Vous n'êtes pas identifié(e).
Je ne sais pas du tout comment s'effectue un rebrochage, mais est-ce par un pro ou par les concepteurs de la revue? si c'est un pro, il a ce qu'on lui fournit...
Oui, c'est un petit travail d'imprimeur dans un atelier d'assemblage, effectué par des petites mains.
Le n° 13 du voisin est bien composé de
1 - Leigh BRACKETT, Les Hommes stellaires
4 - Murray LEINSTER, La Galaxie noire
celui de Jerubuntu est composé de :
mon exemplaire comporte... Le pont sur les étoiles & La Galaxie noire (sic !)
(le "de plus" s'appliquant à "changement")
Je pense que le rebrochage s'effectue sur une table ou tu as devant toi deux , ou trois ou 4 piles, déjà préparées
et tu prends devant toi, un exemplaire de chaque pile, sans regarder les titres,
tu passes la colle, et disposes la nouvelle couverture.
Nous pouvons avoir un aperçu d'un autre exemplaire, avec la même couverture sur un site voisin qui ne dispose pas d'un forum
Attends :
le seul exemplaire que l'on connaisse est celui de Jerubuntu
qui nous dit :
/!\ CHANGEMENT
Il s'agit de DEUX ROMANS : les Hommes Stellaires & La Galaxie noire (dans la liste, les 13 et 14 à vérifier)
De plus, mon exemplaire comporte... Le pont sur les étoiles & La Galaxie noire (sic !)
Du coup, info quant à la Galaxie Noire :
... (supplément aux n°5 à 8 de Satellite)
pp. (7) à 135 : La Galaxie noire
pp. (139)-140 : Le point de vue scientifique, par Jacques Bergier
pp. (141)-142) : Le point de vue littéraire, par Gérard Klein
donc apparemment deux romans seulement et non trois.
Il pourrait s'agir d'une erreur de rebrochage !
La Servante écarlate(The Handmaid's Tale) 1990, film allemand, américain. Genre : Fantastique
Réalisé par Volker Schlöndorff, avec Natasha Richardson, Robert Duvall, Elizabeth McGovern, Faye Dunaway,etc ...
Scénario de Harold Pinter, d'après l'œuvre de Margaret Atwood
Je ne l'ai pas vu, je n'en avais même pas entendu parler.
Mais je profiterais de toute occasion.
Margaret Atwood
La servante écarlate(The handmaid's tale, 1986), par Margaret Atwood, trad. Sylviane Rué colletion "Collection Pavillons",editeur "Robert Laffont",DL janvier 2005, 12,2 x 18,1 , prix 9,90 € , - isbn : 2-221-10376-9
quatrième de couverture :
La servante écarlate, c'est Defred, une entreprise de salubrité publique à elle seule. En ces temps de dénatalité galopante, elle doit mettre au service de la république de Gilead, récemment fondée par des fanatiques religieux, son attribut le plus précieux : sa matrice.
Vêtue d'écarlate, à l'exception des voiles blancs de sa cornette, elle accomplit sa tâche comme une somnambule. Doit-elle céder à la révolte, tenter de tromper le système ? Le soir, Defred regagne sa chambre à l'austérité monacale. Elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, d'échanger des confidences, de dépenser de l'argent, d'avoir un travail. un nom, des amants... C'était le temps où l'amour était au centre de tout. L'amour, cette chose si douce aujourd'hui punie de mort...
Œuvre majeure. La Servante écarlate n'est pas sans rappeler 1984 d'Orwell. Mais, au-delà de cette magistrale création d'un monde, c'est la question du rôle et de l'avenir des femmes que pose, avec force, ce roman inoubliable.
Voila une belle dystopie, racontée à la première personne par Defred, dont on se demande quel peut-être l'avenir.
Elle sombre petit à petit dans l'interdit, comme les amants de 1984, et l'on comprend très bien que seule, elle ne peut pas venir à bout de cette société.
La Base indique :
La servante écarlate (1986, The handmaid's tale)
Laffont, Coll. Pavillons, 1987.
J'ai Lu, Science-fiction n° 2781, 1990.
elle oublie l'édition ci-dessus et les différentes rééditions en J'ai Lu :
1990
2781- Margaret Atwood ..... La servante écarlate (The handmaid's tale, 1986) trad. : Sylviane Rué - isbn : 2-277-22781-1
Rééditions 1997
2781- Margaret Atwood ... La servante écarlate (The handmaid's tale, 1986) trad. : Sylviane Rué - isbn : 2-277-22781-1
Rééditions 2005
2781- Margaret Atwood ..... La servante écarlate (The handmaid's tale, 1986) trad. : Sylviane Rué - isbn : 2-290-34710-8
Des couvertures différentes pour les n° 5 et n° 19 de satellite-sélection !
Voila bien du travail pour Cirocco
Appel à tous les forumeurs pour trouver les autres couvertures alternatives
Pour le n° 28, je ne peux pas faire de photos correctes car il est soigneusement collé avec son copain d'Hypothèses, à l'intérieur du Satellite-sélection n° 2.
ils ne sont pas tête-bêche et chacun à l'air de couter 2 nouveaux francs, ce qui devait être un peu cher à l'époque !
Enfin, nous aurons au moins le contenu
n°28 Avril 1960, mensuel Prix 2 N. Fr.
