Vous n'êtes pas identifié(e).
Je n'ose pas vous demander de me faire des èlèves
mais vous pouvez admirer ma brute
Pour écouter l'émission avec Iggy Pop :
http://www.rtl.fr/fiche/5318760/les-noc … -2009.html
Deux heures, mais deux heures de bonheur.
La Peste" (1947) de Albert Camus
A Oran, en 194. , le Dr Rieux assiste au début d'une maladie contagieuse et foudroyante.
Il s'agit de la peste, revenue du fond des âges.
La ville est alors mise en quarantaine.
Chacun réagit selon, son métier, son statut ou simplement son caractère.
Le docteur soigne, enfin il diagnostique surtout, l'organisateur met en place des brigades d'intervention, le fonctionnaire tient des statiques, le chercheur met au point un sérum.
"Il n'y a plus de destins individuels, mais une histoire collective, la peste a tout recouvert".
Une stricte lecture au premier degré montre bien les phases de la Pandémie, le début, l'ascencion, le paroxysme, la décroissance, la fin.
Les autorités font ce qu'elles peuvent : elles informent, elles décident de règlements, ici la quarantaine, le couvre-feu, l'interdiction du courrier, et les font appliquer.
Le style est bien celui d'une chronique, volontairement plat, sans jamais lasser, sans envolées lyriques.
Toutefois, des idées sont exprimées, la mort d'un enfant innocent par nature est insupportable, la religion n'apporte aucune solution, entre autres.
Enfin, le livre est étudié à l'école, le but de ce topic n'est pas de refaire un dossier.
En ce qui nous concerne, l'œuvre doit-elle être classée dans le genre qui nous intéresse ?
Point n'est besoin de science ou de fantastique,
il suffit, à mon avis, de raconter des évènements, certes imaginaires, mais qui sinon auraient comptés dans l'Histoire.
Ainsi "Le désert des tartares" de Buzzati, "Le Procès" de Kafka, "Massiliague de Marseille" de Paul d'Ivoi, "Le roi est mort" de Queen, "La rouille mystérieuse" de Wallace, "La Tour d'Abraham" de Kerr
devraient être classés, comme le sont,
"Le jour de la création" de Ballard, "Les oiseaux" de Daphné du Maurier, etc ...
Alors "La Peste", conjectural ou non ?
Le bon lien serait peut-être :
http://www.actusf.com/forum/viewtopic.p … hlight=oms
ce qui ne rendrait d'ailleurs pas mon post inutile,
surtout pour ceux qui, comme moi ,ne lisent que BDFI
Pour la première fois depuis 41 ans, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré l'état de pandémie mondiale.
Le seuil d'alerte à la grippe A passe donc au niveau 6, le niveau maximal.
La décision, annoncée jeudi après-midi par le gouvernement suédois, a été prise lors d'un comité d'urgence de l'OMS réuni à Genève.
Ce passage au niveau 6 est un constat. Il signifie, selon les experts, que le virus continue à progresser et à se répandre dans le monde, mais cela ne veut pas dire que le virus est plus dangereux.
Selon le dernier bilan de l'OMS, 74 pays ont officiellement signalé 27.737 cas de grippe A, dont 141 mortels.
Mais chaque pays est libre de faire ce qu'il veut,
donc l'OMS ne sert à rien.
Hier au soir,mercredi, dans son émission "Les Nocturnes" sur RTL, Georges Lang avait invité IGGY POP, pour la sortie de son nouvel album "Préliminaires".
Le chanteur y a parlé du livre de Michel Houellebecq, La possibilité d'une île,
il parle de ce héros qui veut refaire sa vie après quarante ans, qui échoue,évidemment.
Son nouvel album comporte une chanson, à propos du chien clôné qui en est à la trente et unième génération.
Une autre chanson parle de l'arrivée à la plage.
Dès qu'un lien existe pour réécouter l'émission, je vous en fait part.
Argh ! Et comment tu gères ça dans la babase ?
Au mieux !
Belle trouvaille !
FNA N° 354 - Les Stols ....... par Louis THIRION (1968)
quatrième de couverture :
– ... J’ai l’impression que cette chose se nourrit de verre ; les murs vitrifiés du labo sont tout ramollis et l’on peut passer le doigt au travers des vitres.
L’éclat jaune des yeux d’Östberg se fit plus vif. Ils paraissaient lumineux à Sam qui éprouvait un léger vertige.
– Et vous avez passé le doigt à travers, Sam ? La salle entière tournait autour de Sam et la voix d’Östberg lui paraissait étouffée, lointaine.
