Vous n'êtes pas identifié(e).
Super Noire 17 - Nuit de terreur (1973, The Night stalker) par Jeff Rice, traduction de France-Marie Watkins.
Gallimard, Coll. "Super Noire" n° 17, 1975.
quatrième de couverture :
Ce monsieur-là, un inconnu, avait très, très mauvaise haleine. Il adorait les Jeunes filles bien en chair qui avaient du sang bien rouge, qu'il gobait goulûment. Et les jeunes filles mouraient.
Alors, un journaliste se rappela certaines légendes d'Europe Centrale... Vous saisissez ? Mais pourtant, ce fut le journaliste qu'on « vampirisa ».
Il avait eu tort d'avoir raison..
Claude Mesplède :
On ne croit pas une seconde à cette histoire de vampire qui traque ses proies dans les rues de Las Vegas.
Mais pris dans l'ambiance du roman et la personnalité du narrateur — le journaliste —, on se laisse transporter dans cet univers troublant où le fantastique terrifiant rejoint l'enquête policière. il faut dire que l'auteur ne lésine guère sur les moyens pour donner du corps à son histoire. On appréciera également le rappel intéressant des divers vampires ayant défrayé les chroniques judiciaires comme le Vampire de Londres (1949, 5 victimes), celui de Hanovre en Allemagne (1925, 30 à 40 victimes), celui de Dusseldorf, toujours en Allemagne, ou de Paris (1847)...CURIOSITÉ : A l'origine, Jeff Rice écrivit cette histoire pour la télévision en 1972. Adaptée par Richard Matheson, elle obtint cette année-là, l'Edgar du meilleur scénario policier télévisé.Ce succès déclencha la mise en route d'un second téléfilm [The Night Strangler] , ainsi que d'un feuilleton de vingt-et-un épisodes situés à Chicago : Kolchak the Night Stalker, avec Dareen McGavin dans le rôle du reporter du crime.
Une nouvelle série est tournée en 2005.
Jeff Rice, de son vrai nom Jeffrey Grant Rice est un auteur de série télé américain né en 1944, à Providence, Rhode Island, USA
Dans la Base (rubrique auteurs)
Michel Forgit
* Epreuves par 9 (?)
Nathan, Science-fiction (jeunesse) n° 2, 1980.
* La tour des miracles (?)
Nathan, Science-fiction (jeunesse) n° 6, 1981.
pourquoi ces points d'interrogation ? un titre original, une date de parution en version originale, en pré-originale ?
Bernard Villaret
* L'infini plus un mètre (1980) ?
Nathan, Science-fiction (jeunesse) n° 5, 1981.
Christine Renard
* La nuit des lumineux (?) ?
Nathan, Science-fiction (jeunesse) n° 4, 1980.
Ceci pour en arriver ici :
Serge Brussolo
* Les sentinelles d'Almoha (1981)
Nathan, Science-fiction (jeunesse) n° 8, 1981.
Fleuve Noir, Anticipation n° 1938, 1994.
Donc en 13 ans, le Brussolo pour les enfants, est devenu un Brussolo pour les adultes.
enfin, je n'ai lu ni l'un, ni l'autre,
Brussolo a peut-être ajouté les scènes de sexe et de violence qui correspondaient davantage à son image en 1994
Ben, ils ne sont pas numérotés dans le forum ?
Pardonne leur Seigneur car ils ont des yeux et ne voient point :
Voici les numéros 3 & 4 de la collection sous une couverture de Victor de La Fuente. 2e trimestre 80.
Le n°1, Monde 39 par Michel Philippart
et voila le 6 :
pour respecter le perfectionnisme qui est la marque de fabrique de BDFI,
et en tous cas, dès qu'une erreur est reconnue,
il serait bon que tous ces numéros soient mis entre parenthèses.
Le numérotage de cette collection est abusif, aucun numéro n'est indiqué sur la couverture, ni à l'intérieur.
abusif donc dans le forum, dans la partie collection, dans les pages non-officielles des auteurs
J'ai sous les yeux :
Les sentinelles d'Almoha de Serge Brussolo (1981), collection SF n° (8), édition Fernand Nathan, 10,9 x 17,6 , 142 pages isbn 2-09-270 907-0
quatrième de couverture :
Lorsque le jeune Nath traverse les plaines de boue désertiques d'Almoha, "la planète-deux-fois-morte", à bord de l'antique canonnière des chasseurs de nuages qui le ramène chez lui, il n'a pas réellement conscience de tous les sortilèges sécrétés par ce monde hostile où l'on s'abrite de la pluie sous des armures de fer, où les maisons font naufrage et coulent dans les abîmes d'un sol trop mou pour les soutenir. Il lui faudra donc surmonter bien des épreuves avant de savoir qui est réellement Ghun, le chasseur solitaire, qu'un étrange tirage au sort a rendu maître de la grande tour au sommet de laquelle les guetteurs sacrés s'usent les yeux à déceler les formidables dangers nés du brouillard et de la nuit...
Un roman palpitant où, à chaque page, une surprise guette le lecteur.
Rien n'indique que cette collection était destinée à la jeunesse,
sauf peut-être la naïveté de la fusée du logo..
je recherche livre série angoise n° 7.