Côté Satellite
Moisson qui lève, par François d' Astrée,
Objets inanimés, avez-vous donc une âme ?... par Bertram Chandler,
Le Polypier, par Slim Bwatoe
Il est venu comme un voleur,par Fernand François
Copie non conforme (Through a glass darkly), par Milton Lesser , traduit par J. Voilley
L'Étalon, par François Cavanna
Le Dernier mutant, par Jacques Ancet
Dernier chapitre, par Poul Anderson, traduit par Collin Delavaud
Articles et Chroniques : ?(Memento de la science-fiction- Limbo de Bernard Wolfe), Michel Tarnier (Le livre du mois : Ravage de René Barjavel)Maurice Tarnier (Tomes démolis),? (Département étranger), Fernand François (Chronique d'anticipation militaire), Enfin Cyrano vint (III), ? (Le "Who is Who" de la science-fiction : Poul Anderson)
Côté Hypothèses
Romans d'hypothèses
S.O.S. passé, par André Louvigny
La Brigade du temps (chapitre 1, L'Initiation), par Jean Cap
Enquêtes :Pourquoi le pétrole ?, L'Atome et le pétrole, Pétrole sous-marin, Regards sur l'industrie du pétrole
Rubriques : La Science en marche, Hypothèses.
Retour de puces.
Trois brocantes, et pas un seul livre, même avec hésitation, même en mauvais état, même pour quelqu'un d'autre ou trop cher.
Rien,
alors vaincu par les éléments, le vent, le froid, la pluie,
je me résous à rejoindre mon antre douillet
Merci, je regarderai demain ce que je peux faire pour le 28 qui est aussi dans une reliure,
en revenant de brocante
1739 - Tous les loups sont noirs (1979, The night time guy) par Tony Kenrick, traduction de France-Marie Watkins
Gallimard, Coll. "Série Noire", n° 1739, 1979
quatrième de couverture
Aujourd'hui, le bidasse devrait, paraît-il, posséder un don aussi sophistiqué que les armes qu'il est censé savoir utiliser : voir la nuit. Encore fallait-il faire des expériences pour ça et le Ministère de la Défense m'avait choisi comme cobaye. Je n'étais pas très chaud, car les gouttes qu'on m'avait flanquées dans les yeux me rendaient aveugle à la lumière du jour. Leur nyctasaloperie n'offrait qu'un avantage : je pouvais voir dans le noir de belles filles toutes nues. Mais qu'est-ce que j'ai dù déguster pour ce plaisir ! Quant à ma contribution à l'effort de guerre, ça...
Claude Mesplède :
Max Ellis, jeune informaticien, occupe une partie de ses loisirs à la rééducation des aveugles et à l'enseignement du braille. Il est convoqué par James Gallo, employé au ministère de la Défense, et son chef Weyland. Il a été choisi comme cobaye pour expérimenter une découverte de l'armée : des gouttes pour les yeux qui permettent de voir dans le noir. En contrepartie, le patient devient aveugle lorsqu'il fait jour. Une pilule spéciale permet de stopper le processus et de redevenir normal. Ellis, sous la pression, accepte de tenter l'expérience. Il recevra dix mille dollars..
Une partie du récit est fait à la première personne par Max Ellis qui raconte comment il rencontre par hasard un poivrot bien sympathique et une superbe enquêtrice qui veut comprendre comment il fait des progrès si rapides pour un aveugle récent et pour cela l'invite dans un grand restaurant français.
Nous assistons à une démonstration de tir la nuit qui permet d'engager les négociations avec un sénateur, afin d'obtenir les crédits et de former un commando de 300 aveugles.
Parallèlement à cette histoire, nous assistons aux efforts d'un personnage louche qui s'adjoint les services d'un chirurgien spécialiste des yeux, en effet une énucléation du cobaye permettrait peut-être de recontituer la formule des fameuses gouttes.
Le livre commence par une présentation de Max Ellis, donc nous sommes rassurés sur le sort du héros et pouvons apprécier tout le côté humoristique, qui fait le charme de cette histoire.
Pour convaincre les sceptiques que nous avons bien affaire à de la SF, je rappellerais que "La mort en direct" traite bien d'un sujet très proche.
Tony Kenrick est un écrivain connu pour ses thrillers délirants, il est né le 23 aout 1935 à Sydney (Australie) et vit au Canada.
Ok, je note ta liste pour mes prochaines brocantes
Très beau,
et cela a donc disparu ?
Quintet, film américain, 1979, genre science-fiction.
Réalisé par Robert Altman, avec Paul Newman, Vittorio Gassman, Fernando Rey, Bibi Andersson, Brigitte Fossey, Nina Van Pallandt, etc ...
Dans un monde envahi par les glaces, Essex arrive dans une construction futuriste et isolée faite d'un noyau central et de cinq ailes.
Il y rencontre une étrange société qui joue au "Quintet". Le jeu se révèle mortel pour ceux qui perdent ...
J'avais beaucoup aimé ce film, même si mon souvenir est devenu incertain,
je le reverrais avec plaisir.
Décès de Paul Newman, acteur américain.
Né le 26 Janvier 1925 à Cleveland, Ohio (Etats-Unis)
Décédé le 26 Septembre 2008 à Westport, Connecticut (Etats-Unis)
J'espère que personne n'a oublié qu'il a joué dans quelques films de SF.