– Oui, patron, et cette saloperie s’est fixée sur mon doigt.
Il éleva la main vers Östberg.
– Voyez, toute la main est verte maintenant. Et ça grimpe... J’ai tout essayé, désinfectants, antibiotiques et même les acides, rien ne marche. J’ai peur... Je vais devenir un gros tas de mousse.
Je viens de faire une fiche de lecture ici
En ce qui concerne spécifiquement la pandémie :
Le virus se propage par le verre, les terriens attrapent la "maladie verte" , sorte de mousse qui les recouvre, ils deviennent alors des légumes.
Le gouvernement recrute des prisonniers, les équipe de combinaisons anti-atomiques pour leur faire démonter tout le verre des vitres, des ampoules électriques,
des écrans d'ordinateurs !
Ce verre est enterré dans d'énormes fosses creusées dans les montagnes.
D'autres équipes recueillent les humains malades et les déposent dans des reposoirs, afin de les soigner le jour où un traitement sera découvert et applicable.
Bref, espérons que cela ne nous arrive pas !
Né le 8 Décembre 1936 à Hollywood, Californie (Etats-Unis)
Décédé le 3 Juin 2009 à Bangkok (Thaïlande)
Cette triste annonce trouve sa place ici,
ne serait-ce que pour :
"La course à la mort de l'an 2000" (Death Race 2000), de Paul Bartel, 1975
film mythique où, avec Stallone ils pilotent des voitures en bois dans des décors en carton-pâte.
Notre champion BDFI a atteint le 10e niveau!
Il peut désormais créer un clan et réunir autour de lui ses fidèles les plus fidèles, chef!
Inscrivez-vous à la BDFI Ninja Académie ici : http://labrute.fr/team/72844
J'en profite pour signaler un petit truc amusant, sur la fenêtre qui affiche les adversaires disponibles pour un combat, il y a tout en bas la case "Chercher", vous pouvez essayer d'y taper (au deux sens du mot) Silverberg, Simak, Asimov...
Pour mon grand retour, j'ai inscrit quelques brutes dans cette magnifique académie.
J'avais déjà d'autres brutes dans "Le Bouffon Binaire", clan qui a accueilli Asimov, Silverberg, Dick et autres.
Toute cette moisson est bien intéressante.
La Plaie, dans mon souvenir, est plus une invasion de l'univers par le mal qu'une pandémie,
Comme les aventures de Grainger qui se terminent aussi par une invasion de l'univers par la "blancheur".
Curieusement "La peste" de Camus me demande une relecture pour déterminer la part de conjecture.
King, je n'en ai jamais lu aucun, et d'après vos commentaires, je ne commencerai pas demain.
"La variété Andromède" contient, c'est vrai, un protocole très précis de traitement d'un virus inconnu,
mais seul est décrit la mise en place de l'équipe, l'examen et la connaissance du dit virus, rien qui concerne les mesures de prévention en cas de fuite, enfin, il y a quand même une fuite, il me faut le relire.
Brunner, Tous à Zanzibar, Le troupeau aveugle (quelles magnifiques illustrations de Caza pour J'ai Lu), à revoir aussi.
Les "Fleuve noir", mon souvenir est aussi trop flou, il me semblait encore que c'était des E.T. qui s'emparaient de la Terre, comme dans le Génocides de Dish.
Quelques jours de vacances, et de discussions avec des gens d'origines et de cultures diverses,
m'apporteront, je l'espère, des points de vue dont je vous entretiendrai à mon retour.
Star Trek film américain (2009), genre : SF
De J.J. Abrams, avec Chris Pine, Zachary Quinto, Eric Bana, Simon Pegg, Winona Ryder, Karl Urban, John Cho, Zoe Saldana, etc ...
Loin de la flotte des Klingons, le USS Kelvin est attaqué par un vaisseau des Romuliens, dont le chef, le capitaine Nero demande à voir l'ambassadeur Spock, inconnu à cette date.
Sur la planète Vulcain, le jeune Spock, dont le père est vulcain, mais la mère est terrienne, est en butte aux autres enfants qui lui montrent qu'il n'est pas insensible aux sentiments.
Pourtant il poursuit des études remarquables et pourrait intégrer l'assemblée des sages, mais il préfère suivre l'enseignement de Starfleet.
Dans l'Iowa, un certain James Tiberius Kirk rencontre la belle Uhura, tente de la séduire, ce qui provoque une bagarre générale, à la suite de laquelle, il est recruté par le capitaine.