Bonjour tete de mort,
J'ai le n° 7 en double et je veux bien l'échanger,
mais il faut me proposer quelque chose de solide :
dans le genre Angoisse, il me manque le 2, le 15, le 21 et le 23
en Anticipation, il me manque le 3 ,le 9 et le 10
entre autres
Je suis convaincu, j'y serais en 2009;
pour les trains, évidemment
Super Noire 7 - N'y mettez pas le doigt (1975, Finger) par Christopher Wilkins, traduction de Roger Guerbet.
Gallimard, Coll. "Super Noire" n° 7, 1975.
Gallimard, Coll. "Série Noire" n° 2392, 1995.
quatrième de couverture
Il s'appelait Joseph Doigt, il tomba sur la tête.
Il devint la victime, bientôt consentante, d'une mystérieuse " Organisation " qui s'occupait de procurer du travail à une foule de gens ; elle les chargeait de trucider une foule d'autres gens, avec le maximum de productivité. Un jour, il s'éveilla de ce cauchemar. Pour s'apercevoir que ce n'en était pas un..
Claude Mesplède :
Ce récit dingue et plein d'originalité, fait penser par son côté absurde et son désespoir sous-jacent à Kafka, par certains autres côtés au 1984 d'Orwell. Chacun pourra imaginer encore d'autres rapprochements. Le récit se veut une allégorie pleine d'humour noir sur nos sociétés modernes et libérales dans lesquelles le progrès technique est surtout utilisé contre les individus pour les aliéner davantage plutôt que pour améliorer la vie sociale. On surprendra par exemple le héros, Joseph Doigt, à son nouveau poste, en train d'utiliser l'ordinateur dans le processus de production uniquement pour améliorer le rendement. Chaque personnage, chaque acte décrit représente un symbole dont le plus énorme reste celui qui consiste à ramasser certaines personnes pour les gazer avant de les brûler. La comparaison avec les camps nazis est évidente, c'est pourquoi "N'y mettez pas le doigt" est un ouvrage qui, par sa démence apparente et son style à l'humour froid, se hisse au niveau des perles rares de la collection, genre "Le Crossium" (SN 1275) et quelques autres. Bien qu'écrit en 1972, il reste plus de vingt ans après d'une troublante actualité..
Nous le rapprocherons de Fils de l'espace/ Le navire étoile/Objectif Pollux (1955, Star ship / The space born) de E. C. Tubb
ou "Le travail du furet à l'intérieur du poulailler " de Jean-Pierre Andrevon
Christopher Wilkins est un auteur britannique.
Pour ceux qui habitent en ile-de-France et qui ne sont pas à Lille aujourd'hui :
A Brassens, j'en reviens, un marchand vends tout les FNA (hors fusées) à 2€ pièce.
Courrez-y cet après-midi et demain toute la journée
1693 - Les délirants (1972, Asylum) de William Johnston, traduction de Etienne Bolo.
Gallimard, Coll. "Série Noire" n°1693, 1974..
quatrième de couverture :
Un cadavre coupé en morceaux, et qui tue, c'est rare, non ? Un complet-veston qui fait revivre les morts, vous en avez déjà vu ? Un robot qui n'est pas un vrai robot, car il possède une véritable vie psychique, c'est... spécial, hein ? C'est pourtant ce que constata le jeune psychiatre qui cherchait du boulot dans un hôpital idoine. Mais il ne se doutait pas qu'en plus de ces phantasmes, il rencontrerait la réalité, plus dingue et plus sinistre encore.
Claude Mesplède :
Ce récit relève davantage du grand-guignol que roman noir dont il ne possède aucune caractéristique, il s'agit, en outre, de la novélisation d'un film britannique qui adaptait quatre nouvelles de Robert Bloch Contes de terreur,( Opta). Autant dire que cette traduction ne s'imposait aucunement dans la collection.
Claude Mesplède est parfois un peu pisse-froid, le résumé a pourtant l'ai rigolo,
enfin, il dit que cela ne relève pas de la collection, mais cela peux nous convenir, à nous
William Johnston est un "novelisateur" né le 11 janvier 1924 à Lincoln dans l'Illinois.
Super Noire 5 - Mon mari est une sorcière (1974, The Othello complex) par Mark McShane, traduction de Jean-Michel Alamagny.
Gallimard, Coll. "Super Noire" n° 5, 1974.
quatrième de couverture
Jlm avait un complexe qu'on pourrait qualifier de croustillant son plus grand rêve était de voir sa femme, Sylvia, faire l'amour avec un autre homme. Il l'adorait pourtant. Pour réaliser ce vœu, il eut recours à un don tout droit sorti de la sorcellerie : la transmission de pensée. Mais Jim n'était qu'un apprenti sorcier. Et il déchaîna la folie, le meurtre et le désespoir.
Claude Mesplède :
Un des objectifs que s'est fixé le romancier Mark McShane est de « démontrer que ce que l'on qualifie d'occulte est aussi réel et naturel que la mémoire » (in 201h Century Crime and Mystery Writers). C'est sans doute pourquoi il est un des rares à mettre en scène des médiums (SN 1067 & 1619) ou ici à utiliser la transmission de pensée d'une façon aussi percutante.