Je propose à l'échange, bien que ce ne soit pas très rare :
Satellite n° 5
la couverture est un peu abimée, c'est un "édenté" , comme on dit pour les timbres, ou pour les femmes,
l'exemplaire que l'on garde en attendant d'en trouver un plus beau
Satellite n° 22
Ceci, avant de les perdre dans le carton des doubles
et moi, il me manque le 4, le 7, le 11, le 12 et le 15, ce qui fait quand même beaucoup plus que je ne pensais.
Satellite-Sélection N° 14, 12,5 x 17,0 ,DL 3ème trimestre 1959.
contient :
Renaissance (Renaissance), par Raymond F. Jones, adapté par Monique Benâtre
Le point de vue scientifique par Jaques Bergier,
Le point de vue littéraire par Gérard Klein.
Le petit dictionnaire du français anticipé (à suivre)
La mort en un miroir par Jérome Bixbi,
La barrière par Théodore B. Gasgswell, traduit par Louise Colet
Satellite-Sélection N° 12, 12,8 x 17,2 ,DL 4ème trimestre 1958, prix 4 F.
une page de faux titre précise : "CLUB SATELLITE 1"
contient :
Le Pont sur les étoiles, (Star bridge), de Jack Williamson et James E. Gunn
Le point de vue scientifique par Jacques Bergier,
Le point de vue littéraire par Gérard Klein.
Un peu pressé par le temps (je prends quelques vacances demain), je poste sans véritable mise en forme :
Satellite-Sélection N° 2, 13,0 x 19,2
contient :
satellite évasions N° 27 mars 1960
Hypothèses expansions N° 27 mars 1960
satellite évasions N° 28 avril 1960
Hypothèses expansions N° 28 avril 1960
Satellite-Sélection N° 4, 13,0 x 19,2
contient :
satellite évasions N° 312 mars 1961 (peut-être 31 & 32 ?)
satellite évasions N° 33 avril 1961
satellite évasions N° 34 mai-juin 1961
Satellite-Sélection N° 6, 13,0 x 19,6
contient :
satellite évasions N° 37 septembre 1961
satellite évasions N° 38 octobre 1961
Satellite-Sélection N° 9, 12,6 x 19,3
contient :
satellite évasions N° 42 mars-avril 1962
satellite évasions N° 43 mai-juin 1961
satellite évasions N° 46 septembre-octobre-novembre- décembre1961
encore un :
n°25 Janvier 1960, mensuel Prix 2 N. Fr.
ÉDITORIAL
Satellite-Hypothèses An I, par Michel Bénatre
NOUVELLES
Duel au 30e siècle, par Manly Wade Welman
Galatée, par Charles Henneberg
Pilote de fusée, par Algis Budrys
On ne fait pas d'omelettes... par Michel Deutsch
Mort au départ, par Milton Lesser
Le dernier soupir, par Raymond Abigeo
Les gens aux yeux mauves, par Peter Véd
CHRONIQUES
Memento de la science-fiction, Georges Orwell
Tomes démolis, Richard Chomet
Département étranger, Richard Chomet
L'anticipation militaire, Fernand François
De l'autre côté de l'écran, Hervé Calixte
VARIETES
Hier et aujourd'hui , olivier d'Yves
A travers les revues
Mots croisés S. f.
Petit complément :
n°2 Février 1958, mensuel Prix 150 Fr.
Romans
Barrière mentale (2e et dernière partie)
Agent Galactique, Mark Star (roman à suivre, épisode 2)
Nouvelles
Le Retour, Pierre Boileau et Thomas Narcejac
Démonstration, Gérard Klein
Le contact, Pierre Versins
A cors et à cris, Red Mac Breid
Héritage sidéral, Shane Mac Lewis
Le dévoreur d'or, J.P. Planche
Ohé les gars, Jean Cap
Chroniques de Michel Benatre (Flash sur Valérie Schmidt), Jacques Bergier et Gérard Klein (Demain les étoiles), Richard Chomet (Tomes Démolis), Gérard Klein (Le Livre du mois) et Hervé Calixte (De l'autre côté de l'écran).
C'est le dernier smiley à la mode de BDFI
Michel Houellebecq, La possibilité d'une île, éditions Fayard, 2005, 485.pages, 13,5 x 21,4, prix 22€, isbn : 2-21362547-6
Daniel est un humoriste, spécialiste du one-man-show, dont l'esprit assez acerbe et cynique, lui permet de faire fortune en quelques années.
Il épouse Isabelle, qui aime trop l'amour et pas assez le sexe, après leur divorce, et déjà vieillissant, il rencontre Esther qui aime le sexe, mais pas l'amour,
ses expériences avec les femmes sont teintées d'un machisme qu'il subit.
Il entre comme VIP dans la secte des Elohim, dont le Prophète, prône la fin de l'humanité, seule solution aux problèmes enfantés par l'homme à la surface de notre planète. Toutefois, la secte offre l'immortalité à ses adeptes, grâce aux recherches de Savant qui stocke les ADN de tout le monde , en prévision du jour où il pourra créer un homme artificiel et lui réinjecter cet ADN. Le Prophète disparu dans un épisode troublant, ressuscite au bout de trois jours, non six jours car quelques détails n'étaient pas au point.