Un médecin, un peu parano, Léonard Mc Koy, rejoint la promotion.
Voila donc un bel équipage, enrichi de Hikaru Sulu et Pavel Checkov constitué pour le test de simulation de combat réputé impossible et conçu par le commander Spock,
Kirk le réussit, mais il a implanté un programme pirate dans le simulateur, il a triché.
Lorsque le conseil se réunit pour statuer sur son cas, la planète Vulcain est attaqué par un vaisseau Romulien, porteur d'une énorme perforatrice, capable de percer la planète, mais dans quel but.
Les personnages sont présentés, l'aventure peut commencer ....
Les dialogues sont parfois décourageants,
du genre : "impact dans 5 secondes !"
le capitaine prend alors la décision: "alerte rouge !"
ou "procédure numéro 13 !", ce qui se traduit prosaïquement par " évacuation générale",
tout le monde court dans tous les sens.
Comme Alain Delon qui conduit la jeep dans "Les Centurions", le capitaine Pike pilote lui-même la navette spatiale et décompte à haute voix avant de larguer le commando avec toute la précision désirée
pour arriver depuis 20 000 mètres sur une plateforme de 50 m de diamètre..
Ces quelques critiques établies, le reste est un plaisir pour les yeux et pour l'esprit, l'humour n'est jamais absent, les références sont subtiles.
L'histoire est ce quelle est, qu'importe si parfois elle devient "paradoxale", voire difficilement compréhensible.
Les images sont belles et les effets spéciaux signés ILM sont à la hauteur,
même si l'on peut regretter la téléportation originale tellement simple, celle avec un méchant spot lumineux et une pauvre pincée de poudre d'aluminium.
Les décors sont grandioses, et si la tuyauterie à l'intérieur de l'USS Enterprise semble bien un peu imposante, voire comique, pourquoi pas !
La musique suit l'action avec l'intensité voulue, il n'y a pas de thème, mais cela ne manque pas..
Tous les comédiens finissent par être convaincants, le début est difficile, mais tous endossent bien leur rôle,
la présence de Léonard Nimoy est un bel hommage, celle de Wynona Ryder, un plaisir.
Je ne suis pas un grand spécialiste de la série télé,
d'ailleurs je n'ai jamais vu que la série originale,
mais j'ai pris beaucoup de plaisir durant ces deux heures.
Lire aussi canoé
Comment se faire du gras sur BDFI :
Les balises suivantes changent l'apparence du texte:
[b]Texte gras[/b] produit Texte gras
[u]Texte souligné[/u] produit Texte souligné
[i]Texte en italique[/i] produit Texte en italique
[color=#FF0000]Texte rouge[/color] produit Texte rouge
[color=blue]Texte bleu[/color] produit Texte bleu
comme indiqué sur le lien BBCode, en bas à gauche de la fenêtre qui s'ouvre quand on veut poster une réponse
Ce serait bien de mettre les années et les titres originaux en gras
Enfin, je dis ça, je dis rien,
c'est toujours plus facile pour celui qui ne fait pas le travail.
.... L'auteur imagine que la terrible grippe espagnole de la fin de la Première guerre mondiale (je ne sais combien de millions de victimes, bien plus que la guerre en elle-même!) est le résultat d'une expérience en laboratoire qui a mal tourné!
Oncle Joe
Combien de morts ?
mettons 30 millions : http://www.geneawiki.com/index.php/La_grippe_Espagnole
... et je sais bien que tu n'es pas le Doc', il est parti promener sa brosse à dents...
D'ailleurs, elle se nomme Médor..
Bienvenue Maurice.
Merci Nick Talopp.
Encore du travail en perspective ...
J'ai tout noté,
je continuerais à noter au fur et à mesure de vos trouvailles,
et merci pour l'effort.
Certains que j'ai lu, d'autres que je n'ai pas lu,
certains que je lirais, d'autres que je ne lirais pas,
enfin comme d'habitude
Je mettrais le tout dans un grand alambic, il en sortira le meilleur, les parfums essentiels seront préservés.
En vieilleries (années vingt du XXe siècle), il y a "La guerre microbienne" du professeur Motus (ou du professeur X, il y a deux éditions, c'est le même texte remanié, dans mes souvenirs). L'humanité est anéantie par un microbe fabriqué pour la guerre. Bien fait!
Oncle Joe
Rien, que dalle, nada.
Peux-tu m'en dire plus, références bibliographiques, date de parution
ou court résumé,
ce qui m'intéresse au premier chef est la réaction éventuelle des autorités, un peu absente ou légèrement traitée dans l'ensemble des autres œuvres.
