.
* Combat Survey (a.k.a. Exploration Team)
* Sand Doom
* Solar Constant (a.k.a. Critical Difference)
* The Swamp Was Upside Down
la page BDFI nous indique :
Constante solaire (1956, Solar constant)
in Editions Scientifiques et Littéraires, Revue Satellite n° 41, 1962.Les meilleurs amis de l'homme (1955, Exploration Team)
in Editions Scientifiques et Littéraires, Revue Satellite n° 43, 1962.Entre Charybde et Scylla (1956, The swamp was upside down)
in Editions Scientifiques et Littéraires, Revue Satellite n° 44-45, 1962.
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