Parallèlement, Daniel25, lit le récit de vie de Daniel1 et se fait son opinion sur l'individu dont il est le successeur, et sur la société dans laquelle il vivait.
Le journal fini, le clone décide de quitter son abri et de découvrir le monde extérieur avec ses sauvages et ses difficultés.
Michel Houellebecq a écrit un livre solide, cynique et pessimiste, dont les personnages sont bien décrits, du moins la perception qu'en a Daniel, le narrateur.
L'action se situe dans un futur proche, légèrement décalé, sans qu'il soit donné davantage de précisions.
Par contre la vie du clone se situe dans l'avenir, dans environ 3000 ans et après plusieurs catastrophes écologiques, guerres, épidémies et autres catastrophes.
Voilà un livre qui peut enchanter ou révolter, mais qui en tout cas doit figurer dans la base.
1351 - Lune de sang (1969, The Cell and other tales of horror) par David Case, traduction de Denise May
Gallimard, Coll. "Série Noire", n° 1351, 1970
[...]
Le livre contient deux nouvelles, c'est la première "The Cell" qui est réédité chez NéoIl n'y a que deux nouvelles, et le titre VO est "The Cell and other tales of horror" ? Recueil partiel donc ?
Quelle est le titre de la seconde nouvelle ? (A priori en charte sur BDFI si bien "tale of horror")
Le titre de la seconde est "La chasse au chasseur (The Hunter) et ressort bien du genre,
C'est l' histoire d'un animal, un "Glouton", qui dressé par un mysantrope, décapite les humains d'une simple bouchée.
Le livre original comprenait une troisième nouvelle "The dead end" qui n'a pas été traduite, mais qui explique le "tales".
1303 - Drôle d'alibi (1968, The curious facts preceding my execution) par Donald E. Westlake
[...] Ce recueil de nouvelles contient
Meurtre dans le cosmos (1968, Murder in outer space) [...]Le reste est policier pur jus (ou hors genres, ce qui revient au même) ?
oui, absolment et uniquement policier
Super Noire 21 - L'homme qui aimait les zoos (1974, The man who loves zoos) par Malcolm Bosse, traduction de Janine Hérisson.
[...]
Ce roman, qui à l'époque était bien de la science-fiction, serait aujourd'hui considéré comme un thriller [...]En quoi était-il de la SF à l'époque ? Simplement une intrigue datée quelques années dans le futur ?
En 1975, pour moi qui était peut-être un peu naif,
une fuite dans une usine chimique, ou atomique, qui pollue l'eau du robinet de l'auberge voisine,
l'état qui intervient pour déguiser l'empoisement de tous les passagers du car, en chute dans un ravin,
cela ressortait un peu de "1984" !
[...]les perles rares de la collection, genre "Le Grossium" (SN 1275) [...]"
Celui-là, faudra peut-être nous en parler aussi, même s'il n'y a rien à y faire
Je l'ai relu pour vérifier, c'est effectivement une perle, mais ne resort pas du genre,
j'en parlerais quand même quand j'aurais fini.
On dit, un déménagement, c'est comme un incendie
Toujours jaloux des découvertes des autres, j'avoue avoir fait une bonne journée.
Descendu à l'aube de chez moi pour rejoindre un brocante lointaine repérée avec soin sur mes sites incomplets,
j'ai eu la surprise de voir un copieux vide-grenier à vingt mètres de ma porte.
Et là, comme certains le décrive tous les dimanches,
j'ai trouvé un pauvre homme qui était trop heureux de se débarrasser, contre quelques euros,
d'une dizaine de "Mon roman d'aventures", autant de "Mon roman policier", pareil pour des "Allo Police",
quelques "Collection Printemps", encore une dizaine des "Enfants de la Lorraine" et autant de "Mignon".
Alors je suis remonté chez moi et je me suis demandé, devant un bouteille de blanc,
comment j'allais ranger tout ça
La Possibilité d'une île film français 2008, genre : ?
réalisé par Michel Houellebecq, avec Benoît Magimel, Ramata Koite.
Une secte composée du Prophète, de son fils, et d'un factotum, rame sur les routes de Belgique en faisant des conférences pour poivrot et en vendant des livres.
Trois ans après, ils ont un beau siège social et font des recherches sur l'immortalité avec l'aide d'un savant fou qui veut archiver le cerveau grâce aux ions sodium qui renforcent les liaisons neuroniques les plus utilisées.
Encore quelques années, le siège est à Bali, la secte est implantée dans 64 pays, comprend 80.000 membres, au cours de la réunion des représentants des instances nationales, le Prophète annonce qu'il va se donner la mort, car le monde ne peut plus supporter autant d'habitants.
Le savant à l'aide d'un ordinateur, genre planche à nouilles (*), dont il améliore le câblage au dernier moment, et d'un tunnel de scanner, fait disparaitre le Prophète.
Entretemps, nous avons vu le fils apparaitre dans un bouillon de culture contenu dans un gros aquarium.
Il a vraiment une tête de clone, et il prend connaissance de sa vie antérieure grâce à un ebook sorti d'une fente de la grotte.
A la fin du livre, un poème lui donne envie de sortir de son repaire.