Le neuvième jour, par Hervé Bazin (1994), éditeur Grasset, 12,9 x 20,4 , 231 pages, prix 105 francs, isbn 2-246-45091-8
quartième de couverture :
L'épidémie ! Ce que craignait par-dessus tout le Dr Alleaume est arrivé. La surgrippe, la tueuse dont le grand biologiste recherche le vaccin depuis des années, a fondu sur un monde livré sans défenses ni frontières a ses ravages.
Le héros de ce roman n'imaginait pas que la science puisse lui offrir, un jour, un rôle d'apprenti sorcier. Aurait-il lui, le savant, hâté le désastre en cherchant a le rendre impossible ?
A travers un prodigieux récit qui ne ménage aucun répit, c'est sur un problème très actuel que se penche encore une fois le romancier.
Dieu, est-il dit, créa le monde en six jours. Le septième il se reposa. Le huitième, il chassa Adam et Ève du Paradis terrestre, Nous vivons ce neuvième jour où, qui sait ? l'homme, prenant la place de son créateur, risque de détruire la création.
Le Dr Alleaume est chercheur au Centre Européen de Virologie, il manipule même le virus de la grippe de 1918, retrouvé sur des cadavres gelés, enfouis sous un tumulus,de deux membres d'une exploration arctique, morts de la grippe porcine, d'après le carnet de bord d'un survivant.
Quand une épidémie de grippe se déclenche dans la région de Bombay, il est chargé de confectionner un vaccin.
Le virus voyage plus vite que l'ampoule scellée destinée au laboratoire, il est déjà à Namur, puis dans le monde entier, en dix jours grâce à India Air Lines.
La mort rapide de deux ministres, l'un belge, l'autre britannique, d'une Princesse de Monaco, d'un avant-droit du Real et c'est l'explosion des médias.
Que faire ? Attraper la surgrippe et en réchapper ?
Lors d'une première lecture en 2000, ce livre m'était apparu comme une métaphore sur le sida.
Le relisant aujourd'hui, je pense qu'il traite bien de la pandémie d'une façon beaucoup plus générale.
L'histoire est racontée par le Dr Alleaume et rappelle bien ce qui doit se passer actuellement. Si, pour les médias, c'est pain béni, avec les lamentations racoleuses,
les scientifiques sont englués dans leurs commissions, leurs protocoles et leurs jalousies
Le rôle des pouvoirs publics n'apparait que brièvement, d'abord ils attendent, en disant, on ne peux rien faire,
puis des mesures de prophylaxie sont mises en place, dont par exemple, l'interdiction pour les malades de regagner leur domicile, le port de combinaisons pour les infirmiers et des restrictions de visites dans les hôpitaux.
Enfin, au moins nous n'avons pas d'interventions de l'armée.
Si Hervé Bazin n'est pas un écrivain de SF patenté, il a cependant une vision très intéressante, quoique peut-être un peu désabusée, du monde dans lequel nous vivons.
La Fabrique d'absolu, (Továrna na absolutno, 1922), roman traduit du tchèque par Jean Danes, illustration Bohumil Kubista, Les Carrières à Branik (1911) Prague Galerie Nationale, éditions Ibolya Virág (1998), 13,8 x 20,4 , 221 pages, prix 100 francs, isbn 2-911581-09-1
quatrième de couverture :
roman traduit du tchèque par Jean Danes
L'industriel Bondy apprend qu'une importante découverte a été faite par un de ses amis d'enfance. Il s'agit d'un « carburateur » capable de briser les atomes du charbon et de multiplier à peu de frais la production d'énergie. Mais ce procédé inédit libère l'essence divine jusqu'alors enfermée dans la matière. Commercialisés à travers le monde entier par Bondy, les carburateurs provoquent d'étranges phénomènes : les athées deviennent croyants, les riches donnent leurs biens aux pauvres, d'autres encore font des miracles... Bientôt un conflit mondial paraît inévitable...