Le livre est bien écrit, intéressant et surtout, les trois personnages centraux ne sont pas ce que les autres croient qu'ils sont : Blake Carn que Sylvia croit sorcier est un individu banal, alors que Jim Benson, son mari sous un aspect très ordinaire, cache au contraire un pouvoir démoniaque qui en fait un être dangereux. Sylvia, elle-même, qui paraît équilibrée, est fragile.
Manipulée, elle devient un instrument de choix entre les mains de Jim qui a découvert son goût pour l'échangisme. Un thème qui apparaît, à notre connaissance, pour la première fois dans la collection.
Transmission de pensée et manipulation psychique à outrance.
Marc McShane, aussi connu sous le pseudonyme de Marc Lovell est un écrivain australien né le 28 novembre 1929
:1674- Billy-Ze-Kick par Jean Vautrin,
Gallimard, Coll. "Série Noire" n° 1674, 1974
J'ai hésité à inclure ou non ce livre dans ce dossier,
après mure réflexion, je pense qu'il est urgent d'attendre que je le lise. .
De toute façon, je ne demandais pas de découpages, que je trouve assez artificiels.
J'essayais simplement de trouver des bases, ou des arguments pour répondre à des gens qui, à mon avis coupent les cheveux en quatre.
Comme le début de la collection était repéré, il me semblait illogique ou hétérogène qu'elle ne le soit plus après un certain numéro.
Une collection, à mon avis, forme un tout, elle peux évoluer, changer de présentation, changer de directeur et de direction, inclure des thèmes nouveaux,même changer de numérotation, bref vivre, mais cela constitue son histoire, et ne justifie pas un "saucissonnage".
1578 - Débacle à Cybernia (1972, Cybernia) par Lou Cameron, traduction de France-Marie Watkins
Gallimard, Coll. "Série Noire" n° 1578, 1973.
quatrième de couverture
A Cybernia, la vie est belle. Entendons par là que tout est organisé, planifié par un ordinateur géant. La cuisine, la lessive, la sécurité, et même l'amour, pourquoi pas ? Jusqu'au jour où l'ordinateur se met à brouiller les cartes et à empoisonner le monde avec ses lubies. Jusqu'au jour, enfin, où il tue. Et alors là, on commence à se demander s'il fait ça à lui tout seul...
Claude Mesplède :
Un lecteur avisé comprend vite qui est responsable de tout. L'intérêt de l'histoire, proche du récit de science-fiction, est de montrer les effets néfastes d'un quelconque outil entre les mains d'un « savant fou ». Les personnages n'ont hélas pas la moindre épaisseur et n'existent qu'en fonction des événements. Toutefois, bien que datée par les références au matériel, l'histoire se lit encore avec plaisir.
C'est de la SF pur jus, on se demande ce que le roman vient faire dans cette collection, sinon le renom de Lou Cameron.
évidemment, il y a des crimes et un coupable, ce qui était le cahier des charges minimum de Marcel Duhamel.
Ce n'est pas "Colosus", mais c'est beaucoup plus drôle et je ne peux que conseiller cette lecture.
Lou Cameron (né à San Francisco, États-Unis en 1924) est écrivain, auteur et illustrateur de Bandes dessinées, voir wikipédia
je me demandais justement en lisant le topic sur " marginal" si j'allais faire des scans manquant alors qu'on trouvent ceux-ci sur d'autres sites et qu'il serait plus simple de les y prendre , si tant est qu'il y ai entente bien sur , vu la quantité de boulot que tout cela demande , et vu tout ce qu'il reste a faire : tj dommage de refaire ce qui est deja fait ....
Regarde,
j'ai été cherché toute ma collection de Marginal,
et j'ai appris quelque chose sur les couvs que j'ignorais, tout comme gil.
Et puis j'ai listé les illustrateurs, je ne suis pas sur que d'autres sites l'ai fait
(j'en ai même vu, d'autres sites, qui enrichissaient leurs présentations, pas avec nos infos,
mais en fonction de nos infos )
* ouf , servimg déconne un peu , j'ai du m'y reprendre 4 fois pour récupérer les scans sur le forum...
Oui, tu as raison, moi qui conseille toujours servimg à tout le monde,
j'ai aussi des soucis, je croyais que c'était une question de taille,
j'y ai effectivement 57 pages,
mais je constate que c'est général.
Espérons que cela s'arrange
Il était déjà rangé mais pas trop loin :
[213] Sean Mc Mullen .............................. Les Ames dans la grande machine, 1. Le Calculateur (Souls in the Great machine, 1999), trad. Raphaëlle Provost, 316, pages, isbn : 2-221-09590-1
Dans la partie "auteurs" de la Base, nous pouvons lire :
De l'autre côté du mur des ténèbres (1993)
Fleuve Noir, Anticipation n° 1926, 1993.
ou
Crache-béton (1984)
Fleuve Noir, Anticipation (IV) n° 1315, 1984.
Fleuve Noir, Anticipation n° 1918, 1993.
On constate que la collection Anticipation est donc repérée, par exemple (IV)
et ceci jusqu'à une certaine date,
puis, elle n'est plus repérée.
Or, ayant un débat sur un autre forum, j'aurais aimé m'appuyer sur BDFI.