Dehors, tout est détruit et désert, heureusement, il rencontre un chien, il deviennent copains, et tous les deux, ils s'assoient au bord de la mer.
Voilà, je vous est tout raconté, car je doute fort que vous ayez l'occasion de vous faire vous-même une opinion, nous étions 25, un dimanche soir dans une des deux salles parisiennes à projeter ce film.
Michel Houellebecq, a donc adapté lui même son livre homonyme, hélas on y retrouve rien de ce qui pouvait en faire la force.
Le comique aigri, ses femmes, son désespoir, le harem du Prophète, sa mort camouflée en résurection, l'ampleur de la Secte et sa fortune, tout a disparu.
C'est sûrement difficile de faire un film, mais il y a un minimum de codes à connaitre pour mettre le spectateur de son côté.
Je viens de lire le livre donc j'ai bien reconnu des phrases entières dans les dialogues, mais retirées de leur contexte, elles paraissent artificielles et ne sont compréhensibles que par les lecteurs.
Bref, un bide !
voir alloCine pour rigoler.
voir aussi une fiche de lecture ici
*(ce qui pilotait les machines mécanographiques de traitement de cartes perforées)
Malgré l'euphorie du retour de puces, il me semblait bien avoir fait quelque-chose là dessus,
qui d'ailleurs était à peine documenté, avec 3 malheureux bouquins, mais il faut bien commencer;
et qui avait donné lieu à polémiques sévères
Est-il besoin que je scanne ici les couvertures que j'ai, ou j'attends le listing prévu et je comble (éventuellement) les trous ?...
Fais confiance à Cirroco, elle nous a promis la belle variété arc en ciel des Satellite normaux dans sa presque totalité
Après je t'affiche les Satellite-Sélection avec les explications nécessaires,
et tu pourras compléter les trous,
ainsi dans l'ordre et la discipline,
BDFI accèdera encore au firmament de la connaissance universelle.
Quand nos enfants, avec leurs yeux émerveillés verront briller en lettre d'or le modeste sigle BDFI,
tu pourras dire : "J'y étais"
Super Noire 120 - Des tueurs pas comme les autres (1977, Hell Hound) par Ken Greenhall, traduction de Simone Hilling.
Gallimard, Coll. "Super Noire" n° 120, 1979.
Gallimard, Coll. "Série Noire", n° 2182, 1989 , sous le titre de "Baxter"
Carl était un nazi. Baxter était un tueur. Carl aurait bien aimé que Baxter tue pour lui. Ils appréciaient tous deux la violence, la perfidie, et méprisaient le monde entier, dont ils souhaitaient la mort, par goût et par besoin. Des psychopathes ? Oui, bien sûr. Des assassins comme les autres ? Non. Car Carl était un enfant et Baxter un chien.
Claude Mesplède :
[...]un procédé unique dans la littérature policière. Des "Tueurs pas comme les autres" se déroule sur deux plans narratifs. Un compte-rendu neutre à la troisième personne et les réflexions de Baxter, qui apparaît comme un chien doué de pensée sinon de parole. Voilà qui a permis à certains de classer ce roman « à la frontière du fantastique ». Il faut relativiser cette opinion.
Entrer dans les pensées d'un chien ambitieux était très original, certes, mais très dangereux en même temps. On peut rêver à ce qu'un Marcel Aymé eût tiré de cette situation. Ken Greenhall n'en extrait aucun profit, aucune gloire, aucun sourire, aucun tragique. Le procédé n'apporte rien de concret à la narration ni à la caractéristique des personnages, les réflexions de Baxter ne dépassent pas les élucubrations philosophiques d'un marchand de robinets. Un coup dans l'eau, somme toute..
C'est dommage, parce que Kenneth Greenhall sans ce procédé tellement gratuit qu'il en devient ridicule, aurait pu réussir un roman très noir où il aurait rassemblé les thèmes de la nostalgie, de la solitude, de l'hypocrisie, de l'incommunicabilité et de l'érotisme malsain qui englobe exhibitionnisme, initiation et bestialité. Le roman constitue un superbe exemple de superbe histoire superbement racontée. Biffez les tartines pontifiantes de Baxter, et voila une œuvre excellente..
En voilà un habillé pour l'hiver,
comme quoi, il vaut mieux rester dans le genre que l'on connait,
de toute façon, je n'ai jamais eu envie de le lire.
Ken Greenhall né en 1928
D'après Locus magazine, il a utilisé le pseudonyme de Jessica Hamilton
voici comment le Satellite n°35-36 juillet-aout 1961, DL 3ème trim 1961, 13,4 x 20,4 , prix 4 NF
est devenu le Satellite, sélection n°2 sans date, DL 3ème trim 1961, 13,0 x 19,8 , prix 3 F
il s'agit d'un simple rejaquettage, les pages sont exactement identiques.
Je me souviens très bien que tous les soldeurs de l'époque ont été envahis par des Satellite-Sélection,
Ce n'est que longtemps après que l'on a commencé à trouver des Satellite d'occasion..
J'en possède une bonne dizaine, et lorsque Cirroco aura fini sa présentation des Satellite normaux,
je pourrais faire un parallèle avec les Satellite-sélection.