Comme dans La Guerre des salamandres, Karel Capek (1890-1938) se révèle, à travers ce texte, écrit en 1922, un représentant original du roman utopique en même temps qu'un maître novateur de la prose tchèque moderne.« On chercherait peut-être en vain dans la grande littérature d'aujourd'hui une œuvre de ce calibre, qui fasse à la fois réfléchir et rire à propos de problèmes cruciaux comme, les nationalismes abusifs et meurtriers, les lois perverties de l'économie moderne, la terreur politique, tout en abordant au passage d'autres thèmes comme le racisme, le fanatisme, l'information, et bien d'autres qui sont pour nous, hommes de la fin du XXe siècle, des sujets d'interrogation quotidienne. »
Alain van Crugten, Transcultures,
Voici bien un exemple de réédition dont on ne peut dire que du mal :
- La traduction est attribué au seul Jean Danes, qui au passage a perdu son accent (Danès) et sa partenaire féminine Jirina,
- La préface du même Jean Danes a également disparue, sauf une note anonyme en fin de volume,
- la première édition française indiquée est celle de Nagel en 1945,
alors que le roman avait déjà été traduit par Louis Brun dans la Gazette de Prague, du 11 octobre 1924 au 28 mars 1925,
- Le quatrième de couverture a été écrit par un tâcheron, dont on se demande, comme souvent, s'il a lu le livre.
- Pourquoi choisir une illustration sans rapport avec l'œuvre et antérieure de onze ans ?
"Je suis une légende" de Richard Matheson ? C'est bien une pandémie non ?
Non, je crois que c'est un post-apo,
il n'y a ni origine de la pandémie,
ni lutte organisée des populations et de leur dirigeants pour soigner le mal.
Et celui-ci :
-What to do ?
- The plane.
Alerte (Outbreak) , film américain (1995), genre : SF ?
Réalisé par Wolfgang Petersen, avec Dustin Hoffman, Cuba Gooding Jr., Morgan Freeman, Rene Russo, Donald Sutherland, Kevin Spacey, etc ...
A la suite de plusieurs négligences et de mauvaises volonté, les habitants d'une petite ville américaine sont victimes d'un virus, venu d'Afrique, particulièrement dévastateur. Pour enrayer l'épidémie, un général sans scrupule décide, avec l'accord du président, de rayer de la carte la bourgade en larguant une bombe incendiaire.
Bravo Mister Lag pour cette belle initiative.
Je n'avais rien à dire, mais comme tout une tripotée de messages inutiles seront utiles au moment où l'apothéose finale de toutes ces couvertures enfin réunies, amèneront par leur suppression la survie possible de cette nouvelle forme d'hommage à nos chers auteurs, que ce n'est qu'un juste prolongement de l'iconographie développée par nos chers éditeurs, directeurs de collection et autres professionnels, immortalisé dans le silicium pour un temps qui reste à définir par la loi , ses prolongements et interprétations possibles; c'est avec un plaisir évident que je pose la modeste pierre dont l'édifice ne pourra que s'enorgueillir au moment opportun, c'est à dire, dans un mois, dans un an....
Je commence donc par quelques films :
28 jours plus tard Film britannique de Science fiction (2003).
Réalisé par Danny Boyle, avec Cillian Murphy, Naomie Harris, Christopher Eccleston, ...
28 semaines plus tard film britannique de science-fiction (2007)
De Juan Carlos Fresnadillo, avec Robert Carlyle, Rose Byrne, ...
Blindness Film canadien, brésilien, japonais,.2008, genre fantastique.
de Fernando Meirelles, avec Julianne Moore, Mark Ruffalo, Alice Braga, Gael Garcia Bernal, Danny Glover, Yusuke Iseya, Yoshino Kimura, etc ...
scénario de Don McKellar, d'après "L'aveuglement" de José Saramago
Doomsday film britannique 2008
réalisé par Neil Marshall, avec Rhona Mitra, Bob Hoskins, , Adrian Lester, Malcolm McDowell, etc ...
La Pandémie
D'après wikipedia
Une pandémie [du grec "pan" (= tous) et "demios" (= peuple) ] est une épidémie qui s'étend à la quasi-totalité d'une population d'un ou de plusieurs continents, voire dans certains cas de la planète, soit à l’occasion de l’apparition (ou réapparition) d’un « nouveau » microbe ou virus contagieux, pathogène et non reconnu par le système immunitaire humain, soit à l'occasion de l'émergence d'un sous-type résultant d’une modification génétique majeure.
Les évènements récents donnent envie de savoir comment la SF traite ce thème, à l'issue de ce topic, je rédigerais une synthèse pour le Wiki.
Il s'agit donc de recueillir :
- des œuvres,
- des éléments de critique,
- des films,
- éventuellement d'autres supports, ...
Attention, le thème n'est pas post-apocalyptique, mais limité à la pandémie elle-même, donc :
- origine de la pandémie,
- découverte par la population et les gouvernants,
- décisions, traitements et solutions,
- résultats positifs ou négatifs.