Pourquoi, la collection Anticipation n'est-elle plus repérée, et peut-on y remédier
Voici l'état de ma collection :
1 - sans prix
2 - avec prix, avec date
3 - avec prix, avec date
4 - avec prix, avec date
5 - avec prix, avec date
6 - avec prix, avec date
7 - avec prix, avec date
8 - avec prix, avec date
9 - avec prix, avec date
10 - sans prix
11 - avec prix, avec date
12 - avec prix, sans date
13 - avec prix, sans date
14 - avec prix, sans date
15 - avec prix, sans date
La vignette sur la couverture et les quelques illustrations intérieures sont signées.
Les illustrateurs aussi ont le droit d'être cités :
1 - Phillip Caza
2 - Raimondo
3 - Bernard Moro
4 - S. Mario
5 - Thierry Laroux
6 - Klei
7 - Cathy Millet
8 - Loro
9 - Jean-Claude Hadi
10 - Richard Martens
11 -Enki Bilal
12 - J. C. Hadi
13 - Mario Sarchielli
14 - Georges Raimondo
15 - Jaques Bellenger
Mister Lag, je suis de tout cœur avec toi, contre l'injustice,
et j'en profite pour te donner ce modeste complément relatif à ce livre que je dévore actuellement et qui se révèle d'ailleurs fort intéressant :
[214] Sean Mc Mullen ............................ Les Ames dans la grande machine, 2. Les Stratèges (Souls in the Great machine, 1999), Trad. Raphaëlle Provost, 308 pages, isbn : 2-221-10156-1
1466 - Virus-party (1971, Assignment Tokyo) par Edward S. Aarons : traduction de Paul Desrochers.
Gallimard, Coll. "Série Noire", n° 1466, 1972
Claude Mesplède :
Sam Durell assure l'intérim de l'agence de la CIA à Tokyo, son titulaire étant victime de la malaria. Les habitants de Hatashima, petit village de pêcheurs, meurent comme des mouches, mystérieusement contaminés. A l'ambassade des Etats-Unis, l'inquiétude règne : pris dans un typhon, un cargo américain, transportant plusieurs containers du virus mortel Pearl 0.27, a fait naufrage. Sam Durell est chargée de l'affaire. Seule solution : retrouver Yoko Kamuru, maitresse de Bill Cumming, agent de la CIA. La jeune femme.qui était allée à Hatashima, a disparu. D'après le Dr Freeling, une huile de la recherche militaire, si elle a survécu. elle sécrété des anticorps au virus qui pourraient ainsi constituer une parade pour immuniser tous les gens atteints.
(...) le colonel Po Tao (Branche du Paon, Maison Noire, Pékin). ayant capturé l'Américain et la Japonaise, leur expliquera que l'épidémie a été déclenchée par quelques têtes brûlées qui ont noyauté sa section et saboté un missile porteur d'un virus identique au Pearl 0.27, pour mettre en accusation les Etats-Unis et récupérer Formose.
(...)
En prélevant le sang de Yoko Kamuru, le Dr Freeling peut alors mettre au point un sérum qui, produit en masse enraye l'épidémie. (...)
Comme il figure dans la base, autant le citer ici, d'autant qu'il fait partie du genre.
Je ne l'ai pas lu, je ne l'ai même pas acheté.
jmdark a écrit :Une petite question de néophyte : pourquoi Ailleurs & Demain n'est elle pas mentionnée et accessible dans la liste des collections ? J'ai failli croire que vous ne vous étiez pas intéressé à la meilleure collection française de tous les temps (avis personnel)
J'ai failli répondre que c'était parce Mister Lag avait mis près d'un an à la mettre en ligne
, mais en regardant de plus près, elle y est bien :
Robert Laffont L'âge des étoiles Ailleurs & Demain
Peut-être jmdark parle-t-il des collections de la Base, et non point de celles du forum ?
C'est un hors-collection qui a été offert, je ne me rappelle plus à quelle occasion
dont je parle iici
1981
Je ne sais pas si Denöel a édité un catalogue cette année mais nous avons eu droit à une petite brochure hors commerce contenant une nouvelle inédite (La grande roue,The black Ferris,1980)
et dont quelqu'un a fait un scan mais je ne sais plus où.
1351 - Lune de sang (1969, The Cell and other tales of horror) par David Case, traduction de Denise May
Gallimard, Coll. "Série Noire", n° 1351, 1970
in Trois saigneurs de la nuit/3, Nouvelles Editions Oswald, "Fantastique/Science-fiction/Aventures" n° 210, 1988.
quatrième de couverture
Aimeriez-vous rencontrer, à la lune, au coin d'un bois, un monsieur affligé de l'intéressante manie d'étrangler ses semblables et de déguster leur sang ? Ou encore un étrange animal qui marche sur deux pattes, qui court sur quatre, qui semble avoir des ailes et qui adore couper bien proprement la tête de ses victimes ?
Claude Mesplède :
Le narrateur hérite d'une vieille masure, dans la campagne anglaise, et découvre le manuscrit de son oncle. Il le lit. L'oncle, puritain et suffisant, se croit — ou est ? — un loup-garou. Comme les crises deviennent de plus en plus violentes et qu'il veut se protéger et protéger ses semblables, il a fait construire, dans les caves, une cellule capitonnée. Les nuits de pleine lune, il s'y fait enfermer par sa femme, Helen, qui le libère le lendemain. (...).