Ce serait bien aussi de changer le titre du sujet
6 x 7 = 41
Dr Mabuse a écrit :octobre 1992
John W. CAMPBELL, Le Ciel est mort, (classiques) ( Who goes there ?, 1938),traduit de l'américain par Alain Glatigny, Francis Valéry et Michel Deutsch, 344 pages, isbn 2-221-07104-2
Un libraire me l'a vendu en 1992, me précisant qu'une cinquantaine d'exemplaires étaient réalisés avec l'ancien procédé et le peu de papier restant.
Une rareté dont je suis très fier.
Tu le vends combien ?
Je rigole, of course !!! Enfin, on ne sait jamais...
Je viens de le voir chez Joseph Gibert, à 8,20€, à l'état neuf,
si cela t'intéresse, je te l'achète demain matin, envoie moi un MP de confirmation
Super Noire 78 - L'opération Libellule (1975, Dragon Fly) par K. R. Dwyer, traduction de Jaques Hall.
Gallimard, Coll. "Super Noire" n° 78, 1977.
Le Président des Etats-Unis était très, très embêté. D'ici quelques jours — quelques heures peut-être — la ville de Pékin allait être ravagée par la peste. Tout ça parce que certains de ses concitoyens, généralement très fortunés, n'aimaient pas les hommes à peau jaune et à drapeau rouge. A moins que l'agent spécial du Président ne découvre à temps le porteur du virus et ne le neutralise_ Sinon, ce serait le chaos et, très probablement, la Troisième Der des Ders ! .
Claude Mesplède :
[...].
Un agent inculpé, Roger Berlinson, révèle le projet « Libellule ». Un citoyen chinois, de passage aux Etats-Unis, drogué et sous hypnose, a été transformé en bombe bactériologique. On lui a greffé une capsule contenant les germes de la peste et il devra la percer quand on prononcera devant lui une phrase convenue. Des milliers de personnes mourront alors. A cette occasion, un groupe de Chinois nationalistes reprendra le pouvoir, avec le risque de voir l'URSS déclencher une troisième guerre mondiale en dénonçant à la face du monde l'infamie des Etats-Unis.
[...]
Cet ouvrage est original à plus d'un titre. Il tranche sur l'habituelle idéologie des romans d'espionnage. En cours de route, l'auteur n'y va pas de main morte en dénonçant le rapport Warren et en formulant des accusations sur l'assassinat de Kennedy. Accusations reprises quinze ans plus tard dans le film J.FK. d'Oliver Stone. En outre, ce livre de politique-fiction se double de fantastique, tout à fait proche des récits que l'auteur a publiés sous son nom véritable, Dean Ray Koontz. Dommage toutefois que Canning soit un peu falot et son histoire d'amour aussi conventionnelles qu'inutile.
Le chinois qui transporte la peste avec déclencheur vocal ! si c'était dans Dune, cela tirerait des cris d'extase !
Classons ce livre de Dean R. Koontz dans le genre sans hésiter.
(61) Frederick Pohl & Cyril M. Kornbluth .. La tribu des loups / La promenade de l'ivrogne - isbn : 2-7201-0050-1
contient :
.. .. .. .. La tribu des loups (Wolfbane, 1957) trad. : Arlette Rosenblum
.. .. .. .. La promenade de l'ivrogne (Drunkard's walk, 1960) trad. : Arlette Rosenblum
celui-ci a un rhodoïd et une jaquette par dessus,
pas d'appareil critique,
quatrième de couverture :
Un jour, on a volé la Terre. On l'a arraché au soleil.
Quelques centaines de milliers d'hommes sont demeurés.
On les laisse vivre dans la paix
et la soumission. Qui, ? Cette puissance qui utilise
les humains comme des transistors organiques
dans un appareil construit... pour quoi?
LA TRIBU DES LOUPS.Si vous étiez doué de dons surhumains, accepteriez-vous vraiment de voir d'autres dons
semblables se multiplier autour de vous ?
st-ce que vous ne feriez pas tout pour empêcher cela ?
Et d'abord en utilisant vos dons, précisément pour supprimer la concurrence ?
LA PROMENADE DE L'IVROGNEFrederik, Pohl et Cyril M. Kornbluth ont donné quelques chefs-d'œuvre à la science-fiction, Il y eut; bien sûr, Planète à gogo, mais aussi
l'Ere des gladiateurs, Ce n'est pas pour demain,
l'Ultime fléau, l'Age du plaisir...
En voici deux autres.
(46) Bob Shaw .. L'autre présent / Les yeux du temps - isbn : _
contient :
.. .. .. .. L'autre présent (The two-Timers, 1968) trad. : Jacques Guiod
.. .. .. .. Les yeux du temps (Other days, other eyes, 1972) trad. : Jacques Guiod
pas d'appareil critique, mais ,
quatrième de couverture :
Votre téléphone sonne. A l'autre bout du fil c'est vous surgi de l'univers, d'a-côté,
de l'Autre Présent, un autre vous venu réclamer son dû, sa femme, c'est-â-dire la vôtre ...
Cet autre vous a remonté le temps et changé l'ordre physique des choses pour bouleverser votre vie.
Votre sécurité vacille de même que la pesanteur de la Terre dans cet affrontement de deux univers.Pour Garrod, cela commence par une invention apparemment simple pratique. un nouveau type de verre qui retient la lumière, qui capte l''image d'un moment pour la restituer 10 minutes, 10 ans, un quart de siècle plus tard.