Depuis la nuit des temps, l'Histoire en parle , que ce soit, la peste, la lèpre, le choléra, la tuberculose, la grippe espagnole, et aujourd'hui la vache folle, le sida, la grippe aviaire, l'hépatite C, etc ...
Le "etc..." restant lourd de sous-entendus.
J'ai donc fait une recherche sur "Barry Lindon" et trouvé une belle analyse : http://analysefilmique.free.fr/analyse/b/barry.php
qui te donne raison, pas de 7ème de Beethoven dans Barry Lindon :
L'IMPORTANCE DE LA MUSIQUE
La musique a toujours été importante dans les films de Kubrick (2001 et Le beau Danube bleu de Strauss, A Clockwork Orange et Beethoven ...). Stanley Kubrick a toujours insisté sur la musique non seulement comme accompagnement de l'image mais comme mode de communication. Kubrick vise un cinéma qui fonctionne au niveau de l'affectivité.
Kubrick a fait appel au compositeur américain Léonard Rosenman pour arranger les thèmes classiques qu'utilise le film : Sarabande de Haendel, Barbier de Séville de Paisiello, Hohenfriedburger de Frédéric le Grand, Trio avec piano, Opus 100 de Schubert, Concerto en ut mineur, BWV 1060 de Bach.
Dans Barry Lyndon on trouve deux types de musique :
- Musique diégétique qui appartient à l'action du film (marches militaires, musiques de concerts, musique de danse).
- Musique commentaire ou expressive par laquelle le réalisateur souhaite faire passer un climat poétique, une émotion.Barry Lyndon est l'un des rares films où la musique joue un rôle aussi important pour la narration et le climat de l’œuvre.
alors je présente toutes mes excuses au mélomanes,
mes souvenirs me jouent des tours,
j'ai confondu Beethoven : http://www.deezer.com/fr#music/result/all/Beethoven
avec Haendel : http://www.deezer.com/fr#music/result/a … 0sarabande
Honte sur moi !
Prédictions (Knowing), film américain (2009), genre : science-fiction
de Alex Proyas, avec Nicolas Cage, Rose Byrne, etc ...
1959, Lucinda, une petite fille dans une école américaine, a l'idée de faire parvenir au Futur une capsule temporelle contenant des dessins d'enfants représentants la vision qu'ils ont de l'avenir.
Cette idée est agrée par l'établissement scolaire. Mais au lieu de faire un dessin comme les autres, elle remplit sa page de chiffres.
2009, la capsule est ouverte et chaque enfant rapporte chez lui avec un dessin, Cabel se voit attribuer la feuille de Lucinda..Son père chercheur et enseignant au M.I.T découvre qu'il s'agit d'une liste de catastrophes.
Les trois dernières sont encore à venir ...
C'est une histoire, mais elle pose bien le problème du déterministe.
L'avenir est-il écrit ou est-il composé d'enchainements d'évènements entièrement dus au hasard ?
Combien faut-il de coïncidences pour que l'on cesse de parler de hasard ?
Le hasard est-il ce que l'on ne peut pas encore expliquer ?
Nicolas Cage trouve un rôle difficile dans ce père désespéré, alcoolique mais tellement attaché à son fils.
Rose Byrne n'est pas une inconnue, nous l'avions déjà vue dans "28 semaines après"
Pas de scènes de violences malgré les catastrophes vécues en direct.
Beethoven et sa symphonie N° 7, [celle de Barry Lindon], donne au film un côté carré et un peu rassurant.
C'est, ou plutôt, ce sont de vieux thèmes mais traités par leur côté Science-Fiction et non point fantastique.
Les scènes du métro, à elles seules m'auraient fait apprécier le film,
mais l'ensemble se laisse voir avec plaisir.
Voir aussi allocine
édit : évidemment ignorer l'allusion à Barry Lindon
Encore deux ou trois à remplacer par leur nouvelles adresses :
"La bonté des femmes", The kindness of women (1991), traduit par Béatrice Vierne, Arthème Fayard (1992),
isbn 2 213 02889 3
______________________________________________________________________________________________________________________
le même en Livre de Poche n° 30316 (2005) isbn 2-253-11274-7
"Le jour de la création" ,The day of creation 1987, traduit par Robert Louit, Flammarion 1988,
isbn 2 08 066144 2
C'est le problème des images que les BDFieux m'ont passé en Pix. Une solution ?
Une solution, AH, AH !