Le livre contient deux nouvelles, c'est la première "The Cell" qui est réédité chez Néo
[...]
apres, pour le wiki....cela me semble faire doublons avec la base ( par exemple j'y ai vu une section " ouvrage sur la sf " , que je ne trouve pas ds la base ....sans parler des " manques" divers )
le wiki est en construction, c'est un plaisir de l'enrichir petit à petit, comme l'oiseau fait son nid
pour l'exemple " cosmos" , je ne trouve pas cette collection ds la partie " collection " de la base justement ....qq'un repique des infos du forum pour les mettre ds la base ?
çà viendra
n'est-ce pas plus simple de le proposer a qq'un ( webmaster ?) pour le mettre directement ? ( fonction wiki ?)
C'est une autre démarche, possible au demeurant, mais je me suis fait plaisir
ne serait-il pas intéressant d'avoir ( ds la base , plutôt que ds un forum , qui est censé être plus un lieu de discussion/infos qu'un lieu de référencement pur ) ,
l'un n'empêche pas l'autre
tj en prenant l'exemple "cosmos" , une page avec toute les couvs , plus les scans qu'on veut bien rajouter , comme la photo du neveu , textes d'intro , et aussi historique de la collection ?
je ne crois pas que l'organisation de la base permette des fantaisies, encore que ce ne soit pas mon domaine
bref , je vais plonger plonger ds la section " comment ça marche " et poserait des questions a qui de droit...
oui, oui
pour le reste je suis bien d'accord : ds le forum , on fait ce qui nous plait plait plait
Voilà qui justifie toute cette discussion
1321 - Kidnap-party (1969, Who stole Sassi Manoon) par Donald E. Westlake, traduction de Noel Chassériau
Gallimard, Coll. "Série Noire", n° 1321, 1970
quatrième de couverture
KIDNAP-PARTY. La reine de l'écran Sassi Manoon vaut des millions de dollars et deux bandes rivales s'évertuent à subtiliser l'actrice pour toucher de la compagnie qui l'emploie une fastueuse rançon. Qui va réussir à enlever la star? Les " jeunes " inspirés par les conseils catégoriques de l'ordinateur Schnock ou les *vieux" vieux », réduits aux seules subtilités de l'arnaque traditionnelle ? A moins que la victime n'ait son mot à dire, elle aussi...
Claude Mesplède :
C'est aussi sans doute une grande première pour l'époque d'utiliser comme personnage presque à part entière un ordinateur (son nom Schnock à connotation péjorative n'est pas le fruit du hasard). L'évolution des techniques a prouvé depuis que ce choix n'était, somme toute, pas si fantaisiste qu'on aurait pu le croire.
L'ordinateur, Sélecteur à Conductivité Hypo Neutronique d'Objectivation Cyclo Kinétique, j'ignore comment il s'appelle dans la version originale,
est quand même une drôle de bête qui prend le pouvoir car il est beaucoup plus intelligent que les autres protagonistes, mais sans aucun mérite !
La Sf est ici utilisée comme élément comique, ne vous attendez pas à une réflexion sur "l'Homme et la Machine",
mais je vous garantis une bonne rigolade
bonjour Joseb,
Voila bien quelques titres intéressants, auxquels nous n'avions pas pensé ou vers lesquels nos penchants ne nous auraient pas portés.
C'est bien l'avantage d'un forum que d'obtenir des opinions aussi diverses.
Certes, les couvs sont parfois trouvables sur d'autres sites,
il peut nous arriver de recopier des images, en signalant leur origine évidemment.
L'avantage d'un forum est que chacun peut apporter sa participation, selon l'angle qui l'intéresse,
ainsi, moi, je suis assez sensible au contenu des livres, alors que d'autres seront davantage portés sur les illustrations.
Tu vois aussi, j'ai indiqué que le premier numéro de cette collection contenait une préface de Henri Bordeaux,
si cela t'intéresse, je peux t'en donner les grandes lignes, ou même t'en faire un scan,
c'est mon livre, ce n'est pas une image que j'ai repompé quelque part;
j'ai aussi reproduit la photo hors-texte du Docteur Roger de la Fuÿe,
ce qui est drôle car cela traduit bien l'ambiance des publications de l'époque.
BDFI comporte aussi une base accessible par collections et par auteurs
qui est mise à jour continuellement en fonction des apports des forumeurs,
ainsi qu'un wiki très intéressant,
même s'il n'est pour l'instant pas très étoffé.
Toi même, peux très bien nous raconter tout ce que tu connais de Weinbaum, ou autres, et rendre ainsi publiques des informations ou des impressions que d'autres seront heureux de partager.