Pour le monde, pour l'humanité c'est l'avènement d'un âge nouveau. celui des Yeux du Temps.
Une société qui ne connait pas le secret puisque le verre peut être pulvérisé en une poudre
impalpable faite de millions de cristaux espions.
Une société qui repose sur une véritable religion du passé.. Parce que toute la beauté d'une journée d'été peut, pour quelques dollars, remplacer la réalité des mégalopoles grisâtres.
Parce que pour chaque crime il y a 20.000 témoins. Parce que gouverner devient impossible...BOB SHAW, écrivain irlandais apparait comme l'un des plus prolifiques et
talentueux auteurs de la nouvelle génération anglo-saxonne.
Dans cette magnifique collection,
ce qui est important, plus que le désign assez sobre et un peu austère du cartonnage,
ce qui est important, ce sont les illustrations intérieures.
Dans ce cas, le n°
(13) Philip Jose Farmer .. Les amants étrangers / L'univers à l'envers
Les illustrations sont de Michel Dessimon, (comme il est précisé dans l'achevé d'imprimer)
page de garde : illustration du premier titre : illustration du second titre :
Je n'avais pas de plexiglas, ni d'éclairage suffisant ...
bref, si il faut refaire les photos pour constituer un beau dossier, je les referais, évidemment
(45) James Henry Schmitz .. Les sorcières de Karres / Les haleines du temps - isbn : _
contient :
.. .. .. .. Les sorcières de Karres (The witches of Karres, 1949) trad. : Jacques Polanis
.. .. .. .. Les haleines du temps (A nice day for screaming and other tales of the Hub, 1965) trad. : Jacques Polanis
Le livre n'est pas fameux, mais je l'avais sous la main
Par contre :
Le volume comprend :
Autobiographie
Bibliographie
Les sorcières de Karres (The witches of Karres, 1949) est paru sous forme de nouvelle in Astounding Science Fiction, décembre 1949
mais le roman, celui du présent volume :
Les sorcières de Karres (The witches of Karres, 1966) est publiié par Chilson Books et par Ace Books
Les haleines du temps (A nice day for screaming and other tales of the Hub, 1965)
comprend :
- Un beau jour pour hurler (A Nice Day for Screaming, 1965)
- Les Haleines du Temps (The Winds of Time, 1962)
- L' autre ressemblance (The Other Likeness, 1962)
- Les Hyacinthes des étoiles (The Star Hyacinths (The Tangled Web), 1961)
- Les hommes-machines (The Machmen, 1964),
- Écologie compensée (Balanced Ecology, 1965)
Oui, j'ai le même, d'ailleurs je ne crois pas l'avoir déjà vu dans une autre présentation.
J'ai été à "La rue du livre" ce matin.
C'est une manifestation organisée tous les ans par la mairie du XVII, rue Davy.
Quelques professionnels, mais surtout des amateurs y vendent exclusivement des livres (même si l'on trouve quelques K7).
Le prix est 15 € le mètre linéaire, ce qui n'est pas donné, mais la plupart du temps, un mètre suffit car les deux emplacements contigus sont libres, de plus l'emplacement comprend environ 3 mètres de profondeur.
Je vais réfléchir sérieusement pour y participer l'an prochain, je dois quand même avoir quelques centaines de doubles, tous genres confondus.
J'ai acheté les numéros 2, 3 et 4 de la revue "Futurs", un sujet est-il déjà ouvert sur cette revue ?
Super Noire 75 - Les Saigneurs du village (1976, Kilman's Landing) par William Judson, traduction de Madeleine Charvet.
Gallimard, Coll. "Super Noire" n° 75, 1977.
Un bien joli patelin, sur les bords du Mississipi. Pas d'usines, pas de pollution, vive l'écologie ! Oui, mais quand j'y suis arrivé. un peu malgré moi, et que j'ai vu des enfants de huit ans s'exercer à la grenade, au couteau, des jeunes filles charmantes qui avaient onze assassinats sur la conscience, quand j'ai appris que ces braves pédezouilles gagnaient leur bœuf en trucidant «à la commande », et par les moyens les plus sophistiqués, ça m'a rendu... euh— perplexe. Et ça m'a flanqué une trouille dont je ne me suis pas relevé. La Mafia, à côté, c'était de la tarte.
Claude Mesplède :
Ce curieux roman qui mêle politique-fiction, suspense angoisse et mystère, se lit d'une traite tant il est captivant et parfois envoutant. [...]
George Waddy se réveille, gravement blessé et amnésique, dans un camping-car conduit par Pauline DuPré qui l'emmène, après quelques réticences dans son village, sur les bords du Mississipi. Là, vit une communauté étrange dirigée par Mzelle Cooley, dont les règles extraordinaires lui sont dévoilées petit à petit. Applegate, grand hypnotiseur, lui permet de retrouver une partie de son passé, il apprend qu'il est un vendeur d'héroïne et qu'il a sauvé la vie de Pauline. Mais, il a le tort de s'intéresser à ce que l'on ne veut pas lui montrer, tente de s'échapper, est repris, et doit épouser Pauline pour rester en vie. Il est obligé de prononcer des vœux d'allégeance à la communauté et d'effectuer une première mission.