Le 01/02/09, en prévision de la chose, j'avais refait les hébergements de mes scans depuis Pix vers BDFI :
AH, AH !
je n'hésite donc pas à reproduire ici mon travail du 01/02/09 :
Dans ce topic préparatoire des couvertures de Ballard, j'ai retrouvé quelques couvertures que j'avais posté avec Pix :
L'ile de Béton, Concrète island (1973), traduit par Georges Fradier, Calman-Lévy (1974),
pas d'isbn
Crash, Crash (1973), traduit par Robert Louit, Calman-Lévy (1974),
pas d'isbn
Encore deux hors genre :
Le massacre de Pangbourne (Running wild, 1988), traduit par Dominique Sila-Khan, Belfond 1992,
isbn 2 7144 2938 6
La face cachée du soleil,(Cocaîne nights, 1996), traduit par Bernard Sigaud, Fayard 1998,
isbn 2 213 59941 6
et qui n'avaient pas été hébergées chez BDFI, ce que je viens de faire :
Dans la galerie officielle de Ballard : http://forums.bdfi.net/post.php?tid=1212&qid=16353
je ne peux évidemment pas faire le même travail,
mais quelqu'un peut bien s'en charger
Les Gardiens (Watchmen), film américain (2009) genre : adaptation de bande dessinée, super-héros.
de Zack Snyder, avec Jackie Earle Haley, Patrick Wilson
Les Watchmen ont été mis en place pour veiller sur la sécurité des Etats-Unis, quand la police, la justice ou l'armée étaient impuissants.
Leur mission est donc de lutter contre les menaces extérieures, les communistes, intérieures, les voyous et les gangs, extraterrestres, les ET et autres monstres.
Hélas leur rôle est devenu moins indispensable, du fait de l'amélioration constante des pouvoirs publics et de la mise en place de la Grande Horloge de l'Apocalypse,
que l'ONU et le Dr Manhantan ont calé sur "moins cinq".
Alors, ils ont mystérieusement disparus, des accidents ou des meurtres, les derniers se sont cachés et vivent anonymement.
"Le Comédien", vient justement d'être assassiné.
Rorschach, lui, sent une menace, peut-être, le Dr Manhantan les as-t-il trahi; il rappelle les derniers survivants pour sauver, une fois de plus, l'Amérique et la Terre.
Le roman graphique dont est tiré le film n'est pas très connu en France, il est difficile d'émettre une opinion sur la qualité de l'adaptation.
Mais cette Amérique alternative, où Nixon entame son troisième mandat ressort bien du monde des super-héros,
le Dr Manhathan, créature reconstituée et maintenue solidaire dans ses éléments par sa connaissance des lois physiques en est l'archétype.
Rorschach, dont l'origine nous est révélée peu à peu est le personnage ambigu qui utilise le Mal pour faire le Bien,
il justifie bien la formule : " Qui doit garder les Gardiens ?" .
Le Hibou et Le Spectre découvriront l'amour, autant pour les jeunes filles entrainées au cinéma par leur mecs.
Tous ont des costumes fabuleux.
De très bonnes images de synthèse, des décors intéressants, aussi bien par leur modernisme comme on l'imaginait en 1985,
que par la misère et la violence des quartiers défavorisés (comme on dit aujourd'hui).
Le parti pris de scènes uniquement urbaines et nocturnes rend une atmosphère désabusée, sans futur.
A voir absolument par tous les amateurs de ce forum, et par tous les autre aussi.
consulter aussi allocine
Et les Watchmen ?
Et Prédictions ?
Vous en pensez quoi si vous les avez vus ?
Watchmen, je l'ai vu et j'ai trouvé bien, je fais une fiche dès que possible.
Prédictions, je le vois demain ou après-demain?
( A Suivre ...)
Pas de problèmes avec avast.
>>> Cirroco, peux-tu mettre le lien dans le premier post.
pour augmenter l'industrie de miniville,
il faut aussi donner des clics ici : http://bdfi.miniville.fr/ind
excellente initiative ( existe deja sur noosfere au cas ou ... http://www.noosfere.com/Icarus/Livres/c … 1975550819 )
[...] ces revues sont les miennes, à moi,
[...]
Si tu as besoin d'un renseignement précis, pose moi la question et j'éplucherais l'article,
éventuellement, je t'enverrais un scan.Voilà toute la différence avec d'autres sites, certes fort intéressants, dont je ne dis aucun mal et dont je respecte les mérites, ceci dit .