Voila, et encore, je n'ai fait que parler en mon nom, d'autres pourraient t'en parler pendant des heures avec une passion devant laquelle la mienne ressemble à une bougie dans une salle de concert
la liste des titres :
1. La Machine à explorer le rêve par Grégoire BRAININ & Henri KELLER
2. La Guerre des ondes par Grégoire BRAININ & Henri KELLER
3. Le Tour du soleil en 80 jours par Grégoire BRAININ & Henri KELLER
4. Celui qui ne vient de nulle part par Grégoire BRAININ & Henri KELLER
5. Les Paladins du ciel par Jacques-Henri JUILLET
6. Les Visiteurs de l'an 2000 par Jacques-Henri JUILLET
7. Au centre de l'univers par Grégoire BRAININ & Henri KELLER
8. Le Septième ciel par Jacques-Henri JUILLET
9. Nurma par Jean CAP
10. Monsieur Cosmos par Maurice LIMAT
11. Planète sans soleil par Maurice LIMAT
12. Pas de planète pour les Terriens par Maurice LIMAT
Collection Cosmos,
sous la direction littéraire du Docteur Roger de la Fuÿe, neveu de Jules Verne, Président da la société internationale de médecine orientale.
Editions du GRAND DAMIER, 64 rue de Richelieu, Paris 2ème
(((Lien sur la page collection : http://www.bdfi.net/collections/pages/cosmos.php )))
1303 - Drôle d'alibi (1968, The curious facts preceding my execution) par Donald E. Westlake, traduction de J. Hérisson
Gallimard, Coll. "Série Noire", n° 1303, 1969
Ce recueil de nouvelles contient
Meurtre dans le cosmos (1968, Murder in outer space)
Claude Mesplède :
Ged Stanton, enquêteur de la Tangier Mutual Insurance Corporation, est envoyé à Luna City, vers les bases de l'extrême espace d'Atronics City. Un prospecteur, Jafe McCann, associé depuis quinze ans à Ab Karpin, vient de découvrir un gros filon. Il est mort accidentellement peu après, mais a pris le soin de remplir un formulaire de remboursement de son capital retraite, au bénéfice de son associé. Bien que tout semble en règle, la compagnie, avant de débourser 10.000 doublezons, préfère envoyer un enquêteur sur place.
Je suis certain d'avoir déjà lu cette nouvelle ailleurs,
mais je suis incapable d'en dire plus.
La Route (The Road) , de Cormac McCarthy Collection Littérature étrangère, Editeur Olivier Eds De L', 15 cm x 22 cm, ISBN 2879295912 , prix 21,00 €
voilà ce qu'en dit Wikipédia :
La Route (The Road) est un roman de Cormac McCarthy publié en 2008 par les éditions de l'Olivier (2006 chez Alfred A. Knopf pour la version originale). Il a été traduit de l'anglais par François Hirsch.
Ce roman a gagné [...] le Prix Pulitzer 2007 dans la catégorie fiction.
Résumé :
Le monde est dévasté suite à un désastre inconnu. Plusieurs incendies ont ravagé et ravagent le pays. Les villes sont presque désertes et les rares survivants pratiquent le cannibalisme (les "méchants") ou mangent de la nourriture en conserve qu'ils trouvent çà et là.
Un père et son jeune fils parcourent la route et fuient le froid en direction du sud avec un chariot de supermarché et des sacs à dos qui contiennent l'ensemble de leurs possessions.
Un brin de critique ici et ici
Ça a l'air bien, il faudra que tu nous dises ce que tu en penses quand tu l'auras fini.
et bien merci de cette réponse, mais apres avoir recherché il n'y a pas grand chose qui ma convaincu... malheureusement.
en faite ce que je recherche c'est soit monde apocalyptique style mad max waterworld ou the postman (désoler mais exemple ne son que des films mais ma culture littéraire est tres limité dans ce domaine)
ou bien comme "je suis une legende" (un homme seul dans un monde en ruine)
Alors je peux te proposer aussi:
La Compagnie des Glaces de J. G. Arnaud:
Il s'agit d'une saga qui décrit la Terre recouverte de glaces dans un futur proche,
le ciel est encombré de poussières et la température moyenne est de moins vingt degrés Celtius.
L'humanité, réduite à quelques groupes d'individus, essaie de survivre dans des trains peu chauffés
tirés par des locomotives à vapeur qui brulent les cadavres, faute de charbon.
1296 - La mémoire du mort (1968, Hauser's memory) par Curt Siodmak, traduction de André Bennat
Gallimard, Coll. "Série Noire", n° 1296, 1969
Claude Mesplède :
Le Dr Cory, qui fait des recherches sur le cerveau, est parvenu à transférer la mémoire d'un chimpanzé dressé à un chimpanzé sauvage. Il reçoit la visite de la CIA qui lui demande de transférer la mémoire d'un savant atomiste allemand à un prisonnier d'Alcatraz. Cory décide de tenter l'expérience sur son propre cerveau. Mais son aide, Hillel Mondoro, un juif, prend l'expérience à son compte et absorbe la mémoire de Karl Hauser, un ex-nazi, devenu collaborateur des Soviétiques avant de choisir de travailler pour les Américains.
Un peu plus faible que "Le Cerveau du nabab", il lui manque ce coté grandiloquent et fantastique,
mais c'est quand même une "suite" indispensable, de la véritable SF.
bonjour nikolaz,
N'hésite pas à consulter notre wiki qui te donnera quelques pistes en fonction des apocalypses que tu recherches.