Il s'agit de tuer un Attorney Général, en effet ces braves paysans sont responsables de la mort de Lincoln, Kennedy, Martin Luther King, Jean-Paul 1er, Farouk, etc ...
Merci à Madeleine Charvet pour avoir si bien rendu le parler du Sud pratiqué à Kilman's Landing (ou Saigneville)
Chaque chapitre est "coiffé" par un extrait tiré des médias, et qui permet de savoir comment l'extérieur perçoit l'histoire.
Harbour prête à George, pendant sa convalescence, "Opus 21", un livre de Philip Wylie, auteur de SF bien connu.
La répartition des "richesses" dans le village est tout à fait intéressante : quand le client paie le travail effectué,
une part égale est affectée sur le compte de chaque habitant, ils sont 409, indépendamment du fait qu'il ait ou non participé au travail,
les dépenses particulières sont débitées sur le compte de chacun qui conserve ainsi une entière liberté pécuniaire.
Classer ce roman en SF ? Oui, j'estime que si l'existence d'une société, secrète depuis 200 ans, permet d'éclairer l'Histoire sous un jour nouveau,
alors, oui, ce livre fait partie du genre
Jean-Pierre Mocky, encore lui, en a tiré un film en 2000, "Tout est calme" , que j'avais trouvé sympathique,
une adaptation assez libre, avec des acteurs complètement inconnus, une interprétation un peu plate, à la limite de l'amateurisme ou du cours d'art dramatique de grande banlieue.
Je suis un inconditionnel de Mocky chez qui j'apprécie surtout la causticité, l'ironie et la critique incessante de notre façon de vivre;
chez qui j'admire cette volonté inébranlable de faire des films plus ou moins bons, avec six sous et contre vents et marées.
Le remarquable de la chose est que ce film est sorti au moment où J-P Chevènement, sur son lit d'hôpital avait été copieusement arrosé d'un poison inconnu, qui a dit polonium (!) mais apparemment dangereux.
Je viens d'en trouver une chronique signée par quelqu'un de connu,
et une bande-annonce.
William Judson, est un des nombreux pseudonymes de Edwin Corley, qui a aussi utilisé ceux de David Harper et Patrick Buchanan (avec Jack Murphy)
Comment va ton internet, Mister Lag ?
je t'en rajoute un que j'ai sous la main :
[158] Ursula le Guin ........................ Tehanu (Tehanu, the Last Book of Earthsee 1990), trad. Isabelle Delord-Philippe, 258 pages, isbn : 2-221-06939-0
Je recherche déjà depuis quelque temps les n° 109, 115, 130, 134, 173 et 177.
et pour l'échange, dans cette période de la collection, je peux proposer le 96 ou le 138
Super Noire 21 - L'homme qui aimait les zoos (1974, The man who loves zoos) par Malcolm Bosse, traduction de Janine Hérisson.
Gallimard, Coll. "Super Noire" n° 21, 1975.
Gallimard, Coll. "Série Noire", n° 2112, 1987
Ce jeune homme-là, le Viêt-nam ne l'avait pas arrangé. Un matin, il pénétra dans un autocar rempli de trépassés. Il leur faucha leurs bijoux et leurs portefeuilles. Puis il mourut à son tour, victime d'une raison d'Etat qui, comme à l'habitude, camouflait ses sanglantes erreurs par un surcroît de sang. Et pourtant, lui, tout ce qu'il aurait souhaité, c'était de contempler les animaux innocents des zoos. Il les préférait aux hommes, civilisés ou non.
Ce roman, qui à l'époque était bien de la science-fiction, serait aujourd'hui considéré comme un thriller.
C'est effrayant de penser comme nous avons fini par trouver banale cette raison d'état qui broie l'individu,
quand ce ne sont pas de grands groupes internationaux qui commettent des forfaits qui s'assimilerait au crime de guerre,
s'ils n'étaient pas du bon côté du fusil.
Jean-Pierre Mocky en a tiré un excellent film en 1987 "Agent trouble" avec une distribution éblouissante : Catherine Deneuve, en rousse frisée, Richard Bohringer en revendeur d'œuvres d'art mâtiné d'agent secret cardiaque, Kristin Scott Thomas en assistante amoureuse et délurée, Dominique Lavanant en touriste curieuse qui obtint le César du second rôle à cette occasion, Pierre Arditi, Tom Novembre, Sylvie Joly, Isabelle Mergault et tant d'autres.
Malcolm Bosse est un écrivain américain né à Detroit, Michigan en 1926 et décédé à New York City en 2002
Max la menace (Get Smart) film américain 2008, genre : comédie.
réalisé par Peter Segal, avec Steve Carell, Anne Hathaway.
Max, administratif du service CONTROL, est nommé agent de terrain pour, avec l'aide de la mythique et redoutable numéro 99, venir à bout de l'organisation KAOS,
et éviter un attentat contre le président des Etats-Unis.
Anne Hathaway est aussi adorable que dans "Le Diable s'habille en Prada", mais cela ne suffit pas à sauver ce film où je me suis ennuyé et sans même rire.
voir allocine
Question : dans ma tendre enfance dans ma commune, on offrait ces ouvrages comme prix (école, école de musique). Etait-ce une pratique que vous avez aussi connu ?
Je ne peux pas dire, car je n'accumulais pas les prix
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