Ce post est un aparté, pour rire.
on apprend qu'un certain joseph a fait un article ds Encrage sur " apparition surhommes "
Strictement aucun souvenir! En tout cas, ça prouve que je suis objectif!
Oncle Joe
L'article fait une analyse du contact entre l'homme et une race destinée à lui succéder,
à travers la littérature française d'avant-guerre.
Ni le nom de Blondel, ni celui de Bonnefoy ne sont cités.
C'est d'abord et avant tout l'analyse d'une œuvre.
page 9, deuxième alinéa :
"Curieux destin que celui de cet homme qui commença une carrière littéraire à un âge (pus de cinquante ans) où d'autres songent déjà à la retraite [...]"
page 9, troisième alinéa :
"Roger Bonnefoy, né en 1895, utilisa donc volontairement deux pseudonymes pour différencier les deux facettes de son talent, Si blondel est pus 'philosophique', il n'en reste pas moins que Bruss, dans un langage plus simple, propose également une réflexion sur notre univers"
[...]
Il faut mettre la main sur la réédition A&D de "Et la Planète sauta" (quelqu'un doit bien l'avoir à portée de tentacule, sur la liste), ça m'étonnerait qu'il n'y ait pas eu à l'époque une indication sur l'auteur. Je me demande si le nom de Bonnefoy n'y est pas cité.
Oncle Joe
Publié en 1971,la réédition en A & D de "et la planète sauta ..."
comprends bien un préface de G. K .
Il y est dit que B. R. Bruss, faute d'avoir rencontré son public dès 1945,
rencontra en 1953 son éditeur, Le Fleuve,
"qui a absorbé à ce jour, la presque totalité d'une production aussi abondante qu'alimentaire, mais jamais méprisable."
et plus loin :
"La renaissance, B. R. Bruss devait la connaître sous le nom de Roger Blondel, en publiant Bradfer et l'éternitéqui est peut-être un des livres les plus originaux des années1960."
Le nom de Bonnefoy, n'est pas cité dans cette préface.
et puis :
"Curieusement, comme S. Wul, B.R. Bruss ne se contente pas d'écrire, Il peint et il sculpte."
La Brute :
Un conseil pour les accros de chez Cirroco,
au moment ou on va changer de niveau, mettons qu'il reste un point ou deux à acquérir,
défier le champion proposé "chercher",
on en prend plein la figure, mais,
cela permet d'augmenter le bonus de changement de niveau.
Voili voilou : http://www.bdfi.net/data/nofrag.htm
[...]
Mis à jour ! (même adresse) - plus que 1600...
Peux-tu nous la refaire, s'il te plait, car je ne trouve plus du tout d'images à sauvegarder; tant mieux.
Ah, la belle vie !
Chomage 0 %
Transport 100 %
Criminalité 0 %
Pollution 0 %
C'est bientôt fini.
Ouvrage réalisé par Juliette Raabe, édité en novembre 1999, à l'occasion de la création de l'exposition : "Fleuve Noir, 50 ans d'édition populaire" organisée en collaboration avec les éditions Fleuve Noir et présentée à la BILIPO (BIbliothèque des LIttératures POlicières) du 19 novembre 1999 au 26 février 2000 [ISBN 2-84331-046-6]:
rien de nouveau, mais la fin de Pix justifie de réactualiser, à l'occasion, certains posts.
Je signale la parution au mois d'avril de l'ouvrage d'Alexandre Clément "Frédéric Dard, San-Antonio et la littérature d'épouvante" où est traité à fond sa participation à la colelction Angoisse. On peut se procurer cet ouvrage aux Polarophiles Tranquilles. Je suis en train de le lire sur épreuve et je doisdire que c'est un travail assez impressionnant, qui va faire du bruit dans le landerneau.
Nous l'attendons tous.
Il y a encore de braves gens qui ne savent pas que la collection complète est la :
http://www.bdfi.net/collections/pages/fn_ang.php
avec ce fameux n° 7 Br Bruss, l'œil était dans la tombe.
Le 86 encore un Bruss, Le tambour d'angoisse,
ne me semble pas si rare que cela !
Moi, je cherche les deux premiers Mme Atomos, les numéros 109 et 115.
L'ampleur de la tâche me stupéfie.
Je suis bien content d'avoir commencé il y a quelque temps.
[...] ( revue dunlop) [...]r ...du coup j'ai tout effacé , y a plus rien ( tu me diras , pas une grosse perte ...)
Elles étaient très belles ces images Dunlop.
Essaye de nous les conserver.
avec l'option "J'interdit le redimensionnement " pour qu'elles restent lisibles.
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