Sinon essaie:
J'ai Lu
373- Clifford D. Simak ...... Demain les chiens (City, 1952) trad. : Jean Rosenthal
725- Christopher Priest .. Le monde inverti (Inverted world, 1974) trad. : Bruno Martin
799- Arthur C. Clarke .... Les enfants d'Icare (Childhood's end, 1953) trad. : Michel Deutsch
1184- Murray Leinster ......... La planète oubliée (The forgotten planet, 1954) trad. : Michel Averlant
1421- Thomas M. Disch ... Génocides (The genocides, 1965) trad. : Guy Abadia
et n'oublie pas dans la grande anthologie de la SF :
Histoires de catastrophes (Livre de Poche n° 3818)
Histoires de fins du monde (Livre de Poche n° 3767)
Histoires de la fin des temps (Livre de Poche n° 3777)
Histoires de survivants (Livre de Poche n° 3776)
Voila déja du grain à moudre.
Et alors, où sont les amateurs du Service de Surveillance de Planètes Primitives
1765-Jean-Pierre Garen..................Chasse infernale (1990) (Service de Surveillance des Planètes Primitives 20) - isbn : 2-265-04358-3
quatrième de couverture
Une série d'évasions des satellites-bagnes intrigue la Sécurité Galactique. Marc et Ray son fidèle androïde sont envoyés sur la planète Psar où les évadés auraient pu trouver refuge. Dès son arrivée, Marc est capturé et promis à la mort. Il parvient à s'enfuir avec Ray, dans une jungle particulièrement hostile. Commence alors une poursuite infernale. Mais il arrive parfois que le gibier devienne chasseur...
1828-Jean-Pierre Garen....................L'ombre des Rhuls (1991) (Service de Surveillance des Planètes Primitives 23) - isbn : 2-265-04546-2
Je vais utiliser cette très belle page et les suivantes pour établir une liste des rééditions du FNA bénéficiant d'une nouvelle illustration, mais sans nouvelle numérotation .
J'établis cette liste au bénéfice des fanas du FNA et de leur nouveau site.
Je vous indiquerais le lien où je publierais cette recherche.
Merci Christian.
Je connais mal Maurice G. Dantec, comme je l'ai dit, son roman "Les Racines du Mal" paru en Série Noire, aurait mérité au moins trois ou quatre tomes pour être lu avec plaisir.
Je comprends bien que la vie réelle est un embrouillaminis d'histoires entrecroisées, il n'empêche que moi, en tant que lecteur, je n'ai qu'une capacité restreinte d'assimilation, et une tendance égoïste à vouloir prendre du plaisir dans mes lectures.
Ce qui fait que je n'ai pas vu "La Sirène rouge", je le regrette un peu aujourd'hui.
Toutefois, après une lecture rapide de Wikipédia, le thème principal de Dantec semble plus spirituel, l'identité de l'homme, la place de Dieu, etc ...
et l'histoire du convoyage est anecdotique, ou descriptif, un procédé pour nous montrer un devenir possible et la manipulation de grandes organisations politiques, commerciales ou religieuses.
Ses autres livres semblent encore plus difficiles à lire.
1192 - Incognito pour ailleurs de Francis Ryck,
Gallimard, Coll. "Série Noire" n°1192, 1968.
Gallimard, Carré noir n° 542, 1985.
quatrième de couverture :
Les soucoupes volantes, ça n'existe pas, comme chacun sait. Pourtant, ce n'était pas l'avis d'un certain olibrius du S. R. français. C'était, pour ainsi dire,"le préposé aux disparitions inexplicables". L'olibrius força l'agent Moranges à servir de cobaye dans une expérience de son cru.
Et l'agent Moranges disparut. Pas pour tout le monde. Et surtout pas pour une espèce tout à fait nouvelle d'utilisateurs de ces soucoupes volantes qui, paraît-il, n'existent pas.
Il y a aussi un bouquin de Francis Ryck intitulé Incognito pour ailleurs (publié dans la Série Noire, collection Espionnage !) dans lequel des Mayas survivent de nos jours (de nos jours devant être compris au moment de la première publication du livre en 1968) cachés sous la Cordillère des Andes (et ce qui est bien c'est qu'ils possèdent un engin dont ils ne maîtrisent pas la technologie mais qui tient carrément de la soucoupe volante!)
Francis Ryck, de son vrai nom Yves Delville, est un écrivain français né à Paris le 4 mars 1920 et décédé à Paris le 19 août 2007.
Babylon A. D. film américain 2008, genre SF
Réalisé par Mathieu Kassovitz, avec Vin Diesel, Mélanie Thierry, Michelle Yeoh, etc,
et la participation de Lambert Wilson, Charlotte Rampling, Gérard Depardieu, etc ..
Dans une Europe mal identifiée, peut-être centrale ou russe, à la fin du XXI siècle, enfin dans un futur pas trop proche, mais pas très éloigné,
Toorop, mercenaire classé terroriste aux E.U., est embauché par Gorsky, maître de tout, de ce côté de la frontière, pour convoyer une mystérieuse jeune fille prénommée Aurora depuis un monastère isolé vers New-York.
Aurora est accompagnée par sœur Rebecca, pacifiste tout a fait capable de se défendre dans les situations les plus extrêmes.
Le voyage commence en voiture un peu renforcée, se poursuit dans une version du TGV adapté aux zones dangereuses, vers le détroit de Behring, puis à travers un Canada défendu par des drones de combat, pour enfin atteindre New-York, où Aurora prédit que le trio doit mourir.
Ce n'est que le début, qui est Aurora ? Quelle part d'humanité reste-t-il à Toorop ? Qui doit réceptionner la jeune fille ? Quels sont sont les buts de cet ordre religieux, les Noelites ?
Adaptation du roman "Babylon Babies" de Maurice G. Dantec, voila un film sans temps morts, avec des interprètes tous bien dans leur rôle, Vin Diesel convoyeur qui ne fait confiance à personne, Michèle Yoh garde du corps rompue aux arts martiaux, Mélanie Thierry en vierge illuminée et les apparitions de Gérard Depardieu en trafiquant, Charlotte Rampling en Grande Prétresse, Lambert Wilson en médecin fou.
Aussi bien les décors naturels, d'une sauvagerie choisie que les zones urbaines surpeuplées de survivants réfugiés d'on ne sait où, qu'un New-York plus proche de Hong-Kong que jamais, sont tous criants de vérité.
Cette SF, à travers "Les fils de l'homme" ou "Blade Runner", nous décrit des lendemains bien sombres, loin des rêves de l'après-guerre et des bluettes de Spielberg, mais que nous méritons peut-être.
De Maurice G. Dantec, je n'ai lu que "Les Racines du Mal" qui m'avait beaucoup plu, mais dont l'écriture et le fouillis m'avait dégouté, à tout jamais, d'aborder un autre de ses romans.
Je suis donc reconnaissant à Mathieu Kassovitz d'avoir décodé, surement simplifié, et habillé d'images assimilables, ce livre que j'aurais ignoré autrement.
1168 -Opération Frigo, (1967, Assigmment Doomsday) par Edward S. Aarons, traduction de Marcel Frère.
Gallimard, Coll. "Série Noire" n° 1168, 1967
quatrième de couverture :
C'était bien la première fois que Sam Durell recevait l'ordre de coopérer avec le Moujik, le tueur du K. G. B. !
Sam Durell allait cependant rencontrer, sur la route du grand nord, des adversaires tout aussi redoutables, tels cette poétesse farfelue qui appelait de ses chants la malédiction des antiques dieux des Vikings, ce géant fou maniant le fléau d'armes avec une diabolique habileté, ou cette énigmatique blonde à qui les' Services secrets suédois avaient sans doute grand tort de se fier.
Claude Mesplède :
Des catastrophes naturelles, tout à fait inhabituelles, se produisent un peu partout dans le monde, faisant de nombreuses victimes : il neige au Sahara, des typhons ravagent le Japon, etc. Les relevés d'un météorologue indiquent que ces calamités se produisent en suivant une ligne bien précise : la route d'un sous-marin inconnu qui se dirige vers la Baltique ou l'Océan Arctique. Si le froid s'intensifiait, cela pourrait aboutir à la fin du monde.
Appelez-moi Dave (Meet Dave), film américain 2008,genre : comédie
réalisé par Brian Robbins, avec Eddie Murphy, Elizabeth Banks, etc ...
Afin de sauver leur Monde, un équipage d'extra-terrestres minuscules arrive sur Terre dans un vaisseau très spécial, qui leur permet de passer (presque) inaperçu. Il s'agit de la réplique parfaite d'un homme (qui ressemble au Capitaine du Vaisseau) dont chaque membre de l'équipage est responsable d'une partie du corps.
Mais ressembler à un être-humain est une chose - se comporter comme un être-humain s'avère être beaucoup plus compliqué !
Convenu, je crois que même vos enfants riront à peine.
Ce n'est pas "Just call me Dave"
1093 - Les séquestrés de la cloche, (1966, The Venus probe) par David Saint John, traduction de Noel Chassériau,
Gallimard, Coll. "Série Noire" n° 1093, 1966
quatrième de couverture
- Ces hommes composent à eux sept l'équipe idéale capable de survivre des années sur la lune.
- Mais comment pour-raient-ils survivre ? Ils sont déjà morts !
C'est ainsi que naquit le projet Cratère : découvrir les dernières ambitions des Russes en matière de conquête de l'espace. Peter Ward, traquant les fantômes de sept savants mystérieusement disparus, finira par mettre le doigt sur un fantastique laboratoire sous-marin, qui sera peut-être aussi son cercueil. Un cercueil atomique !
En fait, pour simuler les conditions d'une base sur Vénus, les soviétiques ont construit une "cloche" sous l'océan où travaillent des russes et quelques infâmes renégats, dont un savant français membre du PCF.
Le héros va directement en Polynésie, explore les fonds sous-marins à l'aide du "Snark", se fait capturer par un filet métallique et embaucher par le KGB sans méfiance pour travailler comme géologue sur la base,
ensuite, il sauve le Monde.
Je ne c'est pas si c'est lisible aujourd'hui, déjà à l'époque de la guerre froide, cela devait relever de l'anticommunisme primaire.
David Saint John, de son vrai nom Howard Everette Hunt Jr est né le 9 octobre 1918 à Hamburg, dans 'état de New-York, il a été emprisonné à la suite du scandale du Watergate
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